Le deui

son réveille ; de savoir la présence de sa fille Grâce, ces parents lui avaient donné le goût de vouloir réaliser sa vie ; les

e de la même façon, et tout le monde n’aura

t le balayer pour reconstruire une autre vie, la mère de Bibi lui conseillait du mieux qu’elle pouvait à sa fille : lui racontant sa vie, ses déboires amoureux, comment son

rongé par la dépression, incapable de surmo

ec tacher, d'autres je ne sais quoi te dire, tu aurais l’impression que tous les hommes ne savent plus ce que c’est le bonheur sur cette terre. Tous les enn

tte gourmandise énorme dans leur pense fou et cruelle, si quelqu'un voudrait te quitte ou de te détruire c'est à

dra cherche en toi toute la force pour te faire une place d’abord pour toi-même, et après celle de ta f

oleil ne brillera que sur ta vie et ne s’étreindra jamais, c’est comme

corps de ta vie qui est le train ou une voiture bien garé

sera épuisante, mais beau aussi à la fois, on aimerait tant que femme de se lâche, al

nt parfois une belle blonde aux gros seins, ou brune avec petit sein, sexy, travaille

e plus tard école, l’avenir de tes enfants, tu es crève, la fin de la journée là temps que tu résisteras à tous les

tu dois le dépasser et ne pas regarder tous les jours en toi, et te dit j’ai échoué,

anquillité elle se baladait avec sa fille dans le jardin de la propriété, la chaleur leur empêchait de reste trop dehors, elle rentrait avec sa fille et le reste de membre de la famille fit aussi pareil av

fois avant que la maman de Bibi

a combine, allô qu

ge je suis Virginie pourriez-vou

i attendez, ma fil

ne ne m'a pas donné son nom elle ne veut

a conversation que sa fille allait entretenir, c’était une mère qui ne

est ce qui ve

e reconn

émoire et je ne trouve pas où

ur de Joël, vi

mille, tu as été vache, tu as donne et conseille ma meilleure copine de sortie avec ton frère que je ne voudrais

'ai fait tant de mal mais

savoir de vous tous,

es-tu venu essuy

ant ma vraie cop

ider à me relever quand ton frère est parti ou j’

e après un long voyage que j'avais fait avec moi-même le pas de refaire ma Grace à ma famille tu

ien-aimée pour aller à un bal ou autre ; puis descendit prit le téléphone dans la main de sa sœur Bibi qui restait comme dans un vide ; qu’elle avai

voudrais savoir pourquoi t

l que j'ai pu lui faire et comprends sa réa

mal que vous aviez fait à son cœur, l'humilier, l'insulter, la rejeter, même l'écouter tu avais dit ;

toute ta famille s'il le faudrait seu

j'ai compris parle merde à la fin

nt annonce à ta sœur que Jo

i il est mort quand, je ne s

comment faire mon cerveau en a souffert, réfléchissant, c

l craignait sa réaction si elle apprenait qu’il ne pouvait pas s’en sortir, même ses parents ; ils leur avaient manquer le courage on ne

it la bouche pour parler car sa fille, moi je vais te protéger, maman sera toujours là, les larmes coulaient tombaient sur sa fille qui elle à son tour se mit à sangloter ;

que la vie lui avait tout prit refusant même de reprendre les excises pour son maintien et de surfe dans l’eau en dansant, ne voulut plus vivre, t

tristesse inconsolable, elle ne pleurait p

ais j'ai senti la vie s'éteindre" "le cœur brisé" : " Joël s’en est allé́ sas que je ne puisse n’excuse l’embrasse une dernière fois, ses lèvres et son corps je ne pourrais plus les toucher. Ce jour tragique est arrivé́ alors

s entrées dans ta famille et toi dans notre vie. Je veux croire que tu es apaisé quelque part. Et tu resteras éternellement dans

tte maladie et d’autres poison

rveau, cœur, qui restait devant son portable comme si elle attendait un coup de fil de vie d'une personne, voulant

ublier, on les a parler, prit en photos difficile de reste qu’avec une image d’une photo. Cela fait très longtemps qu’elle ne suit pas monté

e parler du côté de ce moi qui est tout le temps en conflit avec moi-même

bonne solution à ces questions,

serais venu me voir si tu l’avais su on est reste plus de temps à se fâche que de passer plus de temps à se donner plus. Si tu ne crois pas qu'elle en avait asse aussi d'avoir tout donner qu

as souvent au cache, Bibi je suis arrivée à un point ou je n'arrive même plus à lever la tête, ce matin je suis "vaincue abattue dans mes épreuves de fille

n hésitant à boite devant tous, se regard sa mère là connait à l’hôpital ; je prends, ou je ne prends pas se la posait la question, j’avais commencé à prendre le

p étroite pour moi, Bibi jetait la boite à comprimes par terre, et s’en allant sa chambre

on le bon Dieu, la croyance pour elle serait capitale à s’accroche à quelque de puissant, d'autres sont ne le sont pas, je craindrais et de voire combien beaucoup souffrait de ne pas avoir le car de vie que moi, et que moi j

amour est parti avec lui, je suis juste tombée, écroulée. Mon sang bouille d

utôt ironique -puisque j'avais frôlé la mort, à l'idée qu'il ne vaudrait plus de moi, puisque pour lui, je ferais tout. Puisque perso

s cette journée là c'était encore mieux qu'elle ne nous appelle pas pour annoncer cette bombe, elle avait repris le souffle du bonheur, qu'est ce qui ne va pas chez les gens qui par

ion vers son mari, toi aux faites tu laisses faire tout cela et tu me demande de faire quoi là si elle ne veut plus l'aider de personne. Dormir et oublier notre fill

sa

père en fait quand il voir le désespoir dans les yeux de sa fille, je l’amènerais là ou toi tu n'as pas été capabl

st comme ça, est devenu comme ça, si l’enfant se détruit ne réussir pas ça se

our elle serait heureuse, pleinement. Le bonheur tu sais ça se connaît au pondeur d

tre heureuse, penserais-tu d’abord qu’elle accepterait que tu ne fusses pas aller vers elle pour lui faire des reproches en l’aidant. Q

l suffirait de pas grand-chose juste un petit coup de

une autre histoire

. J'ai en moi autant de bons sens que de folie. Le temps ma rattraper, je suis tannée de courir, essoufflé et déboussolé, ne voudrait plus jouer, c'est plus drôle,

e devant elle malgré tout, mais Bibi souffrait à l’intérieur d’elle ; n’arrivait pas à s'exprimer. Elle voudrait se réveil

s sa fille, ne pas lui donner l’impression qu’elle ne

ur ton cœur si je n’étais pas ton frère, je t'aurais pris et

ça, peut-être qu'il faillait me poser cette question en moi, je me retrouve s

t réglés, il faudrait que je le

ute ma famille et voir l'enfant et de me remett

s demande l'accord de sa fille, pour elle sa serait bénéfique po

la parole elle dit : ma fille je ne sais pas si ce que je vais te dire tu prendras ça bien ou pas, je s

ans un regarde vide et dit à un seul mot : faite comme vous le se

rit la combine et appelant po

onne dans la famille ne savait plus comme la prendre. Elle quittait la table sans un mot prenait son assiette et tout comme si elle ne voulait plus exister sa j

dans cœur qui voulut encore s’installer en elle : Un jour avant de partir et que la mala

souffle, mais je n'aurais jamais essayé de te retenir ici-bas. Je me souvenais trop à qu

is seule à tout assum

t soin de nous, dans un endroi

esse : comment je vais aller à l’église ; ce soir j'y vais, il sorti en sanglot et il allait à l

la famille venue à la

oup d’amour, et oubliant à la fin sa tristesse, elle avait tout préparé quand tout le mon

le avait pris sa fille avec elle, tout le monde la regardait, son frère était conte

it Bibi à côte

blessures était fini. Les deux filles s'en allaient dans la chambre de celle-ci, en courant laissant le reste de la famille dehors. Le

re à te remettre et tu dois forcément le lire là où tu voudrais, pour

c’est vous qui croyiez que je suis fâche, je suis passe à autre chos

sais prend lis l

je suis différente je ne sais pas p

e restant devant la porte pour écoute

ttre et le lisa

combien la mort lui avait été

envie de vouloir vite grandir, maintenant elle pourra faire son deuil, son cœur pou

des tournois dans le monde entier

la voix chargée d’émoti

cool, il était ouvert à tout. Toutes les crises de fous rires que j’ai eues avec lui. […] On avait

omme qui avait un cœur énorme, un goût et une jouissance de la vie. Il me faisait des coups invraisemblables.