fle dans le creu de mon oreille tout de suite su

veille

plus lourdes qu'en général. Je bats des cils au moins cinq

Intendante qui se tie

n se tenant debout en face d'elle et l

ez commencer

suite ! Ré

à s'habituer à la lumière de cette pièce étrange dans laquelle on se trouve et se tient debout à

arts et d'autres sur ses magnifiques épaules à moitié dénudées, vêtue d'une sorte de robe d'hôpital pour patients bleue ciel. Elle gémit à nouveau, se tortillant dans tous les sens et là, mon regard est attiré par un symbole qui semble fraîchement dessiné si on se fie à la rougeur de sa

s'apprête à me faire. Il s'arrête net derrière moi et appuie sur un bouton. Mon lit se redresse alors légèrement dans un bruit vibrant et je me retrouve presque en position assise en moins d'un

faibles qu'ils ne parviennent pas à la porter et se traînent plutôt par terre alors que les hommes masqués la conduisent vers la porte. En passant devant moi, elle relève la tête et me regarde brièvement. Un regard rempli de tellement de tristesse qu'on a du mal à distin

une voix masculine

moi qui s'adresse à l'Intendante et semble attendre sa

réponds l'

achine. Elle a quand même un joli petit minois

mon corps et ça me donne tellement la nausée que je n'arrive pas à me retenir et, la tête tournée vers ma gauche, je rends tout ce que j'avai

homme, l'air dégouté et assez énervé. Non mais tu

boulot tout de suite au lieu de tous nous faire perdre du

! Ne m'agacez

x mots à Z. à votre sujet. Vous savez très bien combien il valorise les fl

tout petit alors qu'il di

lian

, on a pas besoin d'en arriver là. Je vo

s plus magnifiques. Autant justifier votre salaire que de blablater comme

es jurons inaudibles quil pousse en rapprochan

" Criai-je en essayant de dégager ma tête m

nouveau, mon corps semble sourd à chacun de mes désirs. Mes yeux s'écarquillent à l'idée d'avoir encore été injectée la

ranspercer l'âme alors qu'elle écarquille soudainement les yeux c

a machine toujours vibrante dans sa main maint

ond t-elle en ne me quitt

oulu vous rapprocher auparavant, re

lors du regard et

dé à nous faire perdre un t

simplement pour vous vu que vous

fermer et de faire votre boulot.

main me saisir fermement la nuque et je sens un sorte de brûlure sur ma peau qui me provoque des picotements atroces. J

magnifique, hors du commun

regard sur moi. On dirait qu'elle essaie de déterminer

le travail ? demande

semble être ma nuque car on y voit clairement l'homme debout derrière moi en train de me tenir la tête inclinée et utilisant sa machine vibrante. La douleur qui me transperce le cœur quand il manipule sa machine dans plusieurs sens, me ramène à une réalisation autant c

ieai-je, des larmes r

ers l'écran. Je ferme alors les yeux, le cœur meurtri de douleur à l'idée qu'on est en train

omme en éteignant sa machine qui s'arr

d'oeuvre ! Fait-il fièremen

en pétards dûs aux dernières circonstances d'après ma nuit de noces, et dévoile ma nuque toute entière. J'ai l'impression qu'elle essaie de me communiquer quelque chose. Elle jette un dernier regard sur moi que je perçois à travers l'écran et pose les yeux sur le nouveau tatouage q

bole de l

moment et j'ai l'impression

les sourcils e

Mais qu'es

vers l'homme que je crois maintena

C'est l'un des plus beaux que vous aye

nouveau à travers l'é

pleinement

impression qu'elle scrute ma réaction. Puis, el

t devenu l'une de se

atoueur. Je peux espérer une promoti

pouvez toujours rêver !

sens sont focalisés sur ce nouveau tatouage imposé sur ma personne qui me donn

je de me répéte

us tard avant le viol collectif lesbien dont j'avais été victime. Cette pensée m'arrache une larme qui me ramène à l'instant présent. Regardant autour de moi, les souvenirs de

Repet

uveau tatouage : un Z. avec une cou

on cou et aperçoit le tatoueur ten

heure et je réalise alors, en me remémorant la sac d'argent tatoué sur sa nuque, qu'elle venait sans doute de subir le même sort p

m'impatiente à l'idée de constater l'ampleur des dégâts causés à mon cor

es lèvres me semblent gonflées à bloc. Je fronce les sourcils, me demandant bien ce qui a réellement pu se passer. J'ai alors des flashs d'une des filles assise au dessus de mon visag

r dans ma nuque qui semble s'accentuer de pl

uite, quatre bras puissants me tiennent par les bras et me tr

nt vers moi et je la vois m'observer un moment. Mon regard se tourne à nouveau vers l'une des cellules dans laquelle j'aperçois une jeune fille vêtue d'une longue robe blanche à longues manches recroquevillée sur elle-même le visage enfui dans ses bras qui entourent ses genoux. Elle lève alors la tête vers moi et j'ai juste le temps d'apercevoir, dans la pénombre de sa cellu

de la cellule suivante qui semble vide et l'

aux mains d'une jeune femme en petite tenue avec des bas en dentelles noirs portant également

ujourd'hui ! Vous savez ce qu'il vo

sans mot dire, et l'Intendante me lance un dernier

eunes dames vêtues de la même manière que celle à qui j'ai été confiée. Elles retirent ma robe sans ménagement et l

us signale ! Gronde celle qui semble être la responsa

, Intendante ! font le

-la sous l

tendante ! Répond

salle de bain, et juste en dessous de la douche suspendue au plafond. Je vois l'Intendante en sous vê

rdonne à nouve

otter partout, de la tête aux pieds. Elles me lavent comme un bébé jusqu'à mes partie

l'Intendante saisi avant que celle-ci ne disparaisse avec le plateau vide. On m'habille alors de ce vêtement et je réalis

a ! Ordonne l

bras, elles me conduisent dans le couloir où l'

llule d'attente, le patron est déjà

endante ! Réponden

urne le dos. Elle prend alors les devants cette

ules, je réalise qu'elles sont toutes vides et on pren

arrive au bout, je suis émerveillée par ce que je vois. Les de

s couleurs époustouflantes couronnent et accentuent la beauté de ce lieu. Il y'a, en plus, une magnifique musique douce, de source inconnue, qui résonne dans les murs. Des oiseaux merveilleux de différentes cou

ine et se mettent en rang selon leurs numéros ! Anno

e trouve juste en face de moi. Je regarde celle qui me guide, elle est vêtue d'une magnifique robe de déesse romaine vert clair au décolleté assez plongeant mais qui lui donne une apparence tout de même se

du commun !" Me di

ndre. J'obéis et je m'arrête juste en face de la fameu

te juste en face d'elles ! Ordonn

ant moi. Là, je vois une grande boîte verte

o 17 ! Mu

s aperçues mais se trouvaient sans doute là tout ce temps, ont commencé à ouvrir la fameuse boîte. Je fais de même. J'y vois une robe blanche d'un tissu que je n

ssent le collier dans le

face de nous et l'observant tant éblouies par sa beauté que

hacune le nom inscrit sur s

oute réponse, elle me fait plutôt signe de me retourner, ce que je fais bien malgré moi juste au moment o

, fait sa voi

blement la deuxième

la troisième fille a

nt que des noms de f

livre. Je pouvais y rester des heures au point même d'en oublier de manger. Il m'arrivait ainsi de sauter parfois deux repas dans la journée, ce qui me valait une punition de la part de mon petit papa chéri qui venait me chercher en me tirant les oreilles. Ce qui amusait toujour

ait calmement la

ne !" Me

à la beauté époustouflante de tout à l'heure. Ma bouche à moitié ouverte, j'observe alors de plus prêt son teint uniforme et son visage exotique qui lui donne l'allure d'un ange descendu tout droit du Ciel parce que oui, sa beauté est au-delà du v

ro 17 lise le mot sur son collie

et même ceux de la beauté fatale. Ce qui me fige à n

lire maintenant ! me chuch

ir inspiré un grand coup, je lis l

delwe

' soupirer de soulageme

ez été baptisées et renaissez

s'approche de nous, saisit le collier d'e

ous appartenez a

ndis que 'ma gardienne' attache le

e vous, Fleurs ! Fait la

tit symbole à la fin de l'inscription donc tout près du second 'S' du mot 'Edelweiss' qui agit

vos prénoms d'origine. Désormais, vous

rent certaines d

le vous vaudra une élimi

ine deglutiner avec les mâchoires serrées e

réellement de nous depour

é la même chose quand Adrian avait pris le soin de récupéré mon passeport en descendant de son

le vêtement dans la boîte et

me procure un bien fou, tellement il est doux et fluide, et je ferme les yeux de satisfaction. Un raclement de gorge de 'ma gardienne'

de haut en bas, ce qui dévoile mon bras droit entier, et elle passe sur la gauche et fait de même. La robe tombe alors tout au long de mon corps jusqu'à mes pieds où elle s'écrase à même le sol; ce qui m'étonne étant donné la façon dont on me l'avait fait porter dans la salle de bain quelques temps plus tôt. Elle saisit

ne princesse. Je suis tellement émerveillée et réalise que c'est le cas pour la majorité d'entre nous qui n'arrêtent pas de se regarder. Je réalise cependant que nous avons, pour certaines, des robes de couleur différentes. Plus précisément, je réalise qu'il y a trois coule

me sourit légèrement. Elle tend alors la main v

me demandant ce qui pourrait

Fleurs, vous pouvez t

aux de bois, leurs gardiennes debout à leurs pieds tenant chacune des seringues dans leurs mains. Je me retourne et vo