stée

, la mère de Swann, s'affichait. J'ai hésité, ma main tremblante. Elle m'avait envoyé une série de messages : des photos de bébés joufflus, des

n sourire moqueur sur les lèvres. « Les messages de ma mère t'ont réveillée ? Elle

d, la gorge serrée. «

on ton était acide. « L'absence de mon corps t'a empêchée de trou

s choisie avec espoir. Maintenant, elle me semblait être une armure brisée. Ses yeux ont parcouru ma silh

reculé, comme si mon corps était un objet répugnant. « Ne t'inquiète pas, » a-t-il

« Organisé ? Qu'est-

ssant seule avec mes angoisses. Le mot « organisé » a résonné

direction d'une destination inconnue. Le silence était pesan

avec une précision non

resque luxueux, mais un hôpital tout de même. Mon cœur a commencé

sa prise de fer. Il m'a tirée hors de la voiture, me faisant pre

as. Est-ce que quel

oi qui vas "accoucher". » Le mot était prono

« Accoucher ? Mais... no

j'aurais risqué de souiller mon corps avec toi ? » Son

honte, la rage, la douleur se sont mélangées

nt. Notre enfant. Pour la lignée Fagot. Pas pour toi. Pas pour nous. Nous n'existons pas.

tourné autour de moi. Je suis tombée, la tête heurtant le béton avec un bruit sourd. L