gue
en même temps uni, unis, par la seule force de la trouil
it donné. Gonflette et picole au programme. Six semaines que ça dure ! et ils crèvent de crever
sait bien ça, Flaggy comme on l’appelle, le Sergent-chef qu’a six mois de mo
souriant un peu. Il pense : à la mission demain, au matériel, aux
resse. En fait : il n’y a que l’
f en second. On est tous venus pour ç
us pauvres d’abord, nous tous quelque part. Mais devant les copains et les instr
c comme une grande virée dans le désert, avec le sable, le vent, l’horizo
lunaire, et vrai. Quelque chose à reco
on est comme on sera les champions,
it. On ne rigole pas. On contrôle les papiers, on demande où ça va, ce que ça fa
être con pour pas voir que les squelettes nous
ue par le vent s’élève vers le ciel jaune. C’est quoi ce pays où même le ciel a la couleur du sable ? Ici,
ar-dessus le camion et la route encombrée des autres tanks et des voitures qui n’ont rien
son M16, le chauffeur se replie sur son levier de vitesse en
it bien repérer l’ennemi pour donner ses ordres. Quand un brui
dans la gorge, tremblote et pisse le sang comme de l’huile. Johnny attrape la radio : « May Day ! May Day ! O
re une Mercedes, Johnny voit encore d’autres types qui l’alignent avec des kalachnikovs,
lement éteint, puis un flas
e qu’un jeu vidéo. Le son tre
e la fumée, la pou