Et si aujourd'hui était notre dernier jour sur terre ? Que ferions nous ?
Et si aujourd'hui était notre dernier jour sur terre ? Que ferions nous ?
Chapter 1 : La terre promise.
*****Cybelle Obirabele*****
Ouf. J'avais déjà oublié la chaleur du Gabon. Je ne sais pas si c'est moi mais je trouve que ce pays mal famé se réchauffe chaque jours un peu plus. Vraiment je n'aurais pas du naitre au Gabon. Bref l'hôtesse nous a fait savoir que l'on avait déjà franchit le territoire gabonais et que dans moins de dix minutes, nous atterrirons.
J'avoue que j'ai un peu peur. C'est vrai que ca fait vraiment longtemps que j'y ai mis pieds, huit ans. Ce n'est pas rien quand même. J'ai peur que tout ai changé. Mes petites sœurs que Jai laissé si jeunes. (Soupir) Ma petite maman, mon papa d'amour aussi, ils m'ont tellement manqué.
Bref, on est arrivé sur la terre promise. J'ai d'abord laissé que les autres passagers descendent ensuite, j'ai pris mon sac à main MK puis je descendis de l'avion. Déjà que dans l'avion je sentais la chaleur, là, c'est encore pire! J'avais même l'impression de dégouliner de sueur. Beurk.
J'ai d'abord fait plus de cinq minutes dans l'attente de mes valises puis je suis allée m'asseoir. Soudain, au loin je vis une silouhaite qui me parut familière. Sa voix roque se fit entendre, il avait l'air mécontent. C'était mon père ! Huit ans sans voir l'homme qui m'avait engendré me parut, dès lors comme une éternité. Il n'avait pas changé ou du moins, semblait rajeunit.
Qu'il est beau cet homme. Surement poussée par l'euphorie de revoir cet homme qui m'avait donné la vie, je me mis à pleurer à chaude larmes puis me jetai sur lui. Notre étreinte semblait durer une éternité, je ne vis alors plus personne ni n'entendais aucun brut. C'était un moment magique ; un moment père-fille.
Papa (Taquin) : Mais chérie, tu ne te crois pas assez vielle pour sauter sur moi comme ca ?
Moi : Tant que je vivrais, mon cher père, je le ferais toujours.
Papa : Mon Dieu Cybelle, tu as tellement grandit. (Stop). J'ai l'impression d'être passé a coté de ta vie(Stop) de ta jeunesse et de tous les moments important de ta vie.
Moi (En larme) : Mais non papa. Tu as toujours été là. (Stop) a vrai dire sans nos coups de fils du dimanche et du mercredi, je n'aurais pas tenu le coup. Merci d'avoir été là. Daddi, je t'aime fort.
Papa : Je t'aime aussi chérie. Et je suis fière de toi mon bébé.
Maman (Faisant la moue) : Et moi alors !?
Moi (So happy) : Oh, la femme de vie (me jetant sur elle). Kier non, ma femme, tu es devenue trop belle quoi.
Maman (Feignant de se fâcher) : là, Obirabele fille, il ne faut pas m'énerver oh.
Moi : Aka, je blaguais pardon. Il ne faut pas commencer avec tes choses là. Au lieu de dire merci ma fille d'amour que j'aime, tu es là à faire les chichis. (Rire général). Mais, (regardant un peu partout) ou sont les autres !? Isa ? Val ? Marielle et Elisa ??
Papa : Elles étaient trop fatiguées, elles rentrent de leurs choses de soirée là avec leurs cousins.
Moi (Déçu) : Et elles...enfin bref. On y va ? J'ai envie de prendre une bonne douche, il fait trop chaud.
Maman : Oh la fille qui est né en Russie. Ici tu vas sentir ta douleur. Et là on est seulement qu'a 23 degré, sachant que les jours ordinaires on compte plus de trente degré.
Papa (Mort de rire) : ne t'inquiète pas ma puce, tu vas survivre.
C'est dans la bonne humeur que les parents et moi rentrions chez nous. Sur le chemin, tout me semblait différent. Tout avait changé, j'étais contente de ce que je suis de retour chez moi et un peu effrayé d'y revenir après tant d'années.
C'est vrai que j'ai laissé plusieurs choses et histoire en suspend. Mes amis, seront-ils les mêmes ? Et Karl ? Oui c'était mon petit ami, mon premier petit ami depuis la première. Une fois que j'ai écarté mes jambes, il a commencé à se défiler pour un rien et j'ai commencé à entendre des échos sur les fameuses meufs avec qui il à couché après moi.
C'est un parfait idiot, mais c'est un putain de bon coup. Les gens dirons que c'est parce que c'est mon premier et sur le sujet on est sensé ressentir beaucoup plus de mal que de gout non ? Chez moi ca été le contraire !
En Russie, il ya eu des bons coups mais pas assez pour m'engager. Oui, je ne suis pas comme la majorité des filles qui ne cherchent que le mariage ! Le mariage c'est peut être bien, je n'en disconviens pas, cependant, je ne me vois pas disons cinq ans plus tard à faire des bébés et les taches ménagères pendant que mon 'époux' se tournera les pouces sur son gros sofa. Non ! Il faut que je vive ma vie. Je suis jeune et belle, sans me vanter, mes parents ont fait du bon boulot avec moi hein. (MDR)
L'adaptation en Russie ne s'est pas faite sans encombre. Entre apprendre le russe et faire mes études d'audits des entreprises, c'était un peu chaud. Heureuses que je me suis fait plusieurs amis très rapidement qui m'ont proposé des cours. Et au bout de six mois, j'étais déjà bien meilleur.
Bref papa a mis mes bagages dans le coffre de la voiture et en faisant le tour pour aller m'asseoir un type m'a cogné. Il ne s'est même pas excusé hein, il ma juste regardé pendant quelques minutes avec agacement et s'est tiré. Pff, tu as raison cher ami, le Gabon là c'est pour toi. Je suis encore revenue ici avec la sauvagerie des gabonais. Tchuips, l'homme noir hein. Bref je me suis installé dans la voiture et on est partis.
*****Frany Eudes Koumba*****
Il rentre aujourd'hui de sont voyage d'affaire. Bon ca c'est selon ses dires, mais nothing, je sais qu'il est allé en voyage de loisir avec sa secrétaire qui a le don du port de la jupe très courte. Elle me sort par les pores cette meufs et quand je vais voir mon chéri à son bureau, elle me sort les frappes genre « Ici ce n'est pas le marché, Mr ne reçoit pas n'importe qui.. » comme le budget là, c'est son père qui a construit ca ! Tchuips.
En tout cas, depuis ce matin je ne fait que m'activer. Comme Hendricks rentre aujourd'hui, j'ai refais le ménage de fond en comble ! Mr est allergique à la saleté. La moindre petite tache, que cela soit sur ses vêtements ou même dans la maison, lui fait peter un câble. Je ne sais pas quelle obsession il à avec la propreté. Ca doit surement venir de sa maman, il me l'a laissé entendre pendant une nos disputes. Il parle très peu de sa mère. Par contre de monsieur le procureur, c'est-à-dire de son père, alors là, j'en ai par-dessus la tête. A la limite il est amoureux de son père !
Il l'imite en tout ! Il ya même une photo de son père au milieu du salon. En tout cas, je ne dis rien et ne fais que l'observer. Il ne faut pas fâcher les grand Mr Ogoulath. En ce qui concerne la partie intime, il n'y a rien à dire. Ce gar-ci est bon. Malgré le fait qu'il aime se faire désirer, il n'y a rien à redire. Et la nouvelle, il m'oblige même à porter des sous vêtements blanc, et lui aussi ne porte que du blanc. C'est quelle manière là d'aimer la propreté comme ca ? Je sais qu'en arrivant il sera d'humeur grognant. Donc, je minimise les dégâts.
Lui et moi, ca a commencé un soir dans un fast-food ou je travaillais. Avec ses potes et quelques filles assises sur leurs jambes, ils semblaient s'amuser. Dès qu'ils eurent finis de manger et boire, ils me firent signe et j'allai sans pression débarrasser. Soudain un ses potes me tendit un petit papier contenant son nom et numéro de téléphone suivi d'une invitation a un enterrement de vie de garçon. C'est avec le sourire que j'ai accepté. La fête était assez cool, encore que c'est moi qui dansais, au sortir de ladite fête, Hendricks et moi nous sommes sautés dessus et cinq ans plus tard, je suis toujours là.
Oh croyez moi la vie de couple n'est pas de tout repos. Pendant les deux premières années j'ai vue de toutes les couleurs. Entre son père qui m'appelais la chose et les meufs qui venaient tous les jours cogner devant chez moi a cause de l'homme, j'ai eu ma dose. Hendricks et moi nous sommes séparés plusieurs fois. Cela n'a pas été facile et je rends grâce a Dieu car j'ai tenue le coup. Je pense avoir assez mûris et appris de mes erreurs, on a dépassé le cap des cinq ans et je pense que ca ira crescendo.
Malgré le fait que ses parents désapprouvent cette relation, je sais que je n'investie pas en vain. On a fait d'énormes progrès tous les deux. Quand je repense à tout ce par quoi je suis passé, tout ce que j'ai fait pour garder cet homme avec moi, je me mets à rire comme une folle. Un jour il m'a fait dormir à la belle étoile car son père est venu lui rendre une visite surprise (Rire), un malade mentale m'a même abordé. Ceci pour dire qu'on a vécu pas mal d'aventure H(Hendricks) et moi, des vertes et des pas mures et je ne compte pas le laisser partir, c'est son pied mon pied.
Il est 18h30 lorsque j'eu fini de tout nettoyer, faire le cuisine et ranger les vêtements sans oublier les repasser. Son avion atterrit dans 1h30 donc je suis allé faire ma toilette et direction l'aéroport. Il déteste lorsque je lui fais des surprises mais je veux que sa salope de secrétaire me voit l'embrasser sur la bouche. Elle fait sa sainte ni touche lorsqu'il est là et derrière c'est du genre « il est super craquant » iesh. En tout cas, j'ai vue très clair dans son jeu, elle pense se jouer de moi mais elle ne sait pas que moi l'enfant de Koumba, je ne laisse pas l'affaire. J'ai porté un jogging blanc, un débardeur gris, mon sac a main Gucci, lunettes de soleil et des tongs au pied puis je me rendis a l'aéroport attendre mon homme.
*****Cybelle Obirabele*****
Le trajet m'a parut long. C'est surement parce que tout me paraissait étranger, on aurait dit un autre pays. Nous sommes finalement arrivés, j'ai tout de suite reconnu la maison, enfaite Valéria m'avait envoyé quelques photos sur Whatsapp. Elle est hyper grande, en gros elle correspond au post de papa aka Mr le Directeur général. J'ai toujours su qu'il finira Directeur parce que celui là, c'est l'ami des jours heureux.
Quand il est fâché là, faut surtout pas être sur son chemin. Sur chaque porte de la maison il y a accroché les règles de la pièce. Comme par exemple a la cuisine il ya un couvre feu ! A partir de 22h45 la porte doit être fermé et a clé, les assiettes de dorment jamais sale etc.
J'espère que la vieillesse et ses petits enfants lui ont fait changer. Bref Je suis rentré dans la maison, qui était dans le noir total, puis en allumant la lumière du salon, il y avait la majorité de la famille et quelques amis de la famille qui criaient en chœur « Surprise ! », peu après ils se sont mis a me lancer des confettis et me faire des bises a tour de rôle. Sans mentir j'étais un peu perdu avec tous ces nouveaux visages. Il ya eu des enfants qui sont nés et d'autres qui sont en cours, or je n'avais rien laissé comme ca, sans compter les cousins qui ont grandit, c'est le cas de Hugo, que j'ai laissé a 14 ans ; qui me dépasse déjà la taille.
Mais sans mentir, j'étais trop happy de revoir mes sœurs. Elisa est déjà une grande fille avec ses 15 ans plein, et Valéria ; Marielle et Isabelle elles sont restées les mêmes . Toujours entrain de se moquer des autres. C'est un grand bol d'air ces meufs ! Elles m'ont vraiment manqué xoxo. Vers 22h00 la majorité de la famille était déjà parti, j'ai enfin pu prendre mon bain et rester en comité très restreint.
Valéria : Hmm Cybelle, (fouillant ma valise) tu nous as apporté quoi ??
Moi : Apporter quoi nayé ?? La sœur tu étais avec moi le jour là ? Ou j'ai transpiré le jour de ma soutenance ?
Valéria : Aka j'étais là en esprit
(Rire général)
Moi (Allongé sur le lit) : Regarde la valise bleu, (haussant le ton) tu ne prends que le paquet ou il ya ton nom hein ?
Isabelle (Morte de rire) : Oui ! Val est toujours comme ca. Elle aime trop prendre les choses des autres. Cybelle, je te dis hein, la jolie chaussure que Marielle avait acheté au charbonnage la nuit là, on a seulement vue le feu un jour ca avait disparue pour se retrouver dans sa chambre !
Moi (Morte de rire) : Vrai vrai ? Vous êtes des acteurs ici hein .krkrkrkr
Marielle : Laisse Cybelle tu as raté les grandes docs ici, donc Mbappé couchait aussi avec Jennifer !?
Moi (Perdu) : Mbappé ?? C'est qui encore celui-là ?
Valéria (rangeant ses affaires) : Aka, quel Mbappé encore comment !? Ton copain que tu as laissé ici s'appelle comment ??
Moi (étonnée) : Karl ?
Marielle : Mais oui aka. C'était chaud a la plage la dernière fois, comme le couillon de Karl a fini de la couché comme un chien a la banquette arrière de du taxi, il l'a déchargé devant tout le monde ! Elle voulait faire genre elle lui dit ses quatre vérités, mais sa nouvelle go, Dominique l'a caché en disant que le fait qu'elle couche avec Karl était un pari entre pote et qu'après les autres lui sont passé dessus pour voir quelle gout une salope avait.
Moi (Choquée) : Wooo, donc tous les gars là l'on couché ? Et Dominique aussi ne sait pas ce qui l'attend ??
Marielle : Ah mais oui, on va te dire quoi ?? Le pipi de karl est sucré.
(Mort de rire)
Valérie : Hum la sœur tu affirme ca comme si...
Marielle (L'interrompant direct) : Vous savez toutes ici que question sexe je suis transparente, et mon affirmation se base sur le fait qu'il soit impossible d'être un personne consciente, d'entendre ou mieux de voir des choses qui se passe avec Karl et d'accepter de coucher avec. Avec moi c'est quitte ou double, avant même que tu ne viennes me draguer j'ai déjà consulté les archives de ta vie !
Moi : Wooo, tout de suite les grands mots. Valéry, tu as entendu ta sœur hein ??
Valéry : aka, mais c'est toi qui est partis dormir en Russie, nous on est là ma sauce. Krkrkrkrkr.
Marielle : Et ce n'est pas tout oh ma chérie, (se levant et fermant la porte) Karl a un enfant, une petite fille de quatre ans.
Ah et j'oubliais les bonnes manières, je m'appelle Cybelle Obirabele, j'ai 23ans et après l'obtention de mon baccalauréat en série A1, j'ai opté pour des études d'Audits des entreprise en Russie. Avec beaucoup d'effort, je suis revenue avec diplôme en gestion d'entreprise.
** Thérésa ** J'ai pris un taxi pour Batterie 4 et j'ai fait le reste du chemin à pieds. A six heures trente j'étais dans la concession. A six heures quarante papa sort de la chambre, donc je suis dans les temps. J'ai enlevé la tenue que je portais afin de mettre un vieux pagne de l'ancien régime politique au pouvoir puis j'ai rangé mes vêtements dans mon sac. J'ai posé ledit sac au pied d'un des manguiers qui ornait notre concession avant de le recouvrir de feuilles mortes. Lorsque j'ai entendu la porte du derrière s'ouvrir, j'ai fermé les yeux et je me suis mise à tourner en rond en murmurant des paroles que même moi je ne comprenais pas. Papa (fronçant les sourcils) : Theresa !? Tu sors d'où à l'heure-là !? Moi (levant les yeux) : Bah de la maison ! Papa (me fixant) : Ne me pousse pas à bout Theresa ! Tu fais quoi là dehors ? Moi (le fixant) : Je suis venue prier dehors pour ne pas déranger Ruth. Tu crois que tu es le seul à avoir rendez-vous avec l'Esprit Saint ? **** *** ** * Affaire à suivre 💥
Résumé « Rompons ce lien maudit et libérons-nous mutuellement. Ainsi, Claire pourra enfin endosser le rôle de ta Luna. » La voix d'Addison vibrait d'une colère qui brûlait jusque dans sa poitrine, son souffle haché secouant tout son corps. Zion, lui, se figea, les mâchoires serrées. « Crois-tu vraiment pouvoir t'échapper ? » Son regard s'assombrit, virant à une teinte dorée inquiétante, reflet du loup qui grondait au plus profond de lui. Sans lui laisser la moindre échappatoire, il l'encercla de ses bras, l'arracha à l'embrasure de la porte et l'entraîna dans leurs appartements. Là, il lui imposa sa présence avec une intensité implacable, la retenant contre lui comme s'il voulait effacer par la force toute possibilité de séparation, jusqu'à ce que le temps perde sa mesure. Le lendemain, puis le surlendemain, il ne relâcha pas son étreinte. Et quand enfin il rompit le silence, ce fut d'une voix rauque, presque un murmure menaçant : « Si je dois t'attacher pour t'empêcher de fuir, je le ferai. Quand j'en aurai terminé, tu ne pourras même plus te tenir debout. » Le ton, dur et brûlant, ne laissait place à aucun doute : l'instinct primal de l'Alpha avait pris le dessus. Ils ne s'étaient jamais réellement écoutés. Entre eux, les incompréhensions s'étaient accumulées, bâtissant un mur qu'aucun ne prenait la peine d'abattre. Aveuglé par un orgueil âpre et par une rancune nourrie de suppositions, Zion n'avait jamais cherché à se justifier. Il voulait la voir payer pour ce qu'il croyait être une trahison, ignorant que cette vengeance lui coûterait bien plus qu'il ne pouvait supporter. Addison, lasse d'attendre qu'il dépose les armes de sa colère, avait fini par comprendre qu'elle devrait partir pour survivre. Quand elle s'évapora de son univers, tout vacilla. Zion perdit pied, incapable de supporter l'absence. Il fit trembler les fondations de sa propre meute, prêt à briser quiconque s'était interposé entre elle et lui. Mais il découvrit trop tard l'ampleur de sa faute : Addison avait disparu au-delà de toute piste. Et, plus cruel encore, il n'avait jamais pu lui révéler la vérité - l'enfant que portait l'autre femme n'était pas de lui. Avouer ce secret aurait signifié offenser quelqu'un que nul n'osait défier : cette femme appartenait à un cercle où la moindre offense se payait de sang. Alors, pour protéger Addison d'une condamnation certaine, il l'avait éloignée... en lui infligeant la blessure la plus profonde. Son orgueil avait tout dévasté. Plus encore que la mort de son père, l'ancien Alpha, ce geste resta la blessure qu'il ne put jamais refermer. Mais la Déesse de la Lune ne l'avait pas effacé de ses desseins. Leurs routes se croisèrent de nouveau. Et ce jour-là, il la vit. Pas seule. Un garçon se tenait à ses côtés. Non... deux. Deux fils. Une brûlure de remords le transperça. Autrefois, il avait voulu la réduire à néant ; aujourd'hui, il n'aspirait plus qu'à recoller les fragments, à regagner la famille qu'il avait volontairement détruite. Mais la distance qui les séparait s'était creusée comme un abîme infranchissable. Elle n'était plus cette femme qu'il pouvait convoquer d'un mot ou retenir d'une main. Pouvait-il encore espérer réparer l'irréparable ? Ou Addison tournerait-elle le dos à ses regrets pour accepter l'union imposée par son père, le Roi Alpha ? Cette union-là n'était pas un simple arrangement : elle ferait d'elle la première femme à régner seule sur un trône d'Alpha dans toute l'histoire.
Pendant le mariage de Kiera, elle et sa sœur ont plongé dans l'eau. Abasourdie, elle a vu son fiancé tirer uniquement la sœur vers un endroit sûr et s'éloigner sans même un regard. Rongée par la rage, Kiera a épousé l'inconnu qui l'avait sauvée de la noyade, un mécanicien sans le sou, et lui a promis de subvenir à ses besoins, quoi qu'il en coûte ! Son ex lui a dit avec mépris : « Quitte-le. Reviens avec moi, tu seras toujours ma femme. » Sa sœur intrigante lui a dit d'un ton mielleux : « Je vais tenir compagnie à ton fiancé. Profite de ta vie avec un mécanicien. » Kiera les a rembarrés. « Laissez-nous tranquilles. Nous sommes bien ensemble. » Puis, la surprise est arrivée : le mécanicien était en réalité un milliardaire secret ! Devant le monde entier, il s'est agenouillé avec un diamant unique en son genre. « Mon amour, je te chérirai toute ma vie. »
Nadine a retrouvé sa famille, convaincue qu'elle avait été rejetée, bouillonnant de rage, pour finalement découvrir un véritable chaos : sa mère a perdu la raison, son père a été empoisonné, son frère pianiste a été victime d'un mariage blanc, son frère détective a été victime d'un coup monté et emprisonné, et le plus jeune a été entraîné dans un gang. Pendant que la fausse fille se moquait et complotait, Nadine agissait en secret : elle guérissait sa mère, soignait son père, mettait fin à la relation toxique, effaçait les accusations et élevait le plus jeune au rang de chef. Les rumeurs disaient qu'elle vivait sur le dos des autres, indigne de Rhys, le magnat hors pair. Peu de gens savaient qu'elle était une guérisseuse renommée, une assassin légendaire, une mystérieuse magnat... Rhys était à genoux. « Épouse-moi ! Tout l'empire t'appartient ! »
Il y a des années, le mari de Cathy s'est jeté dans le danger pour la sauver. Puis le destin a joué contre elle : après l'accident, il se souvenait de tout le monde sauf de la femme pour laquelle il était prêt à mourir. À leur troisième anniversaire, il l'a trahie, et cette nuit-là, elle a signé le divorce. Libérée, elle a redécouvert son éclat caché : guérisseuse extraordinaire, championne de course, pirate informatique de haut niveau, créatrice d'avant-garde. Lorsque ses souvenirs sont revenus en force, le regret aussi. Il a interrompu son mariage en suppliant : « Cathy, s'il te plaît, donne-moi une autre chance ! » Mais un multimilliardaire l'a serrée contre lui en répliquant : « Chérie, quelqu'un cherche des ennuis. »
La nuit de leurs noces, Kayla a surpris son tout nouveau mari en train de la tromper. Sous le choc et à moitié ivre, elle a titubé jusqu'à la mauvaise suite et s'est effondrée dans les bras d'un inconnu. Au lever du soleil, elle avait mal à la tête et a découvert qu'elle était enceinte. Le père ? Un magnat extrêmement puissant qui s'avérait être l'oncle de son mari. Paniquée, elle a tenté de s'enfuir, mais il a barré la porte avec un sourire léger et dangereux. Lorsque son ex-mari infidèle l'a suppliée, Kayla a relevé le menton et déclaré : « Tu veux une seconde chance avec moi ? Demande à ton oncle. » Le magnat l'a serrée contre lui. « C'est ma femme maintenant. » L'ex-mari a haleté : « Quoi ?! »
Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.
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