pit

lle, ma robe blanche tachetée de vert, des brindilles d’herbes encore enchevê

toujours ça quand ils ne savaient pas à quelle heure je rentrais. J’avais une boule à l’estomac, j’avais

e ans de mariage. À mon entrée, elle releva la tête, mais ne dit rien, son regard disait tout. Un mélange de

ce qui s’est passé, après tout le m

-toi et explique-moi

s pas envie de ça, de cette vie toute tracée, j’espère

t irrespectueux, mais jamais je ne pourrai te blâmer d’avoir choisi une

femme charmante certes, mais intolérante à bien des points.

s sanglots avant de

ne nuira pas à l’amitié que Yannick et lui entretiennent depuis tant d’années, mais il fallait que je le fasse, ce n’était pas m

tu ressens, plus que tu ne l’imagines,

lée encore, j’espère que papa et

serra très fort puis me dit les seul

t, nous t’avons

aduisit par une nouve

tait son lieu de prédilection pour réfléchir et résoudre les problèmes. Devant mon hésitation pour ouvrir la porte ma mère me prit de nouveau la main et dans son regard je compris « pas

laircis-toi les idées, je t’attends en bas, je te

ndre, je

. Ne sachant pas trop sa réaction, je m’approchai doucement. À mon grand soulagement, il vint à ma rencontre et me serra fort dans ses b

a parole

rande fille, que

a ! je ne

expliqué pendant que tu étais sous la d

gi ainsi, mais je me suis rendu compte, certes à la d

aucune colère, juste de la tristesse,

nous r

faire maintenant ?

fonde inspirati

demain,

de mes parents se vir

que je me libère maintenant sinon je

de leurs deux têt

i de Thomas. Il faut que je parte sans me retourner, mai

la parole, un

u aller, et que

e très belle région. Il faut que je prenne mes distances, j’ai be

gement et un emploi, j’ai mis pas mal d’argent de côté en travaillant à la supérette, et pui

tu pourrais partir plus près pour

levai la tête pour regarde

les maintenant, et si je suis trop proche de vous, au moindre souci je serais tentée

ardèrent et je vis un peti

is que s’il y a n’importe quel p

mporter, il était plus de minuit quand je montai dans ma chambre.

e, j’avais vraiment besoin de récupérer. Je me levai et m’habillai, un short et un petit débardeur feraien

e, elle me préparait mon thé

our vo

re qui avait levé les yeux de son journal. En prenant mon petit déjeun

eoir à côté de moi,

devions te donner un petit cadeau, mais nou

ouvris sans attendre. Mon cœur s’arrêta, un chèque

entis deux petites larmes c

trop, je ne pe

èque, je ne veux pas que ma fille v

rires, je remerc

, mon nécessaire de toilette, des photos, des petites babioles sans intérêt pour d’autres, mais ay

e et isolé. En allant plus loin dans mes recherches, je tombai sur une petite maison en location, je fis défiler les p

l’annonce. Au bout de deux sonneries, j’entendis une v

i, a

éranger, j’appelle pour l’annonce de la mais

toujours disponible, si vous voulez

la région, j’arrive demain en fin d’après-midi, mais je ne sais p

suis disponible, mais à partir de dix-

tre arrivée, si je rencontre un pro

onc demain si tout va bien,

ement

, de peur. Qu’est-ce que j’étais en train de faire ? Non, il ne fallait pas que je cède

de bien extraordinaire, taboulé, salade de tomates et tranche de jambon, un yaourt et je me dirigeai de nouveau vers ma chambre. Je continuai mes recherch

, mes yeux étaient fatigués, un peu de repos avant de descendre pour le repas du soir. J’entendis un petit coup à ma

ouvrit l

on va manger,

n essayant de me

elques minutes,

ien, on

je rejoignis mes parent

as a a

. Mon père m’avait an

is ma fourchette et recommença

si tu ne te décides pas à le faire il risque d’en souffrir, il n

je me sens vraiment pas prête à l’affronter. Je vais lui écr

chérie, je

rci

i, j’avais blessé Tho

parler plus, ils me laissèrent tranquille et le repas se fin

e remontai dans ma chambre, le cœur lourd. Je pris une feu

om

is rendu compte que mon cœur ne t’appartenait qu’à moitié, je ne pouvais pas rester auprès de toi en sachant que l’amour que j’éprouvais n’é

a

lit et me mis à pleurer en silence. Je m’en

escendues, je me mis à table pour prendre mon petit déjeuner. L’aube poin

u es déjà prête. Un lon

pars, sinon je ne serai jamais arr

déjà trouvé

ans un petit bled, rien de grandiose, mais je

le lo

nd je serai arrivée et que j’aurai pos

e fais confiance, mais s’il

ssai un pet

an, ne t’i

dans la voiture. Le cœur lourd, mais à la fois léger, je ne savais pas que deux émotions contradictoires pouvaient se ressentir en même temps. M