img Johnny Leggy: A literary comic  /  Chapitre 4 No.4 | 11.43%
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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1363    |    Mis à jour : 26/05/2022

cis

lloté dans un linge blanc, avec les sangles autour de

y, pue l’hôpital. Charc

e chose, mais comme il est dans le cirag

sourires blancs. Elle lui donne sa bouillie puis s’en va quan

te, sans sav

momètres dans la bouche, scruté le fond de l’œil avec une lam

t-ce qu

éjà depuis la veille. Johnny a bien senti le grand vide en des

n 4 ju

n, l’aéroport, la

y le sait, mais il

tout le monde autour de lui se

Johnny, et son père menace déjà de le foutre à la porte. C’est un alcoolo’ notoire, et sa mine grise, violette, sa barbe de 10

menace plus vraiment : s

. Quand je te parle, tu po

ffle trop court, r

même ton père, b

tit

ny en a 25, et il ne peu

ntemple ses jambes disparues à travers la bosse

nous prenais pour des cons, hein ? Ta mère

is, et comme tous les soirs il monte dans la chambre de Johnny. C’est la première chos

quand il est part

s conneries de poivrot quand sa mère

ulait partir servir la Patrie. Encore un truc qu’il aurait voulu faire

: c’est le seul qui se

ny n’était pas là. Quand elle a plus urge

mais c’est d’un amour de dégoût, de

enêtre quand il se pointe avec son air même pas suff

r parlé dans le vide, plus pour être là qu’autre chose, et se visse devant la télé qu’il met très fort, et Johnny reste dans sa cham

e sans dire un mot, ouvre la porte qui baille déjà, Johnny ne pre

regarde Johnny en cherchant le petit garçon qu’elle a aimé autrefois. Puis elle voit les roues du fauteuil

ive et r

rge tu pourrais au moins souri

finalement Papa est la seule voix am

’tit n’y est pour rien, tout ce malheur qu’il y a da

e douter p’tit, qu’t’avais pas les épaule

nquille, soupire

e même plu

nd la mère, tu as b

intéresser à son dîner, une soupe épaisse pour pe

s jambes, fait encore le pèr

jambes. Le p’tit c’est pas parei

y peut, s’il a j

nt plus où aller, que de réfléchir sans fond sur le malheur de leur maison, perdus entre la ch

glés, au bout du rouleau, vides, paresseux sous couvert d’être tro

garçon qu’ils cherchent en lui. Ils y arrivent parfois, pour

colle à leurs épaules qui pèse comme un coffre qui a pourri, et les rares secondes de passé retrouvé répandent sur la lumière grise de l

n copain, un camarade… lui ? Cela passe comme une illusion fugace, une idée qui n’est pas née, et l’horloge de la salle à manger tinte à pleurer, rappelle qu’

Mais père et mère sont à ce point appliqués à lui remémorer le passé, à tout briquer sous ses pieds qu’ici-

n affamé, un malade doté d’un droit absolu de vivre, n’

u comme contempler qu’on est déjà mort, noyé, voir à jamais s’é

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