stée
ombre dans ses yeux. Ses amis, encouragés p
l'un d'eux. « On dirait qu'elle cherche u
la fureur. Son corps projetait une ombre menaçante.
lement, remplie d'une rage contenue. « Tu n'as pas honte de
èvres. Ma fatigue était immense, mais m
fait un pas en avant, défiante. « Je respire. Je
, posant une main sur mon
nn : « Et puisque tu parles d'hommes, laisse-moi te dire que le seul homme que je n'aurais
ssé de rire, leurs visages affichant un mélange de choc et d'i
gereuse s'y allumant. « Répète ça. » Sa voix étai
nce. « Tu as tout, Swann. L'argent, le nom, la beauté. Mais tu es un lâche, un manipulateur. Tu te ca
es mains ont saisi mes épaules, me soulevant de terre. Je
ouger. Il a ouvert la portière arrière, m'a jetée à l'intérieur avec
tes d'humeur de Swann, a démarré sans un mot, fer
proche que je pouvais sentir son souffle
u crois que je ne suis pas un homme ? On va vo
un baiser brutal, sans tendresse, sans
vait embrassée. Des baisers timides, incertains, avant notre mariag
que le parcourir un instant. Une fissure dans sa
rée. La douleur a jailli, vive, brûlante. J'ai eu l'impression d'être clouée sur place, incap
a sonné. Une sonnerie
à une inquiétude profonde, une panique à peine voil
? » Sa voix était douce, remplie d'une tendr
e préoccupation. Cette anxiété. I
ant. « Quoi ? Tu... tu l'as fait ? Non !
n attention était entièrement focalisée sur Hermine, sur le dan
re. L'urgence était réelle. La détresse d'H
a ouvert la portière, ses yeux fixés sur l'extérieur. Il étai

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