ans
ait me faire échapper à cette vie. Je la voulais autrement
ns en mauvaises fréquentations. Je passais mon temps à rêver d’une vie m
, les soirées arrosées d’alcool. Insouciante et i
ait pas la peine d’être vécue. Ce qui était sûr c
p écouter les gens, me mettre à leur place et les aider du mieux que je peux juste avec quelques mots. Les mots dans
i comment je devais me comporter. J’avais l’impression de n’avoir aucune personnalité ou au contraire d’en avoir trop. C’était tellement plus fac
eur bras retrouvant une vie de famille stimulante et faisant de beaux projets ! Qui j’étais moi ? Je n’avais rien ; en tout
xploser de dégoût pour moi-même et ma volonté a fini par être suffisamment grande
oite face à ma vie, le regard fixe de
on enfance et moi, juste assez pour que
qu’une chose de moi : « la crainte ». Se pensant suffisamment fort pour m’éduque
comparée à ce rustre, chez qui la moindre porte qui claquait, déclenchait un tourment
aimants, braves et gentils, certains étant sportifs,
hambre. Et bienveillant… non, mais le seul bon choix de sa vie a été de laisser le contrôle de la mienne à ma mère. Sans elle… eh bien il serait
e sa part de vouloir s’en sortir. Ou de vouloir juste rendre ma mère heureu
crainte m’a rendue plus forte, j’ai du caractère, de la f
s l’histoire ne serait sûrement pas la même… vous savez, c’est comme quand vous regardez un film et qu’à travers la télé vous hurlez en essayant d’expliquer à c
is elles nous ont sûrement apporté quelque chose pour en
soumis et évitant tout conflit, tout en étant doté d’un certain c
n amour qui tombent plus facilement sur des crapauds que sur des princes charmants ! Tu auras beau les
ndait pas aussi bien que je l’aurai voulu. Pourtant c’est elle qui à ma naissance, voyant que j’étais plutôt mignonne s’était tournée vers ma mère et lui avait dit : « C’est bon ! On peut la garder ». Bien plus tard, sa vie droite à côté de la mienne me rendait vraiment jalouse. Moi, j’ava
17 ans, bientôt 18 a
et qui aura mis presque 30 ans à se trouver). Cache-cache était mon
n’était pas agréable, je n’étais pas heureuse de rentrer chez moi le soir ; à chaque f
» « Est-ce que son humeur va varie
maison le soir, tout était sans joie dans cette mai
la terre entière de ne pas me comprendre sans avoir besoin de raconter. Je pouvais lire dans tes yeux pourquoi on ne lisait pas dans les miens.
a place ! Je serai bien plus forte que mon père si j’y arrive ! Lui et mon 14 juillet ne seront plus les bourreaux de ma vie ni la cause de mes mauvais choix. Je vais en
lement que je ne l’aurais pensé. La volonté vous donne la force néces
faire de ma vie. Voyager ? A
e passer comme