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Étant dans la détresse la plus immense, Nina cherche son bonheur
Étant dans la détresse la plus immense, Nina cherche son bonheur
01.
Je regardais ma mère s'activer et partir dans tous les sens, elle nettoyait et cuisinais en même temps, elle travaillait beaucoup trop mais n'avait pas de choix, je m'asseyais donc tout près d'elle car je me sentais mieux avec elle qu'avec le reste de la maison
J'avais 20 ans et la famille dans laquelle nous étions elle et moi était une famille assez étrange, je n'avais plus de père car il était mort quatre ans après ma naissance, ma mère s'était donc donné au travail corps et âme pour subvenir à nos besoins, elle vendait au marché et passait ses soirées dans des bars entant que serveuse, avec ce peu d'argent elle m'envoyait à l'école et me suppliait d'être toujours intelligente
Jusqu'au jour où elle tomba sur ce monsieur, ce vieux blanc qui l'avait sorti du bar pour l'emmener dans sa maison, elle m'avait donc dit qu'enfin on allait avoir un toit et un lit, ce monsieur l'aimait beaucoup, en dépit du fait qu'il avait deux enfants, une fille de 22 ans et un garçon de mon âge, sa fille se comportait comme une vraie peste, mais restait polie avec moi quand elle le voulait, son frère à la différence m'appréciait il était simple et gentil
J'avais eu du mal à m'adapter mais je faisais tout mon possible pour faire plaisir à ma mère
-Nina ?
-humm maman ?
-donne-moi le couteau là et commence à mettre la table, ton père va bientôt rentrer
-ce n'est pas mon père maman
-ah ne sois pas stupide il nous a reçu ici ! tu penses qu'on serait dans de bonnes conditions s'il n'avait pas accepté que je vienne avec toi ?
-tu devrais remercier Dieu parce que maintenant nous sommes dans une maison où on ne manque de rien, tu manges chaque jour et tu vas aussi à l'école alors si je te demande de le considérer comme ton père fait ce que je te dis un point c'est tout ! maintenant dresse la table
-oui maman répondis-je out simplement
-fais-vite et quitte devant moi
Je m'écartais pour la laisser passer, je dressais la table et rangeais tout le reste dans une armoire, Betty et Dylan arrivèrent avec leur père au même moment, ils allèrent dans leur chambre respective pour se changer et revinrent ensuite dans le salon
-humm ça sent bon ici dit-je mon père
-j'ai fait tout ça pour toi mon chéri, assieds-toi Nina a déjà fait la table
-c'est bien Nina tu as bien travaillé
-où sont les enfants ? demanda ma mère
-ils sont là
-Betty ça va ?
-ouais, t'as fait quoi à manger ?
-de la viande en sauce avec du riz
-humm, Dylan tu viens ? j'en peux plus que tu sois toujours le dernier qu'on attende pour commencer à manger
-bah quoi je suis là ! parle doucement t'es pas obligé de crier remarquer
-je cris si je veux ok ? maintenant tu t'attables parce que moi j'ai faim gros idiot
-papa tu vois comment elle me parle ?
-calmez-vous nous sommes à table vous règlerez vos histoires ailleurs, mangeons maintenant
Ma mère apporta la nourriture et nous servit tous, elle était très bonne cuisinière et j'avais toujours apprécié sa cuisine, je mangeais avec appétit et me levais avant tout le monde car j'avais des devoirs à faire
-tu vas où ? me demanda-elle
-je vais dans ma chambre faire mes devoirs
-mais tu ne vois pas que tout le monde mange? tu peux attendre un peu non ?
-non maman je dois finir mes devoirs
-humm fais d'abord la vaisselle après tu pourras partir
-d'accord
Je me mis donc à la tâche car quand elle donnait un ordre il fallait obéir sur le champ
Je n'avais presque plus de vie, j'avais 20 ans et je 'avis aucune vie, tout se résumait à la reconnaissance dans cette maison, je regardais tout le monde ils semblaient heureux et joyeux mais moi je ne l'étais pas, j'avais beau essayer c'était difficile pour moi de m'insérer dans le décor comment fait-on pour jouer les hypocrites ?
Moi je n'y arrivais pas
Après avoir fini avec ma vaisselle j'allais dans ma chambre faire mes devoirs car j'avais un exposé le lendemain, je finissais donc mes devoirs et m'endormis sans mon rendre compte...
Je sursautais quand je me rendis compte qu'il faisait tard, il était 22heures tout le monde dormait sûrement déjà, je regardais autour de moi et rangeais mes affaires, j'allais ensuite prendre une douche et revenais me coucher, mais je ne trouvais pas le sommeil, je regardais ma porte, mon cœur battit très fort, je me levais donc et marchais sur la pointe des pieds jusqu'à la chambre de de Betty, je frappais mais elle ne répondit pas, j'ouvris donc doucement et m'approcha d'elle
-Betty ?
-qu'est-ce qu'il y'a ?
-je peux dormir avec toi ?
-non tu as ta chambre et j'ai la mienne alors n'empiète pas sur mon espace personnel
-Betty s'il te plait laisse-moi dormir avec toi
-j'ai dit non, maintenant sors et referme la porte derrière s'il te plait, je suis fatiguée
Je baissais ma tête triste et retournais dans ma chambre accablée, je fermais la porte à clé et m'allongeais, je fermais les yeux et restais silencieuse en attendant le sommeil
Pourtant un bruit me réveilla quelques heures plus tard, je sursautais en me rendant compte que quelqu'un avait réussi à l'ouvrir, je me mis alors à trembler de tout mon corps, il était là pour la deuxième fois et cette fois j'avais peur que ça n'aille plus loin, il s'approcha de moi en souriant
-alors ma petite tu es prête ?
-non, non s'il te plait ne me fait pas de mal
-je ne te ferai rien si tu restes sage
-non je t'en supplie ne me touche pas dis-je en versant des larmes
-chut, ne crie pas sinon tu vas finir à la rue
Il avança dangereusement vers moi et descendit son pantalon
-allez laisse-toi faire maintenant je ne serai pas long
-non je t'en supplie beau papa, non !
Je sautais du lit pour m'enfuir mais il me rattrapa et me plaqua sur le lit en fermant ma bouche avec sa grande main
-chut, je serai doux ne t'en fait pas
Il me poussa sur le lit et s'allongea sur moi pour commencer sa sale besogne...
02.
Vous l'avez compris, mon nom est Nina Oyo, je vis dans cette maison avec un homme qui a décidé d'abuser de moi et je ne sais plus comment m'en sortir avec ma mère qui se voile les yeux en pensant que c'est le foyer dont elle a toujours rêvé, alors je crie à l'aide silencieusement en espérant qu'on m'aide
Je n'arrêtais pas de me frotter le corps de partout, j'avais des cicatrises et des parties enflées tant j'avais essayé de me défendre, je pleurais et me glissais sur le sol en réalisant le calvaire que je vivais, c'était la deuxième fois que mon beau père abusait de moi, et j'en souffrais énormément, il me menaçait chaque jour de nous foutre à la porte toutes les deux si j'ouvrai ma bouche mais comment faire avec un homme qui me rendait la vie difficile ?
J'avançais dans ma chambre à quatre pattes car j'avais mal partout pour marcher normalement, je me sentais si sale ! je m'allongeais sur le plancher et continuais de pleurer en tremblant, je n'étais pas descendu depuis ce matin j'allais vomir de dégoût si je tombais sur ce vieux porc, je posais donc ma tête sur le sol et soignais ma peine en pensant à mon père cet qui m'avait laissé seule dans ce monde de méchant
-Nina tu es là ? entendis-je derrière ma porte, Nina ?
Je ne répondis pas je ne pouvais pas parler, j'allais trop mal, mais la personne derrière insistait
-Nina ! c'est comment tu t'enfermes dans ta chambre comme ça ? tu ferais mieux de sortir d'ici pour nettoyer la maison je ne vais pas faire tout ça toute seule
-...
-Nina ?
-...
-je te dis déjà hein ! si tu n'ouvres pas cette personne tu vas me sentir aujourd'hui c'est quoi ces comportements ? tchuiip !
Elle continua de parler pour me faire sortir mais je restais allongée sur le sol incapable
-Nina ! tu vas sortir d'ici avant que je ne m'énerve ! je te dis hein de ne pas m'énerver ici là comme tu aimes faire ta maboule sors !
Je me levais donc aussi difficilement que possible et m'habillais du mieux que je pouvais, j'étais blessée aux parties intimes et je marchais avec difficulté mais si je ne sortais pas de cette chambre ma mère me tuerait et je ne le savais que trop, elle avait fini par se déplacer
Quand j'arrivais dans la cuisine je la r=trouvais dans un état piteux, il y avait de la vaisselle partout et une corbeille de vêtements abandonnée au centre de la pièce, je regardais autour de moi un mal de crâne soudain me saisit, j'avais mal partout
-ah enfin ! tu es là ! donc depuis que je t'appelle tu fais comme si tu n'entendais rien ?
-désolée maman, je prenais une douche
-tchuiip je prenais ma douche non mais ! passe là tu vas faire ce ménage les autres sont déjà partis, je suis en train de faire la cuisine donc si tu pouvais m'aider ce serait bien, et puis pourquoi tu marches comme ça tu as eu quoi ?
-elle n'a rien eu
Je sursautais de peur, il était là derrière moi et anticipa ma voix
-elle a sûrement du tomber dans la salle de bain les carreaux sont très glissants ici
-tu es tombé dans la salle de bain ?
-...
-Nina !
-maman je... je n'ai pas glissé non en fait
-va me chercher une bouteille d'eau j'ai fait le chemin sans m'arrêter
-mais
-j'ai dit vas-y ! répéta-t-il en s'approchant de moi, je m'écartais donc en tremblant et allait lui chercher une bouteille dans le frigo
-ah mon chéri, je suis désolée j'avais oublié de te donner ta bouteille, ça été au travail ?
-oui je suis en pause alors je suis venue voir ma délicieuse femme
-il faut arrêter de me charmer oh ! et toi tu vas me dire ce qui t'ai arrivé dès que je finis avec ma cuisine ! Bon je reviens je vais chercher ma cuvette d'eau dehors, sers ton père un verre d'eau et finis ton travail tu as compris ? me dit-elle
-oui maman
Elle se retourna et sortie de la cuisine en me laissant seule avec lui, il s'approcha de moi, je restais immobile et morte de peur
-alors comme ça tu as glissé dans la douche ? quelle belle histoire !
-ne t'approche pas de moi s'il te plait, laisse-moi tranquille
-non ma beauté on vient juste de commencer à jouer je ne vais pas arrêter maintenant c'est tellement excitant
-s'il te plait beau papa laisse-moi je t'en prie
-n'oublie pas que si tu ouvres ta bouche je vais vous mettre à la porte ta mère et toi, elle va retourner dans ce vieux bar crasseux où je l'ai ramassé et vous allez manger dans les poubelles de la ville comme deux chiennes
-je ne te permettrai pas de nous insulter !
-humm tu es encore plus bandante quand tu fais ta tigresse je devrais
-non ! criais-je en jetant le verre à terre
Ma mère choisit ce moment pour revenir, je soufflais de soulagement, il prit la bouteille et s'éloigna de moi
-je vais retourner bosser ma chérie j'ai ma bouteille d'eau
-il ne faut pas rentrer tard hein, je t'ai fait des feuilles de manioc comme tu l'aime
-humm... à plus tard
Il l'embrassa et parti en me regardant dangereusement
Plus tard, dans la soirée je restais enfermée dans ma chambre j'avais fait le ménage toute la journée et je ne voulais pas manger avec les autres alors je restais enfermée, j'entendis quelqu'un frapper à ma porte et demandais qui s'était, Dylan ouvrit donc la porte et me demanda s'il pouvait entrer
-Nina ?
-oh salut entre
-ça va ?
-oui ça va
-c'est juste que tu n'es pas venu manger avec tout le monde alors j'ai pensé que peut-être tu avais faim, il avança avec un plateau de nourriture et vint s'asseoir à mes côtés sur le sol
-merci lui dis-je mais je n'ai pas très faim
-tu en es sûre ? je te trouve très pâle tu es malade ? tu veux que j'appelle papa ?
-non ! dis-je presqu'en sursautant tu n'oses même pas !
-mais calme-toi j'ai juste demandé qu'est-ce qu'il y a ?
-oui excuse-moi, je voulais juste dire que non , ça va je n'ai besoin de rien
-ok...
-...
-Nina je sais qu'on n'est pas frère et sœur, mais vue que ta mère est avec mon père on devrait faire l'effort de se supporter, je t'aime bien moi
-moi aussi je t'aime bien Dylan tu es gentille mais je vais me reposer maintenant si tu permets je me sens très fatiguée tu crois que tu peux me laisser ?
-ouais, sans problème, je serai dans ma chambre si t'as besoin d'aide
-merci
Il sorti et me laissa seule, je tirai donc le plateau vers moi et commença à manger comme si j'avais passé les deux derniers jours dans le désert, après avoir mangé j'attendais que tout le monde soit rentré pour nettoyer mes couverts, je retournais ensuite dans ma chambre et la fermait à double tour, je mettais aussi une chaise devant pour mieux la protéger, je m'allongeais et restais les yeux bien ouverts juste au cas où
Mais aux alentours de minuit, je sentis de nouveau ma porte faire du bruit, le bruit des clés raisonna et on poussa très fort la porte ce qui propulsa la chaise un peu loin sur le tapis, il claqua la porte en avança vers moi
-tu pensais pouvoir m'échapper ?
-Non... Non je ne veux pas revivre ce cauchemar dis-je en tremblant
-chut me dit-il en s'approchant en caleçon, regarde je suis déjà près ma chérie...
Seigneur non !
"Mes souvenirs de lui".... notre prochaine chronique. L heroine s appele Dora et elle va vous raconter son histoire ... des faits communs mais un vecu unique.
Coming Soon... Soeurs de sang, Soeurs différentes, Quand la vie ouvre les yeux La réalité est toute autre... "BLIND SISTER" Bientôt...
******** PROLOGUE ******** La vie, le début d'une histoire rose pour certains mais grise pour d'autre, elle se définie par vos actes et de ce que vous en faites. les envies et les désirs se diversifient et à chaque pas, on grandit un peu plus ainsi est faite cette toile pleine d'attraits que j'appelle: " LA VIE", ma vie. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Il y a exactement un an, la jeune fille que je suis menait une vie normale pleine de joie et d'aventure, je parcourais le monde sans encombre à ma guise. Ma jeunesse à portée de main, mes études fleurissantes, je ne pouvais rêver mieux et ça je le croyais, tout avait l'air parfait jusqu'au jour où tout bascula car ce jour là je rencontrais celui qui deviendrait: "MON OBSESSION et MON PIRE CAUCHEMAR". ******************************************* Décembre, comment oublier ce mois??? Ce mois même où je fis la connaissance de celui qui allait changer mon existence à tout jamais. La première fois que je l'ai vu, rien de spécial ne m'envahie pourtant au croisement de nos regards j'eus ce sentiment si particulier, si unique!!!! Qui a dit que le coup de foudre n'existait pas, Qu'il retire ses propos car je l'ai connu. Quand j'y repense, je me dis que si je n'étais pas allé à ce rendez-vous jamais nos chemins ne se seraient croisés, mais à quoi bon? Aujourd'hui encore je me dis que c'est le destin qui l'a voulu ainsi. Ce jour là je vis cet homme qui s'approchait de moi lentement mais sûrement, de temps en temps je regardais du coin de l'oeil toute apeurée me disant qu'il passait son chemin, pourtant à ma grande surprise il s'avança vers moi et à quelques centimètres stoppa son geste pour m'adresser ce si beau sourire qui fait fondre mon coeur aujourd'hui encore, mon coeur battait fort, très fort, il avait senti mon malaise et d'un ton enjoué il me dit suavement: -Bonjour! sidérée je répondais à sa salutation regardant autour de moi ( il ne s'est pas trompé de personne??? me dis-je au fond du coeur) Mais NON! il me parlait à moi, moi qui jusque là tenais à peine debout tant je n'y croyais pas, j'avais en face de moi un bel INCONNU me faisant la conversation, seulement ce que je ne savait c'est que ce bel inconnu serait un jour mon bonheur et ma plus grande peine. Mon nom est MIMOSA MIMOSA JOYCE NOLA et c'est avec ce comble d'avoir tellement souffert que je vais vous compter ma petite histoire...
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