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Amour Cruel

Amour Cruel

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Résumé

Table des matières

Tomber amoureuse d'un gangster, c'est une erreur a ne pas commettre. Mais malheureusement pour elle, elle fut tomber dans ce piège d'amour . Arrivera t'elle a changé ce homme ? Découvrez l'histoire et apprécier la.

Chapitre 1 Épisode 1

Moi (les armes à la main) : Tout le monde à plat ventre.

Tout le monde se couche par terre et nous nous arrêtons

au-dessus d’eux nos visages masqués par des cagoules.

Nous tenons chacun une mitraillette.

L’homme (à terre) : Prenez tout ce que vous voulez mais

je vous en supplie ne nous faites aucun mal.

Moi : On ne vous fera rien si vous coopérez donc

donnez-nous tout ce qui se trouve dans le coffre-fort.

Jojo : Nous savons que vous avez un coffre-fort ici donc

ne soyez pas avare.

La femme (apeurée) : Nous n’avons pas de coffre-fort

mais nous pouvons vous donner ce que nous avons.

Hulk (mettant son arme sur elle) : N’essaye pas de nous

mentir sinon vous allez le regretter. (Soulevant leur fille)

D’ailleurs viens là toi, il faut que tes parents sachent

qu'on ne blague pas.

La fille : Aaah ça fait mal !

L’homme : Je vous en supplie ne lui faites rien, je vais

vous conduire au coffre-fort.

Jojo suit le monsieur tandis que Hulk reste avec moi

pour surveillée les deux femmes. Je préfère rester ici

avec Hulk parce qu’il ne résiste jamais aux femmes et là

il est capable de se faire une.

La fille : Vous n’allez pas vous en sortir aussi facilement,

vous verrez la police va vous attraper et vous mettre

tous en prison.

Hulk : Tu as une grande gueule toi, attend que je te

montre qui je suis.

Il lui donne une claque et pose son arme sur sa tête, la

charge et s’apprête à tirer.

Moi : Non mais tu es malade, j'ai dit pas de blessé ni de

mort. On prend ce qu'on a à prendre et on se casse.

Hulk : Mais elle a la grande gueule et moi je ne tolère pas

ça. D’accord puisque je ne peux pas la tuer je vais

prendre du bon temps avec elle. Au moins ça

compensera.

Il la soulève par les cheveux et la fait tomber violemment

sur le canapé en détachant sa ceinture. Je vais vers lui et

le saisi.

Moi : Non mais qu’est-ce qui ne va pas avec toi ce soir ?

Tu ne peux pas maitriser ta libido un peu ? Lâche-là.

Il abandonne son plan et me lance un regard meurtrier

mais il ne peut que m’obéir parce que je suis son chef.

Cet imbécile croit qu’en se donnant pour surnom Hulk il

va devenir super puissant et intimidant. Il intimide peut-

être les autres mais moi jamais d’ailleurs il ne fait même

pas la moitié de mon poids.

Jojo revient avec l’homme une manette à la main et

nous partons comme nous sommes venus dans notre

4X4 teintée. Nous enlevons nos cagoules et conduisons

jusqu’à notre QG où nous attend notre boss qui est

toujours accompagné de sa copine qui est je signifie 2

fois plus jeune que lui.

Boss : Alors la chasse a été bonne ?

Moi : Oui boss.

Hulk : Oui sauf que Dusky m’a encore empêché de

prendre mon pied.

Boss : Krkrkr mais tu connais Dusky, tu sais très bien

qu’il est contre toute forme de violence. Il est comment

je peux dire ça…un ange parmi les démons.

Hulk : Mais moi ça m’empêche de m’amuser.

Je lui réponds sans le regarder.

Moi : Tu peux t’amuser avec toutes les putes qui

circulent dans la ville mais pas avec des innocents.

Boss : Ok ok donnez-moi le butin, vous aurez votre part

comme d’habitude demain. Sur ce bonne soirée

messieurs.

Il est minuit et nous sortons chacun de son côté. Enfin

Jojo et Hulk vont se taper des putes quant à moi je vais

dans mon bistro habituel pour déverser toute ma rage et

le dégout que je ressens pour ma propre vie dans

plusieurs verres de whisky.

Je suis devenue un bandit de grand chemin malgré moi.

Aucune autre opportunité ne s’est présentée à moi pour

que je la saisisse. Dusky qui veut dire sombre, obscur

n’est bien évidemment pas mon vrai nom. Mais je l’ai

choisi parce qu’il reflète au mieux ma vie, de mon passé

à mon présent et peut-être même mon avenir. Comme

vous l’avez sans doute remarqué, je n’aime pas qu’on

touche à la vie des gens. Vous vous direz surement

bizarre pour quelqu’un qui est dans ce genre de trafic.

Mais ma personnalité est carrément différente de mon

boulot. Pendant nos raids je veille à ce qu’il n’y ait aucun

mort mais aussi qu’on ne s’en prenne pas aux femmes.

Les hommes je m’en fiche, qu’on leur casse la gueule de

toutes les façons ils sont tout aussi détestable que nous.

Mais la femme non, elle est faite pour être protégée donc

hors de question que je laisse qui que ce soit la

brutaliser encore moins la violer mais je ne dis pas qu’il

n’y a jamais eu de mort pendant nos opérations. Je peux

certes m’empêcher de tuer mais je ne peux pas

empêcher les autres de le faire surtout lorsqu’une des

victimes veut se jouer les super héros.

Je ne touche ni à la drogue ni à la cigarette. Je bois non

pas par plaisir mais plutôt pour oublier, oublier qui je

suis, ce que je fais. Pour oublier ma minable vie et le

minable personnage de cette minable vie. Je me déteste

tout comme je déteste ce que je fais. Mais comment

arrêter si je ne sais rien faire d’autre que ça ? Si j’ai

passé toute ma vie dans les armes à feu ? Déjà à 11 ans

je savais manier une arme.

J’aurai arrêté si j’avais quelque chose qui me motivait et

qui me donnerait assez de volonté pour devenir

quelqu’un de bien. Je n’ai aucune famille encore moins

de petite amie. Les filles, j’en ai collectionné à une

époque mais ça m’a vite dégouté. Moi je cherchais à

chaque fois en elle une compagne qui m’aiderai à être

quelqu’un d’autre mais elles tout ce qui les intéressaient

c’était le blé et le sexe et ces deux choses j’étais capable

de les en combler. Tout comme de ma vie j’en ai eu

marre donc je les ai toute envoyé promener. J’ai une

vision tellement grande de la femme que en voir qui se

dévalorise me déçois sérieusement.

J’ai intégré la bande il y a de cela 5 ans après avoir fait

partie d’une autre bande mais qui était moins équipée et

moins sérieuse que celle-ci. Contrairement aux autres

bandes de braqueurs qui circulent dans le pays notre

bande est très équipée, très puissante et modernisé.

Nous avons en notre portée toutes sortes d’armes à feu

qui nous parvienne des Etats-Unis où notre Boss a aussi

une bande mais qui est plus dans les stupéfiants. Nous

n’avons pas des armes rouillés et vielles, jamais. Elles

sont tellement en bonne état qu’on aurait dit qu’elles

appartiennent à l’armée. Nous utilisons aussi des

couteaux et autres types d’armes pour mieux nous

défendre en cas d’affrontements. Nous ne braquons pas

n’importe qui ou n’importe quel endroit. Nous nous

attaquons aux Banques, aux maisons de personnes

vachement riches. Jamais tu ne nous verras agresser

quelqu’un dans la ville avec un couteau comme le font

les amateurs. Nous nous sommes des pros avec tout ce

qu’il faut. Sur le terrain c’est moi qui commande parce

que le boss a plus confiance en moi qu’aux deux autres

qu’ils trouvent tête en l’air et ce n’est pas faux

d’ailleurs.

Nous opérons de nuit comme de jour toujours le visage

fermé et un appareil sur notre gorge pour modifier notre

voix afin de ne pas être reconnu. Après nos forfais

chacun vaque à ses occupations attendant le lendemain

pour toucher notre part du gâteau. Moi je me rends

toujours dans ce bar pour pleurer sur mon sort avant de

rentrer chez moi. Je ne suis pas du genre fêtard ni très

rieur d’ailleurs. Mon visage garde toujours la même

expression. Pourquoi rire quand je me déteste et déteste

ma vie.

« Alors bonsoir beau gosse »

Je ne tourne pas la tête et continue de siroter mon verre.

Je n’ai pas le temps de discuter avec les putes.

« Ça te dis qu’on aille se prendre un coup. Le genre de

coup qui me fera hurler ton nom ? »

Je sors mon portefeuille et pose un billet que je bloque

avec mon verre avant de me tourner vers la jeune fille.

Moi : Non merci je passe mon tour.

Je veux partir et elle lève la main pour m’attraper mais je

l’en empêche aussitôt. Disons que j’ai un réflexe assez

vif.

Moi : Personne ne me touche.

Elle : Hum j’adore les mecs…Hé je n’ai pas encore fini de

parler.

Je me retourne de nouveau et quitte les lieux sur ma

bécane. Je ne la sors que lorsque je deviens Dusky. Elle

est assortie avec mes vêtements tout aussi sombres que

mon surnom et ma vie. Pourquoi je n’aime pas qu’on me

touche ? Parce que je me sens sale et aussi parce qu’à

force de ce travail je suis toujours sur la défensive. Si je

dois avoir un contact avec quelqu’un c’est moi qui

touche. Hors de question que quelqu’un pose sa main

sur moi. Alors ça jamais. C’est même pourquoi quand je

me bats il n’y a pas moyen que mon adversaire me

touche à moins que je sois distrait ou en position de

faiblesse mais même ça encore faut être vraiment

costaud pour le faire.

J’entre dans mon appart sans vie ni couleur et me dirige

dans la douche où je laisse l’eau couler sur moi,

espérant que ça diminue l’effet de merde qu’est ma vie

sur moi.

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Mis à jour : Chapitre 70 Amour Cruel   05-08 06:58
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