ix d’u

pêcher ces choses dans ma vie se disait Bibi si j’avais eu

nne elle la reprend, on

me le pardon serait si difficile à effacer les blessu

ils mettent du sel sur les plaies de ses complexes avec tellement de haine qu'elles vivent avec la peur au ventre quand elles voient leurs cartables par ter

ont les rejetés, méprisés tous ces mots ont fini p

uffrance que j’avais développé dans mon cœur et pourtant j’avais tout, et ceux qu’ils n’ont pas tout : ils son

our t’aider à quitter tes peurs que les autres t’ont infligée, que tu saches que ta famille sera toujours là qu’impo

voudrait te piquer, ses épines sont parfois veineuses, qu'importe ce

ux lui dira son frère ne te laisse jamais rab

le faut du respect humain, on étudie et après la mé

e je veux comprendre pourquoi il ne devrait pas refaire un autre monde celui-ci va en poubelle, petites planètes fragiles éclairées par l'étoile

rait avoir et ça devient un amour interdit, on veut se battre pour un amour, prendre un avion pour aller le rejoindre tout ce jour entre nous, je ne peux même pas le toucher ni le

de lui mon cœur souffre comment atteindre ce qui n’est pas, comment dire à Dieu sans la force de m’aider au-delà de mes prières,

ntre tout, comment avoir cet

leurs moities et moi je trime, devant toi qu’est-ce que je paie pour que je puisse temps souffrir, l’âge avancer je pensais ne pl

, d'en avoir r

profondeurs, se sentait "seule parfois même si les gens qu’elle aimait l’entourait ", "abandonné" et "malheure

aissé par Joël que son f

d’abandon ressenti par Bibi, quelques mois avant la disparition comme elle le disait de Joël avant d’apparaitre. Elle ne se rasait plus les jambes

upe toujours une place de choix

pour être site et écrire leur nom et prénom dans un livre de co

le passait dans une rue les gens la saluaient, on aurait dit que son corps brillait de lumière et attirait même un sorcier, vauto

en vain. Elle se serait alors moquée en disant : "Oh, les jeun

que seuls Yves Saint Laurent, Gagliano ou Karl auraient compris et e

ter les habits ‘’griffés’’ et du parfum de qualité supérieure. Cela dev

, les leurs lèvres étaient pulpeuses, elles chercheraient à se faire rem

e la beauté pouvait se fane comme une rose pourrir. C’était une fille q

penses qui là troublaient à vouloir contrôler son destin à sa guise à vouloir brûler ses ailes d’aig

ander une chose, elle le r

nt une petite entreprise qui leur permettait de s’en s

avaient en travaillant durement, m

es, il lui manquait une âme sœur pour combler tous ses dé

chant seule dans les rues, après ses activités sportif et scolaire, elle aimait beaucoup l

ue la vie même lui était dû. Elle était dans la vie du luxe, croyant que la vie de luxe il n’aura pas de problème, et que dans la pauvreté il aurait plus de problème et c’

t leur voir s’embrasse à la langue et se caresse sans se gêne, mélanger aux bonbons à la cigarette s’enlacer, les prof

. Comme dans un miroir, Bibi se voyait défi

ait-on

n'avait jamais eu le bonheur aux côtés d'un homme

d'un esprit maléfique qui

t récurrent ; d’une espèce d

ait-t ’elle la seule à ne pas avoir de compa

s jusqu’car en se faisait mal à la t