s” et signifie “voir un changement”. Mais la source originale du nom est

stiques : des éclairs de couleur colorés qui changent en fonction de l'angle d’observatio

ée comme talisman qui apporterait à son

de pierre précieuse, je ne le porte pas par hasard. Mes parents ont jugés qu’il me convenait et me correspondait parfaitemen

ie en elle. Elle ne ressens aucun malaise de grossesse et le volume de son ventre n’augmente pas comme normalement pour toute femme encei

à terme et sur le point d’accoucher. Le temps d’accuser la nouvelle, je braillais déjà dans les bras de la sage femme qui me donnait les premiers soins. Celà semble incroyable n’est-ce pas ? Mais c’est pourtant bien vrai ! Quoique choquant

n’arrêtent pas de nous droguer ! Je crois qu’en fait c’est leur but justement : nous faire perdre la tête au point d’être complètement déboussolées. Ainsi, ils pourront faire de nous ce qu’ils veulent, en d’autres termes, nous exploiter à leur guise. Mais j’ai bien l'intention de ne pas me laisse

ronologie des évènements p

première fois que je le voyais. Je l’avais déjà remarqué quelques jours plus tôt aux environs de la Gueule Tapée alors que je déposais ma meilleure amie devant son université. Il était adossé contre une voiture non loi

eu un drôle de pressentiment ! Mais, j’avais banalisé sur le

s, qui m’avait dit que je me faisais juste des idées. Mais, ça persistait tellement plus précisément pendant environ six mois, que j’avais dû en parler à mes parents bien malg

t les a amenés à me traiter d'une façon spéciale et donc à me choyer dès mon plus jeune âge, ce qui nourrit de la haine et suscita de la jalousie de la part de mes cousins, oncles et tantes, voisins, camarades de classe et même de c

né qu’un enfant passe la plupart de son temps à l'école, il n’y a pas meilleur endroit qu’une école publique car il s’y trouve toutes les classes sociales. Mais aussi, parce qu’ils avaient eux-mêmes fréquenté cette école publique qui était r

compétitions infinies aussi bien sur le plan académique, que sur le plan extra curriculaire et financier. Mais ça c’était rien pour moi, j’étais toujours de taille étant fille de mon chirurgien de père et de mon avocat

jusqu’à mes années secondaires et universitaires. Donc, je remplissais parfaitement les trois critères de la jungle qui me servait d’école et pensais ainsi pouvoir échapper aux problèmes. Mais c’est à croire que l’être humain n’est jamais satisfait et trouve toujours de quoi se plaindre même quand tu remplis parfaitement

i partage la même foi que moi, m’avait rappelée que la Bible recommande d'honorer ses parents et donc j’avais dû obtempérer. Je m’étais pourtant arrangée à m'appliquer et donner le meilleur de moi pour terminer cette formation, qui me semblait inutile à cette période, le plus tôt possible jusqu’à obtenir la ceinture noir

ème,ou plutôt le véritable .problème de mes assaillants, pa

es cheveux métissés. Leurs gènes combinés m’avaient donné une apparence de déesse de la tête aux pieds, ce qui m’a d’ailleurs toujours créé des problèmes partout o

t fait déborder le vase. Il avait entrepris des recherches approfondies sur ce fameux homme tout en insistant pour que je sois suivie par un garde du

ng et baskets et me suivait partout le plus discrètement possible dans sa propre voiture, comme un étudiant quelconque de l’université. Mais, l’homme qui semblait pourtant être devenu mon ombre pendant les six derniers mois, avait disparu des para

succès si seulement j’acceptais de me lancer dans ce domaine. En d’autres termes, elle me demandait de rejoindre leur prestigieuse agence qui avait déjà vu naître les plus grands mannequins de ce monde. Je rejetai poliment sa proposition non seulement parce que je n’avais aucun intérêt pour le mannequinat et tout ce qui me préoccupait pour l’instant était d'obtenir mon doctorat, mais aussi parc

supposant surtout que ce monsieur serait de l’histoire ancienne sur cette terre étrangère. De plus, j’avais reçue une offre d’emploi très alléchante dans une des plus grandes cliniques privées

de Janeiro, et à l’aéroport, je l’avais à nouveau aperçu cet ho

retourner. Je m’étais sentie étrange sur le coup, comme étourdie, mais puisque ce n’était que passager, j’avais négligé et m’étais avancée vers ma famille qui était maintenant à environ six mètres de moi. Puis, il y eu tout à coup une foule de personnes entre nous et je me sentie lourde et failli m’écrouler mais quel

llô,

t sans que je ne puisse contester car mon corps entier était étrangement paralysé. Je ne pouvais bouger aucun muscle de mon corps, tout ce que je pouvais faire était subir les assauts de ces brutes qui s’y donnaient à coeur joie et ne prenaient même p

a foi bien que différente de mes parents, mon père étant musulman, exigeait d’une femme de se garder pure pour son époux. Et j’étais en train d’être souillée et de la pire des manières : par trois hommes

orps et surtout mes parties génitales et mon anus qui avaient été torturés par ces brutes pourraient être quelque peu atténuée. Seulement, je constatai qu’on avait pas du tout la même définition du mot 'massage' dans cet endroit, puisque je m’étais retrouvée en train de me faire

lait “Intendante”. Elle m’avait ensuite fait conduire à une douche où d’autres femmes aux corps de rêve et au charisme peu commu

me revenaient alors à l’esprit. Mon cœur était meurtri à l’idée d’avoir été souillée de la sorte et surtout sans

pas pensé, pet

ormés de ma disparition et que toute la famille devait sans doute être en train de me chercher. Je voyais mes parents dévastés et employant tous les moyens en leur pouvoir pour me ret

déclinant l’offre de 'carriere de mannequin’ mais qui avait finalement réussi à m’avoir en me conduisait au Brésil par le biais de cette offre d’emploi plus qu'alléchante car je réalisais à cet instant l’avoir reçue exactement deux jours après la rencontre avec la fameuse agent recruteur de mannequins. Mais, dans l'euphorie de mon rêve réalisé, ni mes parents, ni moi n’avions trouvé celà suspect, et no

plus tôt. Bien qu’elle semblait totalement affaiblie et à l'ouest, sans doute ayant été autant droguée que je ne l’avais été, je vis

cette rencontre changer

sorte de jardin d’Éden. C’était tellement beau, grand et incroyable que je ne saurais le décrire autrement !

en plein milieu de la salle et s’était perdue à regarder partout autour d’elle, clairement en extase devant tant de splendeur.

ir les boîtes devant nous et de saisir le collier à l’intérie

m’assurer de retenir les différe

lors le nom sur mon collier “Eglantine” et je sentis le regard de ma voisine, la dernière d’entre nous, se poser sur moi. Elle semblait perdue dans ses pensées, au

elwe

fond de moi, comme je l’a

elques sortes. Ça m’a tellement énervée que j’ai simplement pu deglutiner les points pliés pour ne pas me faire re

donnait à boire et ça semblait avoir pour effet de réveiller mes sens. Je me demandais quel genre de drogue est-ce que ces gens nous avaient in

sbien alors que les cheveux épais de l’incarnation de Mulan qui se tenait devant moi, qui se balançaient au rythme de ses mouvements, m

ors qu’elle s’empressait de rejoindre une autre fill

e rapports que j’avais avec les autres filles en général. Je réalisai aussi qu’une jeune femme, qui se tenait debout un peu plus à l’écart, l’observait méchamme

attention. Mais, quand Edelweiss a mentionné avoir épousé “Adrian” -qui semblait être l’époux

à coup dit que ça expliquait sans doute la façon dont elle avait subitement tournée la tête vers moi quand j’avais lu le nom d'Eglantine sur le collier, comme si elle en connaissait la signification. La voir décrire la fleur Aste

se lever pour me rejoindre mais la por

i qu’elle semblait chercher quelqu’un du regar

ne sorte de cantine, ce qui me surpris, et je ne fûs pas la seule car je réalisai qu'Edelweiss avait également eu le même réflexe que moi car on s’observa pendant un moment. Mais, je detournai alors le regard pour ne rien rater de ce qui se passait avec les autres fil

rdénia dont le nom avait été cité par Aster quand celle-ci avait défendu Edelweiss. Le regard choqué de toutes les autres filles me confirmèrent alors que c’était la règle de manger en silence et je continuai à promener le re

ce qui me mis à nouveau dans une colère que je m’efforcai de manifester simplement en deglu

’elle réclamait tant sur sa tombe, ce qui nous choqua Edelweiss et moi. Me souvenant des propos de la Voix “que toute tentative de renier cette nouvelle identité nous vaudrait une élimination”, j’attendais le stress au ventre, la sentence de l'Intendante qui tomba comme je le craignais : ils étaient vraiment sérieux avec ces menaces ! La réaction de Camélia qui se mit à paniquer me turlipina. Par Candéla. Il était clair que quelque chose de

l'Intendante la regarder à nouveau, réfléchir un moment et demander une autre arme. Elle tira ensuite sur Yasmine mais en prenant bien soin apparemment de ne pas atteindre un quel

orma qu’on était toutes les deux sollicitées pour plus tard. Je repondis aussitôt pour lui donner l’impression de coopérer et entrer dans ses bonnes grâces tandis qu'Ed

s, qui était demeurée à genoux jusqu’ici à deux mètres de là où Yasmine avait reçu cette balle, se lever avec l’aide de Gardénia qui était allée la chercher et l'avait emmenée près de la fontaine où était toujours assise Camélia les jambes repliées qui continuait à dandiner, les yeux remplis de terreur. Apparemment, elle souffre d’un traumati

t plutôt un bon début ! Mais je réglerai ton cas plus tard

’elle, à observer Edelweiss que Gardénia essaie de faire réagir en vain. E

nsuite, on aura une petite discussion entre f

la rage et un sentiment des plus amers de vengeance, quand la porte s’ouvre sur un

lors pour le