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Historique

Chapitre 6 LE PARFUM DE L'INNOCENCE

Nombre de mots : 5150    |    Mis à jour : 24/12/2021

L

t pris pour garde sa puce, c’est vendredi soir, elle déci

mort du seul garçon qui la prenai

t de fume mais de s

e nouvelle journée qui allait commence un bon samedi. Elle allait se préparer, d’une beauté

r. Comme les parents avaient mis une alarme à la porte de la maison, dans la journée fît monte un escalie

voir une grande envie de sortir en douceur sans se

ies musicales les rois du monde, que la princesse a

e voiture qu’elle avait garé un peu loin de la maison, et Bibi très contente d’avoir fait les choses en douceur sa

essus, le parfum de leur odeur, ses parents qui dorment tranquillement sans savoir que leur nuit va être bouleverser ; ceux qui vont enterre et ceux qui devrons se battre à reste en vie dans une rude épreuve qu

, même si nos yeux voient le contraire, combien de temps enc

s décisions de ses projets, son corps allait lui faire prendre une décision qu’elle-même sera au départ da

le seconde d’inattention sur la route, ils étaient en train de discute, étaient encore dans la soirée de l

mal et le verre glace, faisait en sorte que la voiture avait pris un glissement jusqu’car se faire frapper sur un poteau d’électricité, tous fissent presque vivant, sauf le côté de Bibi ou elle était assise côte passage de devant, sa ja

à Paris le plus réputé pour les accidentés, les p

malgré tout le possible qu’ils avaient fait pour le maintenir il y avait plus de chair on pouvoir l’os en évitant l’hémorragie interne et externe, c’étai

lendemain handicap d’un pied, ne voulant rien comprendre de la vie, plus vivre, au réveille, c

’il lui manquait une jambe et sa réaction fut si violente envers elle-même et tout le monde qui se trouvait là, leurs chassant de la laisse tranq

us me remettre mon pied, je suis née avec deux pieds et non un

rait dit que c’était plus tôt le contraire qui se passait q

que je va

opain, à l’école on va me rejeter, je vais d

x plus regarde les copains même mes ami(es) ne vont plus me considérer, les s

il faire sexuellement avec moi, il ne va pas

aux pour moi sa serait mieux que de devoir voir les humains

s), mes activités comment vais-j

veux l’oublie j’ai toujours des soucis : je te maudis

tout ce donc, on lui proposait ne pouvai

it y rien faire, malgré qu’elle vît les aut

ne pouvait dire à personne. Quand sa fille était-elle changée tout d’u

Ne cessant de vivre, souriait comme toute personnes normales, comment se d

pour l’aide à se relever, m

nte dans les gestes, comportements ne pas brusquer pour ne pas avoir les frottements aux discutes quand Bibi était à l’hôpital elle devrait s’occuper de s

arrivez plus à me regarder, tout ce que je vois dans vos regards cett

n’êtes pas responsable

se sentait au bout, fatiguée, meurtri, anéanti,

qui m’a enlacé dans ses bras tous les jours il aide les soignants à faire mes soins, il

arrois qu’ils avaient dans leurs cœurs qu’ils avaient conteni

as le blesser, ni pleurer devant lui, c

e ne pas lui faire mal plus qu’elle en a déjà, plus de force de

ancer et réapprendre avec un nouveau corps et oublier l’ancien

e leur enfant après l’accident ne sera plus pareil, on veut que tu reprennes la vie de l’autre côté de la ligne, seulement je me posais des questions sur t

ans quel état je sui

je pouvais me lève de là, je casserais tout, pour revente m

rsonne pour me sauver même ma fille dans les bras ne me fait plus sour

et tu n'es pas là pour m'aider à surmonter tout ça, moi je n’étais pas là, je voulais vivre sans plus trop m’interdire les choses de la

paye le prix fort d’avoir chercher

ternel rien pour une soirée je ne l’avais jamais fait, et puis tu m'

ux quand ça me faisait mal, parfois je tombais dans tes bras pour soulager les plaies dans mon cœur, ses épines qui piquaient cette chair qui vivait envie. Je ferais mieux d'abandonner et de prendre sur moi ; alor

dant le ciel et dit merci mon chéri Joël.

ulte. Je ne me suis jamais donné la possibilité d

us reverrons un jour ou l'autre. Si seulement tu étais ici et ne sais pas comment vivre sans ton amour pour moi j’étais née pour te rendre heureux ce soir je sais q

ulte. Je ne me suis jamais donné la possibilité d

eur si tu étais encore là, je me sens coupable d’avoir pas vue que tu n’allais pas bien, ses rdv manquent que tu ne venais

reverrais plus ma jambe. Je suis encore s

rs injustement parce qu’on est impuissant devant l’acte commis à notre cœur, on veut que nos cœurs soient guéris par le cré

e je me prends et que je vais me prendre dans les jours qui viennent. À partir de maintena

rop lou

gretter d'avoir posté ça. Je ne devrais pas. Je ne sais pas en fait. Pas parce que j'évite le chagrin, je veux

s vieux qui avaient données tous leurs vies à donner à l’état n’ont plus de repère, qui penser à eux cette alliance qu’ils ont porte deviendrait lourds à

derrière, on se bat sans savoir où le combats étant vivant va commencer, on aimerait briser ce mur que nous avons pla

vivrais jamais ça, ils n’ont plus rien au savoir qui sont-t ’ils réellement comme nationalité on le porte parce qu’on est née quelque part : eux ils le vivent moi je n’ai pas pris le bateau ni traverse cette mer pour all

asseurs dans la Manche, "Oui, ils payent un passeur de 2000 euros. C'est impossible de faire l

sée de Calais à Douvres avec ses autres qui ont payé une somme. Eux tous disent ceci : "J'étais dans l'eau pendant 14 heures. Il rejoint des amis et traverse la Méditerranée sur un bateau pneumatique : « Tu te vois mort. Le bateau où tu es assis est en plastique, et risque à tout moment de se percer. » J'ai

et de leurs identités. N'ont pas le droit de rien faire, même pas de parl

est malade, quand on accouche (heureusement d’ailleurs). On

la chance ; je regarde ces autres peaux de couleurs qui doivent se battre dans ce monde que le créateur n

e et la mort qui nous l’imposer qu’on ne peut contrôler, ces enfants qui jouaient sur des rues en oubliant la peine

’avez-vous pas laisser mourir pour que je ne puisse pas voir ce déche

, quand t’elle pensait ne plus la soulever j’aurais voul

les soins qu’on lui prodiguait ne lui faisait pas grand-chose :

opérations qu'elle a subies "Ses organes ont quitté son corps se demandaient ses ami(es) qui venaient la voir "

tat mental chute quand sa fille n’était pas là et la photo de Joël on aurait dit que sa force venait d’eu

omme telle que je suis devenu, l’enfant que j’étais avant n’est plus ne me traitez plus comme la petite fille, je suis brisée de tout mon corps, regardez mon corps est sous des bandes, les

ez mis au monde avec toutes ses membres n’excisent plus, voyez-moi avec d’autres yeux maintenant, on ne peut plus rem

ême esprit. “J’aurais compris qu’il me quitte s’il m’avait dit qu’il souffrait dan

pas complètement disponible à avoir une relation il c’était approcher de moi, comme j’avais peur de sortir avec les garçon de l’école, certains étaient si cruelle avec les filles certains avaient deu

aient une dignité propre, les faisait faire toutes formes de violences qu'une femme peut subir, elles les subissa

isaient leurs rêves, d’être la femme qui devrait être digne d’un homme, a genou toi devant moi, lèche mes pieds, ils leurs frappaient, Bibi refusaient ces relations toxiques que ce

plus ils leurs enfonçaient leurs têtes dans les toilettes. Ils rouaient de coups (...). Avant de dormir, ils leurs disaient s’ils les entendaient respirer ils vont leurs tue. Ses filles disaient toutes : J'ai dormi dans ma pisse, par terre. Je priais po

ntre elles vont dormi dans leurs pisse et sellé, par terre. Elles priaient pour ne pas mourir". Les titrés de ces g

laisser dans son monde qu’elle avait construire, cette barrière de ne pas laisser qui que

n état mentale et physique en ce moment pour la suite vue que tu ne crois plus à rie

câlins me manquent, même toi grand-frère tu es le seul qui ne s’

-frère était très durs envers lui-même, avec les prin

lques minutes plus tard sans en savoir l’origine de cette tragédie, à chaque fois qu’elle se

t pour mérite

était que l'on lui donne un téléphone pour qu’elle puisse dire au revoir à sa jambe"

s. J'ai vu mon squelette avant de tomber sur pomme. J'ai

rps est comme un gilet pare-balles pour ne pas être tuée : je ne pensais pas qu’elles aient eu à vivre ça (…) Nos vies sont di

que faire contre le hasard qui vous a fait naître, « Les gens se bousculaient à l’hôpital, il y

arce qu’ils en veulent à ma vie, à mon sang

e je suis belle et bien avec mes me

ngeait rien dans son mal

r dans son cœur afin de trouver ce linge sale qui

rmi qu’elle y continuera à dormir, rien ne changera à ça, sa fille a déjà sa place avec elle dans la chambre, elle était devenue comme une diablesse comme si tout était encore pareil, examinait de fond en co

mitant toutes les grandes stars de la mode et du cinéma. Le verdict serait sans a

chose dont l’explication ne se tro

t dans mes peurs et dans mon corps abîme que j’avais mal pris. Je souriais pour cacher ma do

je raconter m

de stress post-traumatique, et commence à perdre mes cheveux. "Je regardais mon corps, et je me disais qu'il allait s

comptais les cheveux qui tombaient (...). J'ai littéralement dû faire l'invent

on gardée, je ne voulais pas jeter l’anathème s

quoi se morfondre. Un examen de conscience s’imposait. Certainement, il fallait bien trouver au plus vite la raison qui faisai

l’appétit même devant des mets exquis. Je perdais en l’espace de cinq mois, 5 kilogrammes. Personne auto

c tomber, c’est quelque chose que tu ne prévois pas », elle analysé avant d’ajouter qu’elle était sur le marché du célibat… Et qu’elle n’était pas contre trouver l’amour, le vrai ! « Je ne demande que ça

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