img Rouge Poursuite : Tome 1 — Kali  /  Chapitre 4 No.4 | 21.05%
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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1926    |    Mis à jour : 24/05/2022

pit

courses. Mes parents étaient contents pour moi, quoique très inquiets que je sois seule dans une maison en plein milieu

mais l’autre avait senti quelque chose d’étrange, je résistai à ma forte envie d’y retourner pour a

ympathisé avec Paco, le patron, un homme jovial t

s pensées, il s

que tu vas faire aujourd

ravail, j’ai de bonnes économies, mais

échissait. En me regardant avec un

is il travaille d’après-midi et de soir, si ça te dérange pas, tu peux l

iter, je

Avec un doctorat en sciences, j’aurais pu prétendre à mieux, mais en attendant, cela me convenait, c’était

llement de commencer à travailler, sans amis ni

e n’allais pas me laisser guider par mon instinc

s très loin. Je fermai les yeux pour apprécier chaque bruit. Je sentis un petit air me frôler, surprise j’ouvris les yeux, ici il n’y avait pas de mistral. En regardant les feuilles des arbres je me rendis compte que rien ne bougeait, étra

e à seize heures ce qui me laissait

le premier jour de travail. J’arrivai toute pimpante au pub. Paco, de son vrai nom

ou cassé. Après la fermeture du bar à vingt-trois heures, il fallait que j’aide pou

heures puis revenait pour le service du soir. Avec seulement 800 ha

pe de pop-rock local « Daymo » devait se produire à partir d

ai un peu avec eux avant qu’ils ne commencent le concert. Ils étaient très sympathiques. Les gens commencèrent à arriver vers dix-neuf heures trente, certains

ais jamais autant servi de verres. Vingt-trois heures trente, fin du concert, j’aurais dû partir vu que mon service se terminait, mais je ne pouvais pas laisser Paco avec tout ce bazar. Pendant que l

s pas vous embêter, mais

re ? Un bouc discret entourait sa bouche aux lèvres pulpeuses, ses cheveux couleur ébène faisaient ressortir encore plus ses yeux. Cet homme était vraiment mag

pas entendu, j’ai encore les oreilles

sais, mais la se

je pars, je fini

ante et chaude qui fit vibrer

rcie et j’espère v

elle, me dit-il avec un

Mais qu’est-ce qui m’avait pris de lui dire ça ? Je me remettais au travail to

es yeux, son visage, son corps. J’imaginai qu’il m’embrassait sur toutes les parties d

qu’un an de moins que moi, mais paraissait plus âgée, plus mûre. Elle m’avait raconté son histoire, sa maman était morte d’un cancer deux ans plus tôt, elle avait donc repris les rênes et avait appelé l’

chaleur était insupportable ce jour-là. Je mis dans mon sac des lingettes et du d

en place leurs instruments. Encore un petit groupe local, Paco aimait bien faire travailler les jeunes du

as d’Apollon, j’étais vraiment

s ma surprise en apercevant Apollon ! Toujours aussi beau. Il était habillé avec un jean bleu et un tee-shirt noir qui lui moulait parfaitem

i gauchemen

’est-ce que j

s’il vous pla

s rien dire et pris la direction d’une autre table pour enlever les verres vides. Plus froid que ça,

es clients en essayant d’adopter un air jovial. Non, mais vraiment, une cruche, voilà ce que j’étais

. Mes oreilles bourdonnaient, j’étais fatiguée et surtout en colère, je n’avais en

, Paco me payait gracieusement

je vis que monseigneur l’

déranger de nouvea

na enfin me regarder pour me répondre. Un petit sourire e

n’est pas tr

désolée, je pense que la fat

is, je pars,

, à vou

ais même pas le nom et que je n’avais vu que deux fois. C’était complètement ridicule, mais je m’accrochai à son imag

age était faible, mais avec la lune pleine j’y voyais assez. Mais ce soir, quelque chose n’allait pas, je me sentais observée,

sprit vagabondait, des images de la soirée me revenaient en tête, les discussions avec les clients, les musiciens, Nathalie qui avait remarqué mon changement d’attitude même si je m’étais efforcée de faire

*

tres de là, dans

laissez-moi

es frottée à moi, main

partir, je vou

d jouer avec toi

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