img Nous vivons que pour ça  /  Capítulo 4 Pary | 19.05%
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Historique

Capítulo 4 Pary

Nombre de mots : 2195    |    Mis à jour : 04/08/2021

ce, étudiante en commerce. Nous habitons un appartement composé de deux petites chambres, d'un grand espace cuisine avec une petite table où nous mangeons et d'un ''lieu de vie'' avec grande tabl

t extérieur que nous avions eu dans la journée et que nous devions revoir le lendemain, tout en précisant qu'il avait été passionnant, j'ai ajouté que je n'avais jamais vu homme si laid... Alice a aussitôt crié ''gage'' ; j'était penaude de m'être ainsi laissée prendre et ai tout de suite craint d'être à nouveau déshabillée alors que nous n'avions même pas commencé le repas. Elle s'est arrêtée pour réfléchir puis m'a dit qu'elle ne savait pas si j'avais été vraiment méchante... elle m'a alors condamnée à prendre cet homme en photo ; si mes dires s'avéraient vrais, il ne se passerait rien d'autre sinon j'aurais un vrai gage de méchante. Là, j'étais rassurée car il était vraiment laid mais il fallait que je réussisse à le photographier sans me faire remarquer ! Je lui ai quand même rétorqué que, s'il s'avérait que j'aie raison, c'est elle qui recevrait un gage pour me soupçonner de mensonge. Elle m'a dit que j'étais une petite futée mais qu'elle acceptait cette contrepartie. Notre conversation s'est poursuivie gentiment jusqu'à ce qu'en fin de repas Alice, me parlant d'une professeure venant d'arriver, me dise « celle-là, si elle a été commerciale dans sa vie, c'est avec ses énormes nibars qu'elle a vendu tant elle expose ! » Je me suis empressée de crier ''gage''. Alice a éclaté de rire de s'être ainsi fait prendre. Vu ses propos, je ne pouvais que la condamner à finir la soirée seins nus. Tandis qu'elle se déshabillait, son rire a redoublé et elle m'a dit qu'elle constatait que je me contentais d'une basse vengeance. Et, retirant son soutien-gorge, elle a ajouté que j'allais devoir moi aussi la réchauffer lorsqu'elle aurait froid... C'est comme hypnotisée que j'ai découvert ses jolis petits seins en poire qui savaient ne pas s'avachir. Sa voix m'a tirée de ma torpeur lorsqu'elle m'a demandé, l'air amusé « ils te plaisent ? » et je n'ai pu que bredouiller une vague réponse inintelligible. Je suis très vite partie travailler pour me concentrer sur d'autres sujets. Bientôt Alice m'a appelée pour la réchauffer. Je suis aussitôt aller lui prodiguer les mêmes soins qu'elle m'avait offerts non sans me dire que sa peau était très douce ; cela s'est reproduit 3 fois dans la soirée et je dois reconnaître que j'ai trouvé cela agréable, elle aussi apparemment puisqu'elle m'a même dit, la troisième fois, que je la réchauffais bien. Lorsque que j'ai rangé mes affaires pour aller me coucher, Alice en a fait autant. Avant que je ne parte dans ma chambre, elle s'est approchée de moi et m'a demandé de la réchauffer encore. Elle est venue se serrer dans mes bras et a posé sa tête sur mon épaule, je sentais son souffle tiède dans mon cou. Je l'ai enlacée, comme elle me l'avait fait la veille, et lui ai caressé le dos énergiquement. De la sentir ainsi contre moi, sa poitrine s'écrasant sur la mienne, sa peau douce sous mes mains m'a provoqué un vrai frisson de plaisir que je n'ai pu contrôler. Alice n'ayant pas bougé, j'ai cru qu'elle ne s'en était pas aperçue. Alors que je ralentissais mon massage pour la laisser aller, elle est restée dans mes bras et m'a demandé, méso voce, de lui réchauffer les seins. Vu toute la tendresse qu'exprimait son corps abandonné contre moi, vu mon état émotionnel m'empêchant de toute analyse, je lui ai caressé les seins immédiatement. Je ne pense pas que ça ait duré mais je suis incapable de le dire... Alice s'est redressée et en s'écartant de moi, elle m'a tendrement embrassée sur la joue en me disant bonsoir et merci. De nouveau ma nuit fut agitée, je me suis réveillée à plusieurs reprises, rêvant de caresser les seins d'Alice. Le lendemain, quand je me suis levée, j'ai pensé qu'il fallait que je m'excuse auprès d'Alice pour mon attitude de la veille. Mais alors que j'arrivais, elle s'est précipitée vers moi en me disant : « Sonia, tu as été super hier soir ! Merci pour tout » et elle m'a de nouveau embrassée sur la joue, attitude que nous n'avions jamais sauf lorsqu'on rentrait d'un week-end chez nos parents. Aidée par quelques camar

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