eux

orte pas, cette neige et ce verglas qui tord

-end tous les deux. Mon oncle, le frère de mon père, était aussi un alcoolique, mais comme je n’avais jamais vécu av

’étais heureuse de lui présenter ma famille (un p

forêts et de chemins de randonnée. Il y avait un restaurant et des chambres d

pour un premier w

ureusement fort en caractère pour arriver à supporter son bourreau. Je me souviens m’être fait la réflexion que les deux frères (nos pères) n’étaient pas si différents au final ! Deux tyrans qui régissent par le poing et la voix levée ! Ils devaient tenir ça de mon grand-père, que je n’avais jamais porté dans mon cœur non plus, vu la façon dont il traitait ma grand-mè

ma famille et mon copain, j’étais plutôt satisfaite. J’

s d’une lampe de poche, sur un chemin de terre nous menant à notre chambre, petit

vieux pyjama violet en coton épais avec des pantoufles plus grandes que mes pieds. Je n’étais pas le genre de femme fatale qui passe des heures dans la salle de bain

dait. Je rêvais de ce moment depuis longtemps

le mais je ne sais pas du tout comment m’y prendre. Un sentiment bizarre m’envahit, je suis partagée entre une réelle

commun. Quand on est amoureuse, c’est ce que l’on devrait toute ressentir n

suppose à ce moment-là que toutes les premières fois doivent être comme ça. A

einement sereine et à l’aise. On avait déjà dévêtu mon corps et c

chose de très important pour moi, je savais qu’on

ois qu’on me le disait. Je me suis sentie tellement chanceuse d’entendre ces mots de sa bouche ! C’est vrai qu

us d’importance à ce mot

mots s’est installée tout en finesse, l’année allait