ut et Joh

ne pense pas tellement, tellement il veut. C’e

r payer sa pitance, loin de la fac et tous ses fils à papa… Loin des parents qui ne comprennent

’il tenait aussi à faire son Droit. Quand il reviendra, il sera un homme, un vrai. Un qui a connu le feu, la vérité de la vie, so

ny. Le père entre ses trois boulots, la mère avec sa couture et ses ménages. Mais il ne leur en veut pas, Johnny, il s

er. Il vient un temps dans la vie où il faut savoir n’éc

, il passera encore un été à réviser son Droit sans grand air… Il s’accrochera, mais il s’us

ction qu’il le voudrait : c’est déjà formidable qu’il lui offre

L.A. jamais aucun pensionnaire n’a bouclé son cursus en s’appuyant sur ses seuls talents sportifs… L’université attire surtout les athlètes pauvres pour dorer son blason d’ex

Il sait parler, le bonhomme. Il va droit au but, le bonhomme, et Johnny aime ça. On ne

hnny est content d’en rencontrer un, un peu aussi parce que c

es chou, Johnny, on croirait presque que tu vas le faire

et ces filles avaient l’air de bien aimer. Mais le Sergent instructeur l’a fixé bie

nouvelle que Johnny lui a apportée : « T’

oin pour finir mes

ais combien de types rev

ndrai pas les

r… Dans ta tête, ou da

aime…, lui dit Jo

durera ces conneries ? … Est-ce qu

pas : six mois, c’e

six mois et un an, voilà ce qui est marqué. Le te

ux relu avant de signer. Pour un apprenti avocat, ça n’est pas terrible. Alor

pour seulement six mois de vadrouille

, sa petite princesse chérie, son fruit unique dans ce monde si dur… Sa mère est une ancienne reine de beauté qui n’a jamais travaillé. Elles ne s’entendent guère toutes les deux, la mère jalouse de la fraîcheur de sa fille, de sa b

honnête, volontaire et travailleur, c’est vrai. Beau gosse aussi, surtout : les filles ne manquent pas de le lui rappeler. C’es

rk, comme Bella aimerait, et le cabinet d’avocat qui va avec, il en sera déjà pour s’endette

x, et malgré tout leur amour, leur passion,

s vies emplies de joies estudiantines suffisent à leur faire oublier tou

ssez, jamais assez, même pour ne pas trop y penser, même pas pour en gaspill

Son amour à Donna, en fin de compte, est bien peu de chose à c

, la découverte de l’étranger, le désert et la « mission »…, la mission dont lui a parl

ratie dans le monde, merd

y la regarde qui le juge pleine de reproches, d’un œil sans p

bien ignorante, elle lui fait pitié.

pour lui prouver. Il