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Vous savez dans les contes de fée, la belle-mère était maléfique, mais elle, elle était encore pire. On dirait qu'elle a marabouté mon grand père, ce dernier ne voyait rien, il ne voyait pas toutes les atrocités qu'elle nous faisait vivre
Vous savez dans les contes de fée, la belle-mère était maléfique, mais elle, elle était encore pire. On dirait qu'elle a marabouté mon grand père, ce dernier ne voyait rien, il ne voyait pas toutes les atrocités qu'elle nous faisait vivre
chapitre: 1
..... Aby Kane......
-Maman s'il te plait calme toi
-Me calmer? comment me calmer qu'est-ce que j'ai fais pour mériter une chose pareille, tu te rends compte qu'on est dans la rue. Je suis désolée, vraiment désolée, je suis désolée, je suis désolée... dit-elle en boucle serrant mon petit frère Abdou dans ses bras.
Ça fait 1h de temps qu'on est dans la rue, depuis 17h déjà. Comment on s'y est trouvé? Très bonne question. En fait mon père est décédé depuis déjà un an. Ma mère, mon petit frère et moi avions vécu l'enfer chez nous depuis son décès et même avant. Je devrai dire chez la belle-mère de mon père, puisqu'elle s'est accaparé la maison comme pas possible .
Vous savez dans les contes de fée, la belle-mère était maléfique, mais elle, elle était encore pire. On dirait qu'elle a marabouté mon grand père, ce dernier ne voyait rien, il ne voyait pas toutes les atrocités qu'elle nous faisait vivre.
À mon père, elle ne pouvait rien faire, elle était même au petit soin avec lui, mais dés que mon père nous tournait le dos pour aller travailler c'était la misère. Ma mère ne disait rien, elle a tenté de la dénoncer mais bon comment dire du mal de quelqu'un qui a fait croire à tout le monde que c'était un ange.
Moi je ne suis pas du genre à donner ma langue au chat mais je ne veux pas mettre ma mère dans une situation déplaisante. Et depuis que mon père est décédé d'un accident de voiture, elle pouvait nous maltraiter ouvertement, librement, comme elle le sentait, elle et sa fille Kiné , grand-père, lui, ne disait rien, elle avait aussi un fils qui voyage tout le temps, mais lui il est différent, lui il a un coeur.
Bon voilà, c'est dans ma chambre qu'elle nous a trouvé après le déjeuner pour nous dire
-Bon Aminata, elle s'adresse à ma mère là, mon mari et moi vous remercions, vous avez été une épouse formidable dit elle avec un air ironique, vous savez qu'il est parti en séminaire. Il m'a demandé de vous dire qu'il ne veut pas vous trouver ici quand il rentrera de voyage.
Et elle part sans nous laisser en placer une. On était là bouche bée, on ne savait vraiment pas ce qui était en train de se passer, grand-père était toujours silencieux, il ne nous défendait jamais mais je ne pense pas qu'il puisse renvoyer de sa maison la chaire de sa chaire, en plus on a absolument rien fait de mal. Ma mère commençait à paniquer je la prend dans mes bras et elle éclata en sanglot.
-Je savais qu'elle allait y arriver, je le savait..... Dit elle. Et comme ça suffisait pas, Kiné est venue en rajouter.
-Mo ioe yenangui fi ba légui (vous êtes encore là) faites vite, on veut réaménager la maison.
-Vas te faire foutre dis-je en me décollant de ma mère, qui essayait de me retenir. Kiné à 10 ans de plus que moi mais elle a besoin qu'on la remette à sa place.
-Pardon j'ai pas entendu. Dit elle
-Tu m'as bien entendu, vous n'avez pas honte, avec tout ce que ma mère a fait pour vous, elle ressemblait plus à une bonne à tout faire qu'à une épouse, et vous nous jetez comme ça de cette maison qui est aussi la notre. Mais on ne va pas nous rabaisser à votre niveau et rester dans cet enfer qui nous sert de maison bandes d'hypocrites, on va volontier quitter cette maison et je suis sûre qu'on sera plus heureux loin de vos sales têtes.
Elle n'a rien ajouté, elle a peut être eu peur de moi et c'est normale. Quand je m'énerve je deviens quelqu'un d'autre.
-Aby, est-ce que t'es normale me lance ma mère où est ce qu'on va aller maintenant, tu ne pouvais pas me laisser négocier avec ta grand-mère.
-C'est pas ma grand-mère, et je vais trouver où on pourra aller mais on ne va pas rester une seconde de plus dans une maison où on ne veut pas de nous.
Ma mère était sidérée et moi je rangeai nos valises en me demandant où est ce qu'on va bien pouvoir les poser. On n' a pas de famille ici à Dakar, qui va bien pouvoir nous loger. J'avais ma bourse avec moi mais je ne sais pas ce qu'on peut faire avec 36000 francs, je vais aussi vendre mon téléphone s'il le faut, mais je trouverai quand même où faire entrer ma mère. Je ne suis qu'à deux années de mes études en finances et avec tout ce qu'il faut faire avant d'avoir un boulot stable je sens que je vais galérer avec si peu de diplômes, il me faut trouver quelque chose à faire.
A l'heure où je vous parle on est tous assis sur les bancs de l'arrêt de bus, ma mère pleurait toujours, mon frère me regardait avec des yeux inquisiteurs et moi je cherchais une solution.
J'avais d'abord pensé à appelé Mamie, ma meilleure amie pour qu'elle nous héberge mais ce serait trop demander je pense, trois bouches à loger et à nourrir, c'est pas rien.
Une main posée sur mon épaule me sortit de mes pensées, je lève ma tête et je vois le visage d'ange de Mariama qui me fait un sourire de compassion. C'est la femme de ménage de la maison de grand père. Elle et moi, on a quasiment grandit ensemble. Je lui donnais même des vêtements et je lui ai acheté son téléphone portable.
-Je suis vraiment désolée pour
vous, Ta assy est une sorcière
Dit elle en s'asseyant à mes côtés.
-Maintenant, qu'est ce que vous comptez faire.
-Je ne sais pas, on a même pas où passer la nuit.
Elle se tut et joue avec ses doigts, elle sursaute et reprend.
-Écoutes, ma mère et moi vivons dans une maison qui a des chambres en location, et hier quelqu'un a quitté la maison donc il y'en a une de libre.
-Trés bonne idée, contente de savoir que t'as un cerveau
Elle rigole et se lève en nous aidant avec nos bagages. Le bus était déjà là. Le trajet fut long et silencieux. Et je pensais à tout ce qui nous attend. Certes, je perçois ma bourse. Mais qui va payer le reste de mes études et celles de mon frère. C'est mon grand-père qui le faisait depuis la mort de mon père mais s'il est allé jusqu'à nous foutre dehors, je ne vois pas pourquoi il continuerai à les payer.
Nous sommes arrivés devant la maison de Mariama, et il y'a une énorme différence entre ici et là d'où je viens. Qui aurait cru que j'allais atterrir ici.
Nous nous sommes tous installés sur une natte et Mariama est sortie de la maison pour appeler la propriétaire des lieux. Pendant ce temps sa mère nous faisait la discussion et nous disait tout le bien que Mariama disait de nous.
Le proprio est venu, c'était un vieux vraiment vieux. Il nous a fait savoir que la location de la chambre était de 15000fr et qu'on aura du courant et de l'eau a notre disposition. Les toilettes étaient publiques, très normal.
On nous a laissé nous installer dans la chambre et notre prédécesseur y avait laissé un matelas. Donc il y'avait un matelas et une petite commode, c'était vraiment triste. J'ai payé les 15000fr et il me reste 21000fr.
On s'est couché sans manger et on avait même pas d'appétit. Mon petit frère lui a quand même mangé le lakh que lui a donné Mariama. On s'est tous couché sur le même lit et je n'ai toujours pas versé une seule larme et c'est peut être parce-que je pense toujours que je suis dans un cauchemar et que quand je me réveillerais tout sera fini. Je me suis endormie en me demandant ce qui nous attendait le lendemain......
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Douze ans. C' est le temps que j' ai passé à me sacrifier pour Julien, mon ami d' enfance et patron. J' ai renoncé à HEC Paris pour bâtir sa startup TechNova, travaillant nuit et jour, pour un salaire misérable, nourrie de vagues promesses d'avenir. Mon rêve était de l'épouser. Mais le jour de mes trente ans, le jour même où il disait m'épouser, j'ai vu Julien annoncer à la télévision nationale ses somptueuses noces… avec une autre femme. Chloé. La bague Cartier, l' appartement Place des Vosges, tout était pour elle. Puis j' ai surpris la conversation : il me traitait de « larbin gratuit », de « lèche-bottes », de « facile à manipuler ». Douze ans de dévouement réduits à cette violence verbale et à cette trahison publique. Mes amis me félicitaient, pensant que j' étais la future mariée, ce qui ajoutait à l' humiliation. Comment avais-je pu être si aveugle, si naïve devant tant de mépris ? La rage froide a balayé ma douleur. Plus de larmes. Plus jamais. Une décision claire s' est imposée : je n' étais plus sa victime. Elle allait partir. Elle allait épouser Alexandre, l' homme qui la voyait, le jour même du mariage de Julien. Elle allait enfin vivre pour elle.
La lampe de chevet éclairait à peine la chambre, et pourtant, dans cette semi-obscurité, je voyais le vide entre Kyle et moi, un vide que nos corps tendus ne parvenaient pas à combler. Puis, alors que je pensais qu'il dormait, j'ai entendu son souffle lourd briser le silence, suivi d'un murmure glaçant : « Carole... ». Mon sang s'est figé. À travers l'entrebâillement de la porte, j'ai vu Kyle, le corps voûté, le visage tordu par un mélange de désir et de douleur, tenir une photo de cette femme, qu'il appelait avec une satisfaction obscène. Le contraste était brutal : avec moi, il était bloqué, distant ; avec elle, il était volcanique. Le désespoir m'a envahie, la terrible vérité s'est imposée : je n'étais qu'un "pis-aller", une auberge de passage sur sa route. Comment avais-je pu être aussi aveugle, croire à ses promesses, servir de pansement à ses blessures pendant des années ? Mais une étincelle s'est allumée dans ce cœur en miettes. C'en était fini de la Juliette naïve et soumise. J'allais partir, quitte à épouser le mystérieux Alan Moore, défiguré dit-on, pour fuir cet enfer.
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