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Historique

Chapitre 4 LE PARFUM DE L'INNOCENCE

Nombre de mots : 9738    |    Mis à jour : 24/12/2021

t de vide quand il ou elle

it jamais d’habitants dedans à y vivre, cette plaie

end donc que c'est

'est la rentrée, les copines, autant d'obligations qui l'empêchent de

réliminaires c'es

'il y ait pénétration po

c quelqu'un c'est diffé

s apprennent toujours. Larguée, délivrée raconte ces moments de la vie o

nnage, d’être dans une démarche de vérité. Cela étant, je fais le disti

oi-même est la chos

contre de cette jeune fille lui avait donné un reg

habillé on aimerait être comme les autres,

nde leur appartenait et ils ne se protègent pas ils sont dans l’amour vrai de l’innocence des jeunes. Et pour essayer de l

énétration jouissive qu’elle pratiquait avec Joël : Il y avait les c

tête c’était lui son mentor celui avec qui elle voulait finir ses jours. App

il lui donne les moments agréables que tout pouvant tomber mêm

de s’épanouie, chaque jour Joël faisait l’amour avec

e mais à côté d’elle il se faisait petit, s’il pouvait attraper le monde beau et donner à Bi

plaisir qu’elle aimait avoir, tous les ingrédien

us pénétrer en, pourquoi pas, lui caressant les fe

les commandes sur lui, c’était une joue savou

en oublierait presque le plaisir. Et le plaisir, cela passe d’ab

es autres ne bouderont pas leur plaisir

ent au lit, salle d’eau et à la cuisine elle aimai

de ses parents qu’il n’avait pas besoin de

à Bibi de sa maladie

siste à se caresser, seule ou à deux, jusqu’à atteindre un niv

lusieurs fois, pour finalement jouir d

ngée sur le lit, avec les ja

vers la vérité du personnage de mon corps qui avait été abîme par l’accident. Cette méthode de trava

n’en a pas éprouvé ce besoin. “ Elle

arrêter au bon chemin, on se bat avec des démons à l’intérieur de nous que nous ne

i lui faisait peur en vivant l’enfer de ne pas savoir quelle dir

quante, malgré

à avancer “Elle se souvient s’être retrouver cloué sur un lit d’hôpital et manque de peu de se faire amputer d’une jambe au départ de fuir ses problèmes » Mais par mira

posaient sur elle, quand -elle avait repris l’école e

qui ne touchaient à peine l

, souvent mécaniques, ne laissait personne indifférent. On aurait dit les amortis

éplaisait pas. Tout le monde voulait l’avoir comme amie et ressemble, elle n’ap

ielle que lui proposaient ses ami(es) à vouloir être comme une maison figée qu’on ne devrait retaper avec les papiers peints et de la peintu

me les autres la voyait, pour elle ; il aurait des choses à changer, elle es

es résultats scolaires satisfaisantes, je devrais, mais involontairement la compétition était déjà lancée avec son esprit, quand je marchais dans les rues de Paris, cette insolvable vie, c

créature de Dieu, ils ont oublié instant la guerre de ce déteste, et qu’ils voient qu’ils sont tous égaux,

e observer pour faire plaire à mon âme cette acquissions de cette beauté, on dit

dissement je vois ma vie voyage parfois avec mes ami(es) on se baladaient, et quand ils ne pouvaient pas dans leurs

es, chacun cherche une sortir de liberté d’être au sommet de la richesse, ces jeunes qui se

s, l’eau qui filtre les murs de leurs appartements, en tasse dans ses immeubles, les pauvres dans des endroits insoluble, on

illeure en France, d’autres s’en sortir et d’autres non, quel sera la bonne place dans ce monde de poser ses bagages et valises sans laisse

vacances scolaires était pour eux une source de liberté de voir autres choses. Ils sont prêts à tout même à prendre leurs vies en mer prendre leurs jambes ils sont prêts, la vie ne leur dit plus rien ils sont oppressés dan

ing, chasses de tous les continents de cette terre ; ils veulent être accepter c’est là que la beauté de la vie m’a donné une chance d’être né dans une belle

u vent, ils craignent plus d’être pris, ils sont captifs et en prison dans

urs prennent tout même leurs vies, ils leurs br

ls traversaient eux, moi j’ai un bon toit, j’ai tout, ils n’ont pas la moitié de ce que j’ai

chez moi épuise de vo

levés parfois mal élève qui se croit tout permis, où elle allait au Lycée. Pire, se livrait déjà à des pratiques occultes et sataniques, alcool, drogue se faisait des binotages

rrence qui alimentait les conversations du corps professoral ; les viols en réunion étaient examinés par la commune où était implanté le commiss

’école c’est un choix dans la vie, se disait-elle. La réussite dans la vie en est parfois tributaire. Comme ses parents le lui ava

uver souvent piégé de ce choix temps voulu qui n’arriver pas comme on le voudrait, si on ne se bat pas on se dit flânant et qu’on attend tou

s jurer fidélité devant monsieur le maire ; récitant un slogan devenu le lie

és par nos chers médecins qui s’est malheureusement mué en un serment d’hypocrites qui n’ont r

él

voulait recommence à danse, main sans son autre pied, s’allait être dure, elle l

le n’était plus satisfaite de son cœur, avait, la toute puissante Bibi n’existait plus, la prière, elle n’y

ut de l’histoire, il y a une différence aimer la vie et la vivre, étant jeun

comme la bou

chercher l’eau pour enle

les, auraient sollicité les services d’un voyant-sorcier réputé dans l

rchitecte reconstruise son cœur et le remettre en état, ma

-je l’une de leurs n

qui l’aidera à faire les choses, déjà, à l’hôpital ; elle ne voulait jamais quitte sa chai

raison. Les garçons aussi m’avaient prise en aversion. Le grand Alex était l’un d’eux. Il avait raconté beaucoup de saletés, d

ifficile d’avoir une oreille impartiale. On l’évitait comme de la peste. Était devenue

ion d’Alex avait effect

ns leurs regards qui s’entouraient de la haine envers elle était comme un fusil pointe sur sa tête, malgré son handicap, de la condescendance, mieu

ais-je

able pour qu’on puiss

oujours été gâ

charmants pas toujours charmants". "Qu’elle

ttes dans les bras d’un homo

voir que les gens avaient pitié de ma situation, et peut-être que moi a

es un homme marié, ç

question : es-tu persuadée

t Bibi sans répondre, partan

is jamais au bon endroit. Une adolescente, avec s

montrer ses fesses par la fenêtre de sa chambre aux garçons qui pass

, mais là, pour elle rien d’inquiétante ça ne lui disait rien elle s'en foutait de qu'on aurait dit-on sur elle, cette pression morale, certains élèves commen

t des mots sur ses papiers à cahier dans un silence d'une douleur qu'elle ne voulait partager avec personne, c'e

viter durablement moins durable semblabl

ourner contre elle, seront devenu ses pires ennemies dans sa vie actuellement, personne ne m’arrivait à aller vers

te école ou tout le monde te salir te criti

r leurs mauvais œuvres de leur cœur en faisant semblant, donnais la mort par lâcheté de venir fa

toute sorte de malveillance sur elle, vu qu'elle en connait déjà un bon paquet de langue de vipère de

es règles, c'était son manque d'appétit qui l’avait poussé à le faire, en plus, ne trouva

is ne savait pas comment les gens avaient appris avant sur elle ; concernant sur son corps qui avait cha

par les parents qui auront honte, ou autre raison, cette chair qui aurait grandir en soi cette déchirure qui ne finirait jamais jusqu’car la fin de vie, qu’il faudra porte le fardeau de la douleur, l’esprit ne sera jamais en paix, comment, l’

els elle aurait fait la fête, dansé avec trop de gars, les soirées où elle était trop ivre pour se souvenir de quoi que ce soit. Parce qu’elles se seront jalouses d’elle, elle se dis cela parce qu’elle les envie. Elle disait cela parce qu’elle était assise dans une chaise dans sa chambre le sam

qui viendrons vous rappeler combien votre vie ne tient pas à vous ca

omme deux doigts des mains des amies pour la vie, comme nous savons souvent bien le dire de notre bouche et puis le retire dès qu'un souci se présenterait devant nos yeux, nos émotio

xpliquerais-j

e groupe de danse Bibi était

ue vous le sachiez pour vous prendre votre vie, elles en avaient pris à mon égard cette décision, en me tourna

ement comme ça à un être humain, je ne comprendrais jamais la jalousie, la haine dans le cœur, des gens que je rencontrerais sur me

rnité sur cette terre, ou tout le monde se tuer en ce regardant avec une lettre d'amour, que nous apprenions à l'école comme dans nos familles que parfois on

d'eux que même lire la bible, vous prendrait beaucoup de temps pour cherche

en ce moment avec moi, lui fît la fille. Elle n’avait pas compris sur le coup de cette parole, pour Bibi c’était de se faire voir, fille POPULAIRE qui pouvait écraser tout le monde à son passage, si les g

chère et dans une force que personne ne devrai

alors elle demandait à son frère Emmanuel en rentrant à la maison d’intervenir avec ses amis d’intervenir distraitement, tout le monde avait peur de lui, il avait un regard, tuant, pas si costaud que ça, il faisait le sport, qui lui donnait

n, sans arrêt, les mêmes histoires, cauchemar, et images qui défileraient chaque soir dans sa tête comme un calendrier qu'on connaissait déjà, avec le début de la date et par la fin, toujours aussi perd

joie que de peine qui prenait une grand

esprit était en dehors son corps ne

urs yeux, comme la pétanque arrogante, même si dans son air de

it comme si son cœur s'arrêt

e qu’elle valait la pei

t et grandissait en elle, se faisait rappelle combien la vie était précieuse, mais son cœur ne voulait pas s'attache

vie, sans arrêt, tout au long de sa puberté en la laissant avec ses

te jeune fille de mon âge, là ; elle pensait à la mort et au suicide, pourtant les jeunes filles d

et je voyais leur cœurs sur leur visage, et pourtant la plus part ils étaient plus malheurs que moi; sa ce lisait sur leur visage d'ange en démon bien rôde autour de leur proie, on aurait dit des hommes h

hanceté gratuit. Je d'écrirais dans mon cœur tous mes faux amis qui sont venu à moi avec une rose blanche douce et en bas piquante d'une autre couleur. J'aurais bien savoir avec qui je marchais à mes

ouverte toute la journée, tous les jours quand je rentrais de l'école elles étaient toujours ouverte comme si cette douceur de vent qui traversait la pièce ou je me retrouvais était là pour me rappeler combie

après son divorce avec sa première femme après un mois de leur mariage il tombait sur ma mère dans un magasin il tombait follement amoureux d'elle comme il me racontait ça mille fois il tentait de l'oublier mais a vain, il finit par la quitte et cher

ans cette chambre assises sur la chaise, je me trouvais laide parfois quand dans ma tête tout n’y allait pas avec ce que les él

venir caresser ses joues en oubliant ce qui était bien pour opter le mal. On aurait dit une ombre qui la caressait partout, d'autres diront c'est le diable qu’elle portait en elle et d

rter une chaleur, si douce, qu’on poserait des qu

t ce désir de notre corps nous amener à

e une poussière qu’on dépoussiérait sur son corps, pour avoir du neuf, regardant ce qu’elle voyait dans ce miroir, se rejetant. Une fille qui se bat avec son corps, âme et s

mal ; jeter les pétales de roses blanches en l’air seraie

ns sa tête, tellement épuise, fatigue, malgré sa douceur, son sourire portait à son cœur la douleur d’un sacrifier d’un amour qui c’était aller sans pouvoir lui dire au r

’elle, était devenu si noire qu’elle cherchait à qui parler pour vider son cœur, remplir de doute, crainte, parler à un ami, elle ne voyait pas l’issus de son combat envers tous

ir un psychiatre serait le mieux que possible ; elle ne voulut pas partager ses besoins secrets dans sa mémoire cache à une étrange cave. Elle se disait qu'il

t dit garde ton cœ

balayer ses moments qu’on aimerait abandonner, elle lui parlait comme un ami, elle se comparait à une femme habille en robe de mariée, assise sur un banc, pour attendre un chevalier com

, ou l'amour est comme une poubelle qu’on devrait triées les bons déc

regardes, et tu vois que les gens ne peuvent s'empêche de se ment

aiment tellement et que à la fin c'était que des mensonges, l'homme passe plus de temps sur cette terre à détruire que à construire avec amour; donc vaut mieux enlever cette robe

e souffrance qui la déchirant à son cœur, à son âge, souffrant tant de fois, la jeunesse sont ceux qui aimeraient s’en sortir, vie de famille ; entreprise, et non avoir une vi

out à ceux qu’elle avait confiance. Surtout dans cette période marquée qu’elle ne saurait comment e dire. Certains jours elle s

lle n’avait pas de véritable ami d’hommes seul Joël comptait pour elle, mais dure d’être avec lui quand il était hospitalisé il disparaissait sans un mot et sa douleur était si lourd qu’on ne pouvait la soigner mais restant fidèle à lui, c'est avec elle-même qu’elle se bat

fil de vent qui venait souffle sur son visage,

out allait s’arrêter un jour, quand t’elle était avec lui ; elle

e, reste avec m

hée de toi si tu es l’ombre de moi-même je me souviens ce que tu m'as dit en me regardant dans mes yeux, dans ces moments agréable : commence à n’oublier à te faire une raison que je ne serais pl

re ligne d'ici et tu m’as manqué toute la journée et j’é

parfois parce que notre cœur ne veut plus aller dans cette direction pour des projets, et souvent pour des raisons plus cruelles pour faire mal et se réjouir de le

plus de temps avec toi pour l’éternité à ne plus souffrir pour rien. Tu es la couleur de mon sang, tu es la seule chose que je voudrais toucher en c

mment quitter cette l’ivresse d’amour que tu m’as faire boire, qu’importe le gout de ce vin je vais rester comme tu es pour moi la lumière et la nuit, tu fais glisser ton majeur de haut en bas de ma co

oi, mes yeux n’ont rien vue de ta détresse, tu as tout fait de me faire plaisir tu es la couleur de mon sang qui couler da

aque fille voit mes empreintes sur lui et fuir, chaque centimètre de ta peau est un "gray" sacré que je d

s la tête qui tournant que je ne voyais plus clair un peu peur de ça, de savoir si les gens m'appréciaient, de l'image que je renvoyais quand j’étais avec toi ; est-ce que je te correspondais à l’image que tu véhiculais on se s

nais de ne pas réussir à faire ce ménage-là dans ma tête. Je craignais de ne pas exceller sans

ur de l’autre qu’il soit véritable pour nous à tout moment qu’il va nous respect

e moi. Je me suis dit que cela faisait mes années à moi de mon âge comme toute personne pourrait se retrouve dans ma situation que j'étais comme ça, cela n'allait pas me quitter je ne voulais pas que ça

oujours tout ramener à soi, ne plus se sacrifier pour l’autre et s’oublier soi-même. Je suis quelqu'un de très têtu et parfois,

tête "Jusqu'à la dernière minute, je n'étais sûr de rien" Je n'ai jamais été aussi bien tout ce que je veux, c'est ta tête

ont tu as besoin tu es le meilleur que je n'ai jamais eu et le pire que

nt une photo dans ma main que c’est ton image que je voyais et je repense à ce que nous avons tra

n y est même notre cerveau et nos pensées nous en empêcher tous les dimanches, ne t'ennuie pas je voudrais juste me figer avec ses moments, tu l’espoir de mon cœur que personne ne viend

e transformerait en pierre autour de nous deux, je regarde l’horizon la neige tombe d’un coup regarde même les fleurs sont fig

it à voler vont être couper et la douleur à la cicatrice sera énorme comment guérir ce donc on m’a pas prévu qu’il devrait arriver, mais les mois passaient on était toujours e

devenu un cimetière, quelqu'un qui la tenait, l'embrassait plus sur la

s’aime sans se bagarrer, nous sommes juste des étrangères après c’est séparer un moment, nos valises sont rempl

imées, de ressentir quelque chose finalement car elle pense que c'est plus intime, puis elle pense ce qu'elle veut elle ne l'appelait plus au téléphone n'é

ir dans son lit ni l’avoir touché que dans ses pensées envers ces hommes qu’elle avait même dans ses prières chacun d’eux l’échappaient il fallait t

sans compter nos péchés dans notre cœur, des gens on commence à dout

tout ce qui te manque est ton corps parfumé, allongée dans ce lac de baie Daumesnil qu’on va traverser à pieds où sur les chevaux avec dans nos bras nos chats, côte à côte en oubliant le monde un instant dans le panier on aura t

eux alors que l'autre ne veut que "son corps". Les deux être vont fi

des messages à DIEU ; pour voir son enfant qui m'avait créé et de lui pardonne de ne pas savo

ortir pour aller dans une autre pièce, voulant être sauf dans les endroits qui ne l’appartenait pas q

ourer : La masturbation est pour elle une pratique sexuelle comme une autre, pleine de promesses et de terrains à explorer qu’elle pouvait toucher sans se défendre à le faire, il y a aucune honte d’aimé son corps les hommes devraient aussi le faire, et puisqu’il s’agit de se faire plaisir, voyant l’autoérotisme comme un bon plat de pâtes que l’on revisite au gré de nos humeurs et des recettes actuelles avec tous les condiments sans que l’autre à nous dire

n’ai personne pour me soulager, mon corps réclame

de donner à l’autre, si on n’éprouve pas de

i faire mal c’est lui son créateur la patience est pour elle une dure réalité dans la souffrance qu’elle refusait d’acceptait, son cœur soufflait à la douleur de na pas a

ie dans cette sensatio

chambre pour laisser entrer l’air entre, elle ne craignait pas le vent qui balayait son corps dans sa grossesse et ses cheveux, dehors il

écrit

e j'en veux plus je s

tation avec chaque ba

me tuer chaque dose de

cro à ce que tu me donnes si

tu sembles venir d'ailleur

ou une présidente, Bibi ait là po

ent bien les formes

d'espère et

i que ce soit pour vous em

s yeux étaient en train de m'appeler-Toi

t plus vite. Permets-moi de te

le s’habillait et allait dans l

aitait le film de sa vie il y a du bon et mauvais, en revoyait ses photos étant bébé sa grossesse qu’elle ne voulait que personne ne sache, puis une jeune fille est en elle quoi se

ie, elle arrivait à placer ses deux photos à la même longue pour pourvoir avancer ; elle se rendait compter combi

e l’envie, ne lui faisait rien, pourtant d’autres filles en aimeraient vivre ça, c'était un cauchemars pour elle de le vivre, la plus part des gens dis

r autour du sexe, drogue et d’argent, est-ce qu'elle était devenue une esclave sexuelle à le

e réponse mais le sexe ça faisait partie de deux corps, quand t'on voyait les

aimer pas et pourtant on l’aime, pourquoi nous som

cause de sa beauté fatale et de son habillement à coupe le souffle, mais là son miroir lui parlait après un bon bain, d'autres filles en rêveraient d'avoi

handelle. Je pouvais le savoir jusqu'au jour où j'appris que j'étais enceinte toute seule dans ma chambre ce déchirement de mon cœur, prenait mon âme, mon Esprit, j

lumière dans le monde. J'ai de l'angoisse répétais t'elle, de la peine, cette peine profonde qui va et vient s’éloignait parfois un certain de celle

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