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hein ? et puis ta démarche qui a changé comme si tu avais subi une opération je t

i m

é aux

ini le prem

nser à remercier ton pèr

s ent

homme n’est

huiip maintenant quitte devan

ée ensuite tu commences à bouillir le

acc

u imaginer je n’aurais pas penser que cela m’arrive à moi, je restais muette comme une carpe cherchant le moyen de parler à ma mère mais me croirait-elle seulement ? j’en doutais la connaissant elle pe

lut

tais de là où j’étais

ment ce n’

refait plu

le, attends, je ne peux plus t

te je ne supporte plus qu’

sérieu

plus ça c

rs quoi de neuf tu v

ndes ça ? lui dis-je

hambre depuis quelques jours, et aujourd’hui

h

va m

i m

isines

marché acheter des condiment

eurs de faim, au fait tu a

e, juste le pr

’ai quelque

? lui demand

le pa

paquet timidem

t ? dis-je

e tu aimes ça j

ors reconnaissan

ma sœur, en

e c’est ça ? lança Betty

uis rétorqua-t-il en tiran

lus

gnorer bouffon va, et to

de loin, espèce de profiteuse t’y

tes deux cons, elle me toisa et passa son chemin,

dis-je du

dit qu

i di

sais à qui

s Betty je ne s

re renvoyer de cette maison

faire je m’e

l à survivre dans cette maison alors ses airs de princesse elle pouvait se les garder, je fini de faire mon r

ôt avec ses amis, il fau

en

es il a dit que l’un d’eux est un gros c

ande cuisinière je l’avais toujours suggéré de vendre de la nourriture à domicile ou avoir une table mais elle refusait catégoriquement elle préférait la facilité avec son blanc, il nous donne beauc

ni ? dema

aman j

u vas servir nos conv

ranck et ses amis se mettaient à l’aise dans le salon, j

jolie hôtesse de maison elle

la fille de

est mignonne

prochais de lui doucement et lui servit à son tour, il me regarda faire sans dire un mot et commença à manger

s quand je senti une main soulever

a belle ce n

touch

hein ? tu

moi tran

nc tu te tais et tu te tournes qu

on

er, je senti la poignée de fer transpercer ma peau meurtrie par les violences de toute la semaine, j’étais blessée partout

âchant, tu es malade cria-

atisée et tremblante, je commença

’ai des invités à côté, apporte nous du vin et ne t’inquiète pas j’ai tout mon temps pour t’

lories, j’essayais de me lever tant bien que mal, je n’avais plus la force de repartir dans ce salon, je c

i dans ta chambre tu n

armes aux yeux il f

’est quoi ça ? on dir

que je te dit-j

da-t-elle en me

e, lâchais-je en pleu

me dit-elle en s’

l

ps de finir ma phrase que je re

je vais te boxer ici… maintenant lèves-toi et reprends tes e

uitta la chambre sa

oi que

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e en dépit de la révélation que je venais de lui faire, mes yeux s’arrondirent un peu plus de larmes

me changea tant bien que mal

à, débarras

e entaille que je venais de me faire en me débattant contre lui donc je souffrais le m

chète-moi une bouteille

s piper mot et essuya

n comportement là plus tard, mais de grâce souris devant nos inv

n de vin, un des chef de rayons m’indiqua où ça se trouvait j’allais donc et prenais une bouteille, je regardais ensuite de l’autre côté et remarquais un produit qui attira mon attention,

vous pourriez f

e désolée, je passais donc mon chemin sans me retourner, j’arrivais en c

rendais compte que je ne connaissais presque personne dan

ey

que j’avais heurté dans le super marché, mais qu’est-ce qu’il me veut ? mi

je ne vais pa

lui dis-je en le reg

ulais vous remettre ceci

é dans ce super mar

et ne discute pa

me pas pourquoi devrai

qu’à le prendre ou le jeter vous avez le choix, au revoir mademoiselle,

ça je prends et je m’en vais, quand j’arrivais à la maison je n’allais pas dans le

as mis

lée m

s l’apporter à table

tais et le

on visage là je n

----------------

n paquet non ouvert je le pris donc et l’ouvris pour tomber sur l’article que j’avais vu, c’était gentil de sa part je le p

me dit-elle,

n, donc tu penses que m

am

tu ne te rends même pas compte que nous sommes bien ici ! tu à tout ce que je n’ai pas pu t’offrir d

ndais d’oublier les violences que je subissais au prix du

a mère donc si je te demande de te taire tu te tais parce que je n

vec une photo de mon père entre mes mains, mes larmes se mirent à couler abondement

pas heureuse comment pouvais-je me sortir d’ici ? c’est

oir m

lot aujourd’hui mais t

tu sortes d

pas que ça à faire me

as que tu me touche pour quoi tu m

tu vas faire ce que je te demande

on

me giflant, il faut toujours que

que mon pied se coinça s

criais-je

i demandé de te laisser faire mais tu n’en

i criais-je en ple

e pénétra comme une brute en bâillonnant ma bouche avec sa main, ses coups se faisaient de plus en plus violents, je souffrais le martyr il prit ma main et la coinça pour m’empêcher de b

! cria

tout de su

mon

s d’

uler sur mon visage, elle venait de le voir me brutaliser et n’avait pas bouger l

urs à la force pour parvenir à mes fins, je vais voir ta mère je reviens, il so

me lever avec difficulté et m’habilla avec douleur avant d’aller j

yl

’il y a ? tu as du sang p

ta chambre s’il te pl

vas-y

e de bain, je venais de vivre le plus grand cauchemar

5

st-ce qui

te parler pour l’inst

e vraiment po

e nui

ar j’étais exténuée e

s d’une heure et changeais de vêtement, j’enlevais le drap souillé qui recouvrait mon lit pour le remplacer, ma mère entra dans ma chambre et resta sur le pas de la porte en me regardant,

N

omment

hérie comme

demander com

N

comment je vais? et tu ve

lui faisais des avances

ais-je pris

pas fait des avances ? tu es une grande fille et si tu t’habilles

stifies son comportement à mon égard pour avo

que tu lui as fait des avances c’est que c’est vrai ! maintenant tu vas me faire le plai

as co

ute façon j’ai déjà parlé tu me rejo

t ma mère me donnait au lion pour s’assurer d’avoir toujours le confort à ses pieds, je m’assis s

c’était passé ils me dégoûtaient tous les deux, rien qu’à les voir j’avais des envies meurtrières, quand il

parlé ma

le aura un comportement

parce que je ne

me viole ! l

in

homme qui abuse de ta fille par envie de confort e

oi je t

dans un miroir, Dieu est vivant tu v

gereusement, tu vas te taire ! il me saisit par

ec difficulté,

petite vie sans importance, je te nourris et fais tou

…ma

e-toi mon chéri elle ne pe

ès impolie et je

pour elle, mais ne lui fait pas de mal, tu vas

je encore à b

k je t

déjà partir, son sourire narquois et son air suffisant m

e, elle a compris elle

elle lâcha-t-il en m

nde inspiration pour

on, si tu veux survivre tu te plis aux règles, je vais dans la c

mon chéri va

ma mère accouru

i tu ne m’entends pas ? regarde ce que tu as

its personne ne doit savoir ce qui se passe ici même pas

dis-je en pleurant,

odile, elle se leva et suivi mon beau père me laissant seu

-----------------

urs plu

ocha de moi en me toisant du regard, je fis comme si je ne l’avais pas vu parce qu’elle m’én

oi ? me dem

ux pour voir ? je

aussi une corbeille sale si

s ta bonne je

de faire la lessive ça te coû

aire toi-même ? rétorquai

de discuter tu va

le fe

te préviens je vais faire en sorte de te rendre

eterre si tu veux qu’on fasse la lessive pour toi embauche une bonne sinon fais-le toi-même

es pas sur tem

le seau et me redressais

usser le ton sur moi je ne s

e fais tellement pitié que je pour

t pas pour moi tu

révenir, elle venait de me donner une gifle, je posais ma ma

cile tu croi

sse sa phrase, je sentais une colère immense monter e

s tes sales m

u me fa

n ai marre ! je tirai ses cheveux et la poussais

i ? cria Dylan en nous voy

te en deho

e ! elle n’en v

he tout le temps

entre pas dans s

ty en se levant toute mouillée,

e temps ! je ne sais p

et elles profitent de nous toutes

i vrai

nt ses mains sur son visa

le ! lui lança-t-il en

tout ça, j’avais envie de pleurer mais j’avais l’impression d’avoir déjà pleurer toutes les

in

Franck il fracassa la porte de

hé à ma pet

lle qui

me cria-t-il avant de commenc

upplia Dylan, c’est

en plus fort avec la boucle de sa ceinture ce qui me bless

a ar

l me suivit et voulu me tirer avec le pied mais je choisis ce moment pour lui balancer la bouteille qu’il reçut sur sa tête, il lâcha alo

ans mon dos, mais je continua