img Nous vivons que pour ça  /  Capítulo 5 Partie | 23.81%
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Historique

Capítulo 5 Partie

Nombre de mots : 1801    |    Mis à jour : 04/08/2021

forme de préliminaires. Comme souvent, lorsqu'on se voyait de cette manière, elle avait déjà enlevé sa culotte. Inutile de perdre du temps. J'ai refermé la porte derrière nous.

une poitrine toute menue. Je la trouvais mignonne mais ce n'est pas cela qui me fascinait. Ce qui m'étonnait, c'est justement la vitalité qu'elle dégageait. Une vraie pile électrique. Bien vite, je n'arrivais plus à décrocher mon regard d'elle. Les heures défilant, les discussions sont devenues un peu stériles et le coordinateur s'en est parfaitement rendu compte. Il a ainsi constitué quelques groupes de travail chargés de dégrossir certains points litigieux. Elle s'est proposée pour le sujet sans doute le plus ingrat, qui causait de fiscalité. Comme cela touchait à mon domaine, je me suis immédiatement proposé pour intégrer le groupe, ce qui me valut son premier regard intéressé mais également un premier sourire très avenant. Malheureusement, un troisième larron s'est aussi joint à la bande, cassant ainsi mon espoir secret d'un binôme plus intime. Nous avons fixé un agenda de rencontre et je dois dire que j'attendais ces réunions avec impatience. La revoir m'excitait chaque fois d'avantage. A une des réunions, nous nous sommes retrouvés, ô joie, à deux, le troisième participant ayant du déclarer forfait suite à une grippe aussi invalidante qu'heureuse pour moi. C'est donc à deux que nous nous sommes enfermés dans la salle de réunion. Il faut dire ce qui est, nous avons super bien travaillé et je pense honnêtement que nous allions déboucher sur un résultat aussi intéressant que positif. La discussion a fini par dévier et nous avons devisé de choses et d'autres. Une occasion unique d'approfondir les connaissances de l'autre et plus cette connaissance avançait, plus mon envie d'elle augmentait. La dernière question qu'elle m'a posée sur mes projets futurs m'a fait déraper. J'ai répondu, peut-être un peu trop rapidement : - Finir de retaper ma maison, partir descendre le canal du midi en péniche et faire tourner ma langue autour de ton clitoris. Elle n'a absolument pas réagit. Impassible, elle s'est levée doucement et s'est dirigée vers la porte. - Pour les deux premiers, je ne peux rien pour toi. Pour ce qui est du dernier, je n'ai rien contre et j'ai justement quelques minutes devant moi. Suite à quoi, elle a fermé la porte de la salle à clef. Elle est revenue vers la grande table de réunion. Nous nous étions installés en son centre. Elle a repoussé les classeurs et autres documents qui encombraient la place devant moi puis s'y est assise. Sans aucune retenue, elle a remonté sa robe légère et écarté les jambes. - Fais-moi jouir. Tout de même assez surpris par la tournure des évènements et alors que je m'attendais plutôt à prendre une baffe, je me suis mis à l'ouvrage.J'ai donc d'abord retiré la culotte en dentelle noire, laissant apparaitre une vallée des plaisirs surplombée par une prairie de poils pubiens fort bien entretenue. Les lèvres étaient déjà gonflées d'excitation. Elle s'est couchée sur la grande table et j'ai glissé ma tête entre ses cuisses. Ma langue a tracé le sillon de son sexe, descendant et remontant jusqu'à ce que les lèvres s'écartent naturellement. J'ai délivré son clitoris de son capuchon et le bouton tout rose s'est offert à mes manœuvres expertes. Il avait un goût acidulé. Son sexe dégageait des effluves puissants. Je bandais comme un taureau, bien trop à l'étroit dans mon pantalon. Mon travail portait ses fruits. La respiration de la belle a accéléré. Ses mains se sont refermées

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