stée
ués par la tempête qui se levait. La foudre a déchi
« Il est parti seul ? Mais cette montagne est d
anche d'un des amis. « Il voulait juste me faire plaisir ! Il a d
e a enflé en moi, froide, implacable. Il
de défendre Swann. « Tu ne comprend
curies. Un cheval, un étalon noir fougueux que je montais
je lancé, ma voix empreinte
sont perdus dans le vent violent. J'ai enfourché le cheval
eval ? » a crié l'un de ses ami
alons au flanc du cheval et nous nous sommes élanc
pour l'homme qui m'avait trahie, humiliée, détruite ? Une dette
du héros. Il m'avait sortie de l'épave, son bras ensanglanté, son visage pâle. Il m'avait f
affection, l'affection en amour. Et maintenant, cette dette pesait sur moi. Je devai
oches glissantes. Mais ma connaissance de ces montagnes, acquise au fil des longues promenade
que je n'avais pas été libre de cette dette.
ise abrupte. Swann. Il était allongé, inconscient, son corps tordu sous u
r d'espoir insensée dans mon esprit. Allait-il prononcer mon nom ? Au
rmin
ct. Mon cœur, déjà brisé, s'est fissuré enc
souffrait, il délirait, et c'était toujours Hermi
e absurde, était toujours là. Je devais le ramener. Pour pouvo
in, un grognement féroce a déchiré l'air. Des yeu
termination était plus forte. Je devais le p
es en montagne. Je me suis placée devant Swann, mon corps faisant boucli
n pas pour tuer, mais pour intimider. Le couteau a tranché l'air, frappant un arbre,
iffes ont lacéré mon bras. Une douleur aiguë a tra
sée. Comme lui, lors de notre
s pas, j'ai hissé Swann sur le dos du cheval. Le retour a été un calvaire. Chaq
rts de boue et de sang. Les amis de Swann étaient là, endormis, leurs visa
cipitant vers lui. Elle l'a pris da
s. J'ai regardé Hermine, son visage inondé de fausses larm
a-t-elle murmuré, jetant
ulagés, émus. Ils l'ont félici
oix rauque, les yeux rivés sur Hermine. «
scurité m'a de nouveau englou

GOOGLE PLAY