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Chacun sa chacune

Chacun sa chacune

5.0
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Résumé

Table des matières

À chacun sa chacune Maisha, une jeune femme ayant subit des péripéties dans son jeune âge se retrouve totalement changée. Entre froideur, agressivité, nervosité et surtout sauvagerie, elle ne fait point de cadeaux à son entourage. Mais comme on le dit si bien, chaque marmite à son couvercle, elle trouvera chaussure à son pied.

Chapitre 1 00

PROLOGUE...

+++Maïsha EBONG+++

Aujourd'hui c'est le vingt août .la date que j'aime le plus au monde, Tout simplement parce-que c'est précisément ce jour que le Dieu tout puissant qui vie dans les cieux a décidé de me faire venir dans ce monde qui a été créé par lui même en six jours (le septième il s'est reposé), à travers ma mère Raissa EMANE et mon père Martin NZOGHE.

Je suis entrain de me laver bien propre avec de l'eau chaude[sourire], aujourd'hui je prends mes douze ans. Avec maman et jores on doit aller chez Mami passer la journée, En vrai je sais, ma Mami m'a organiser une grande fête.maman ne veut tout simplement pas me dire la vérité mais je ne suis pas bête [ souriante].

Je prend mon Gant de toilette dans ma trousse ainsi que mon petit gel douche à l'orange que ma grand-mère m'a acheté, je verse une petite quantité sur le gant et je commence à me frotter le corps comme maman me l'a montré.

Je me frotte bien surtout les aisselles, derrière les oreilles et entre les cuisses, maman a dit c'est pour éviter les mauvaises odeurs parce-que mes poils commencent à sortir. Je me rince,rince mon gant puis je me frotte encore pour une deuxième fois. Lorsque je termine de me rincé, je lave mon slip et ma brassière dans le petit sceau que maman nous a acheté.

Il y'a aussi le caleçon de jores à l'intérieur, Je vais aller installé ça sur la corde qui se trouve dehors quand je vais terminer de me laver. J'attache ma serviette, ramasse mon petit sceau ,ma trousse et je porte mes tongs.

Je récupère ma brosse à dents dans ma trousse et je me lave les dents devant le miroir. Je termine je rince ma brosse et la range dans la trousse.

Moi (sursautant): oh tonton Marcus !

Ma serviette tombe à mes pieds.

Tonton Marcus (souriant): je t'ai fais peur maï ?

Moi (le fixant): Tu es là depuis ?

Tonton Marcus (me regardant bizarrement): oui .je regardais comment tu te lave.

Moi : ...

Tonton Marcus (regardant mes seins avec un sourire malicieux ): tu es déjà une grande fille maï.

Je réalise que ma serviette n'est plus sur moi, je la ramasse vite et l'attache. Tonton Marcus me regarde toujours comme si il avait envie de me mangé et ça me fait peur.

[Bruit de porte ]

Tonton Marcus s'en va rapidement en courant presque et moi je sors de la douche.

Tonton Marcus c'est le mari de maman. Moi je ne l'aime pas du tout ce monsieur et je crois que jores aussi, Mami me dit toujours << ce n'est pas bon de détester les gens >> mais malgré ses mots, je force, je n'arrive toujours pas à l'aimer. Doit t'on me forcé à aimer quelqu'un ? Non je ne pense pas. Lorsque maman va au travail, tonton Marcus reste à nous grondé et souvent à tapé sur jores sans aucune raison.

Je n'aime pas lorsque l'on tape sur mon petit frère.

Je vais installer nos sous-vêtements dehors en suite je vais déposer le sceau dans la douche . Tonton Marcus passe devant moi et me caresse le bras en souriant, J'entre dans la chambre en fermant la porte derrière moi .

Jores (me regardant): maï ? pourquoi tonton Marcus était devant la porte de la douche quand tu te lavais?

Moi (sortant ma robe du placard): je ne savais pas qu'il était là jojo, je l'ai vue quand je voulais sortir.

Jores (boudant): maï je ne l'aime pas ! Il est méchant .

Moi : moi aussi je ne l'aime pas mais Mami a dit de ne pas détester les gens Sinon Dieu va nous punir.

Tonton Marcus nous a déposé chez Mami et c'était la grosse fête ! Tous mes oncles et mes cousins étaient là.

Même mon père est venu avec trois gros cadeaux, deux pour moi et un pour jores. J'étais trop CONTENTE [rire] je ne voulais plus le lâcher et jores aussi, ça fait trop longtemps, papa n'est pas venu nous voir depuis un bon moment et lorsqu'il veut nous prendre avec lui pour le week-end, maman refuse TOUJOURS en disant qu'il est parti donc de nous oublié.

Et maman nous demande aussi d'arrêter de pensé à lui, parce-qu'il nous as abandonner pour une autre famille.

Papa (nous regardant): mes bébés je vais rentrer.

Jores (le serrant): reste encore un peu.

Il est encore resté avec nous .

Papa (à mon oreille): j'ai rangé une enveloppe dans le deuxième cadeau maï, tu connais comment faire non ? Comme je t'ai montré là.

Moi (en larmes): oui.

Papa (bisou sur le front) : ok mon bébé. Arrête de pleurer s'il te plaît.

Moi ( reniflant): c'est difficile papou, tu me manques !

Papa ( nous serrant dans ses bras): vous aussi mes bébés.

Les rares fois où l'on voit papa, il me laisses une enveloppe pour nous aider si il y'a un besoin comme maman n'accepte jamais quand il fait les courses.

Maman (me grondant): maïsha tu te dépêches de passer dans la voiture ou je vais te frappé !

Moi (collant mami): non je veux dormir ici.

Mami (regardant maman): Raissa même à son anniversaire ! laisse-les passer la nuit ici et demain je vais envoyer Jonathan chez toi.

Maman (fâchée ): non ! Ils viennent avec moi et c'est tout. C'est toi qui passe ton temps à dire 'oui' à tout leurs caprices, or ce sont des enfants.

Mami ( soupirant): tu abuses.

Maman ( grondant ) : votre père attend dans la voiture !

Jores (en larmes ): ce n'est pas notre père ! Mon père s'appelle Martin et je veux partir chez lui.

Les gens nous regardaient.

Ma tante a emmené jores dans le coin et Mami m'a tiré dans sa chambre pour me calmer en me disant qu'elle nous prendras pour le week-end même si je sais...c'est faux.

Cette nuit nous sommes tous rentrés et maman a dû aller à l'hôpital comme elle était de garde, elle travaille au CHUL (centre hospitalier universitaire de Libreville) alors nous sommes restés avec tonton Marcus.

J'ai lavé jores, on a mangé et nous sommes allés dormir. Pour la première fois,

J'ai fermée la porte de notre chambre à clé.

[Bruit de serrure]

[Bruit de serrure]

[TOC TOC]

Jores descend de son lit et va ouvrir la porte à tonton Marcus qui est debout et visiblement en colère.

[ maïsha , 27 ans ]

Comme à chaque fois, lorsqu'il a quelque chose d' important à me dire, yorick se présente toujours au rendez-vous très en retard.

Il est 17h [regardant ma montre], ça fait deux heures de temp. je suis assise au mayena comme une maboule et toujours pas de Mr OGOULA en Vu. Les choses qui m'énervent tellement [sirotant mon troisième verre de jus ].

Je termine mon verre de jus d'orange, règle ma note, soulèves mon sac à main suivis de mes fesses et je m'en vais.

Aujourd'hui je ne suis pas d'humeur à l'attendre comme un poto électrique, d'ailleurs je ne suis jamais d'humeur à le faire. Juste un peu plus tolérante, mais aujourd'hui non.

Pourquoi ne pas D'abord l'appeler ?

Moi EBONG ? L'enfant de NZOGHE ? Pour lui dire quoi ? En ce moment ma salive est trop acide, les mots qui sortent de ma bouche sont très piquants et si je décide de parlé c'est un tsunami qui va être créé en plein Libreville.

C'est lui qui me donne rendez-vous depuis 15h, après le boulot je viens directement en me disant, monsieur a une urgence et tout, j'arrive il n'est pas là en plus même pas la décence de m'aviser de son retard !

J'arrête un taxi qui m'accepte à la première proposition et ce dernier me déposes directement devant mon portail.

Moi (lui remettant son dû): Merci.

Je pousse le portail et pénétre la concession , maman est assise en plein milieu de la cour comme à son habitude entrain de lire sa bible . Je tire une chaise à la terrasse et je vais la rejoindre . c'est tout le temps comme ça lorsque je rentre du boulot , c'est une sorte de thérapie pour moi de discuter avec elle .

Moi (ouvrant le bouton de mon tailleur): veuve BIBANG Célestin .

Maman (levant la tête): EBONG, Ône vâ. (Tu es là).

Moi (m'assaillant en tendant les jambes en avant): je suis là en personne ooh ma co !

Maman : Oneuh vôrô? (Tu vas bien ?) La journée ? Raconte.

Moi (soupirant): ma journée était passable et supportable.

Maman (refermant sa Bible): gloire à Dieu alors.

Moi (regardant autour): tes nombreux enfants sont où ? C'est trop calme.

Maman (me dévisageant): EBONG tu veux m'énerver ?

Moi (rire): roh.

Maman (me dévisageant): tu viens me demandé les gens de cette maison, qui est le ou la secrétaire de qui ici ? Lorsqu'ils sortent de ma maison ils me disent où ils se rendent peut être ? Toi même qui vient me posé la question, quand tu sors tu me dis où tu vas ?

Moi (rire): pardon oh je n'ai fais que posé la question.

Maman (me toisant ): il faut bien posé Thrrrrrrr ! Au lieu de pensé à trouver les bons maris, vous les filles d'ici c'est sortir tous les jours et faire la fête pendant une semaine, à boire le vin on dirait des trous ! J'ai déjà dis à trente ans vous sortez de chez moi. Ici ce n'est pas l'association des vielles filles pour venir me remplir la maison !

Moi (rire): tu a tes règles ou quoi madame ?

Maman : thrrrrrrr imbécile heureuse !

Moi (toussant): donc c'est maintenant à nous de chercher les hommes ? Avec toute la beauté là ? Belle on dirait le soleil de 18h ?

Maman : yooooouuuuh Âbé minenga ! (vilaine femme) de votre état !

Moi (me levant en riant): en tous cas on se ressemblent trop mon cœur. tu ne vois pas les lèvres là ?

Maman (me lançant sa babouche): regarde moi ses énormes fesses !

Rire.

C'est mon antidépresseur à moi cette femme ! Tout d'un coup ma mauvaise humeur a disparue.

Je fais le tour de la maison pour me rendre dans mon petit studio qui se trouve à l'arrière.

Laissez moi juste le temps d'ouvrir ma porte, d'entrée dans la maison, de retiré mes talons depuis le salon, d'aller les rangés dans la chambre, de posé mon sac à main, de me déshabiller et d'attaché mon pagne autour de la taille ensuite je vous ferai un bilan complet de ma personne.

Voilà tout est fait ! Je mets la climatisation en marche avant de me jette sur mon lit les yeux rivés sur le plafond.

Je me nomme NZOGHE EBONG maïsha Camille, j'ai vingt-sept ans d'âge, de nationalité gabonaise et d'ethnies fang de père et de mère . Plutôt Pas très grande de taille, pleine de corpulence et de peau marron, Je travaille dans une agence immobilière de lux en tant qu'agent commercial de prestige.

Pas marié mais en couple avec yorick OGOULA depuis deux ans, pas d'enfants mais j'ai mon petit frère de vingt ans à ma charge depuis bien longtemps alors je le considère comme étant mon enfant.

C'est mon petit bébé [ sourire].

Je m'occupe de jores comme si j'étais sa mère (c'est même le cas). L'école, le taxi, la nourriture, les vêtements, les chaussures, l'argent de poche et tout ce dont un parent fait à son enfant c'est moi maïsha qui le fait pour lui. Papa nous aide et beaucoup même avec ses moyens, mais la plus grande charge reviens à maïsha parce-que à part nous jores n'a personne pour l'aider.

Sa mère ne s'intéresse pas à lui et ça c'est son problème à elle, d'ailleurs personnes ne pensent à lui demander son argent. Je dis sa mère parce-qu'il y'a bien longtemps que je ne considère plus cette femme comme étant ma mère, même son nom je ne cite plus. ça c'est une autre histoire.

Nos parents se sont séparés j'avais encore dix ans, c'était à cause des nombreuses copines de mon père. J'étais encore une enfant mais j'écoutais lorsqu'ils se disputaient souvent dans leur chambre les soirs.

Cette femme qu'on appelle maman plus haut c'est ma grand-mère maternelle, c'est avec elle que nous habitons depuis des années aujourd'hui. Un matin j'avais pris mon petit frère de cinq ans, quelques vêtements et deux chaussures rangé dans un petit sac, nos affaires de l'école et nous étions venu chez notre grand-mère et depuis ce jour nous ne sommes plus jamais partis de là.

Ici c'est le terrain familiale ,mes grands parents ont construit au moins huit maisons en dehors de leur grande maison qui comporte six chambres.

Chez nous C'est le rassemblement des petits enfants nous sommes au moins dix [rire] Étant la plus grande des filles, maman m'a donné un studio à l'extérieur et jores se gére avec une chambre dans la grande maison.

[Sonnerie de téléphone]

Vous voyez ? C'est maintenant monsieur se présente au mayena et moi je devais rester là-bas comme je suis sa moin cher thrrrrrrr.

[Sonnerie de téléphone]

[Sonnerie de téléphone]

[Sonnerie de téléphone]

Ce n'est qu'à son huitièmes appels que j'ai décroché.

Moi (téléphone posé sur le lit): ...

Yorick (voix grave): maïsha tu es où ?

Moi (calme): chez moi.

Yorick (gueulant): tu es chez toi pendant que moi je t'attends !

Moi : clic.

En plus il veut mentir.

[Ping sms]

Pas la peine de regarder, je sais de qui il s'agit.

[Sonnerie de téléphone]

précisément à ce moment, je décide de sortir de mon lit et de me rendre dans la salle de bain prendre une douche complète ! Soins de visage, gommage, masque, shampooing épilation tout le nécessaire. Je lave mes sous-vêtements les installe sur mon petit séchoir à sous-vêtements, récupére ma serviette derrière la porte, l'attache autour de la taille, porte mes tongs et je sors.

[Ping sms]

Ana : mane c'est comment yorick est assis devant la porte ?

Qui va aller l'ouvrir la porte ? Moi ?

À comportement de mouton réaction de berger. Yorick se prend un peu trop ces derniers temps, ou c'est parce-que je ne fais plus de tapage qu'il pense me berner, je remarque bien ses agissements. Il va attendre et si il n'est pas content qu'il parte chez lui.

Je sors une petite robe jaune l'enfile sans rien en dessous, pardon je suis à la maison il fait chaud. Je tire mes cheveux en chignon haut, met du déodorant récupére mon portable sur le lit et je sors de la chambre l'ouvrir la porte.

Je trouve un Yorick bien gonfler assis sur les marches d'escaliers, je laisse la porte ouverte en allant m'asseoir devant la télévision.

...

Il n'entre pas depuis là, alors je vais refermer ma porte. ce n'est pas à cause d'un fou que les moustiques vont me bouffer ce soir.

Yorick (rouge): je veux qu'on arrête.

Moi (n'ayant pas suivie): euh tu disais ?

Yorick (me fixant): je veux mette un terme à cette relation.

Moi (calme): ah ok .

Je n'aime pas trop débattre pour les futilités . Il veut arrêter ? Okay c'est tranquille.

Yorick (n'en revenant pas): tu dis quoi là maïsha ? Ok ? C'est un simple ok que tu me balance ?

Ah ah ? J'ai raté quelle partie de l'histoire ?

Moi (le regardant): oh.

Yorick (énervé): je viens te dire c'est terminé entre nous et toi tu me sors un ok ? Un ok !

Moi (le fixant): mon frère tu as dis c'est terminé entre nous deux , maintenant de faire quoi ? De pleuré ? De m'allonger ? De crié ? De m'évanouir ? Ou de te supplier ? À cause de pourquoi ?

Yorick (gueulant): et comme ça tu penses trouver un homme dans ta vie ? Qu'on viendra t'épouser ? Avec ton comportement de cochon ? Tu penses qu'un autre homme peu encore te supporter comme moi je l'ai fais maïsha ? Ils vont te suivre à cause de ta beauté et en suite ils finiront par te laisser seule comme tous les autres !

Moi (amusée) : ah çaaaaa !

Yorick (gueulant): quel homme voudrait épousé une femme sauvage comme toi ?

Moi (zen) : et merci pour le soutien lorsque j'en avais besoin . Les conseils, l'argent, les gémissements, les positions pornographiques, les couinements,les orgasmes, les cunnilingus à haut niveau et surtout les nuits blanches passer à hurler de plaisir.

Yorick (pétant un câble): oui prend moi bien pour un con maïsha ! La sauvagerie c'est pour toi ! L'orgueil c'est pour toi! Le mépris c'est pour toi ! La froideur ! L'arrogance ! La fierté ! La bipolarité ! La suffisance ! La jalousie ! La possessivité ! La colère ! La nervosité ! L'agressivité ! La violence ! L'autorité ! Tout ça c'est pour toi maïsha ! Tu veux que je continue ? [Hurlant] Les gens doivent toujours se plier devant toi que tu es qui Ebong ?

Moi : ok.

Yorick (gonfler): ou parce-que je cours derrière tes fesses tu penses être la plus belle de Libreville ? Que tu es indispensable dans ma vie ?

Moi (bondissant du fauteuil en lui lançant ma babouche): et toi tu penses être qui pour venir crié CHEZ moi OGOULA ! Tu te prends pour qui et pour combien pour te permettre de venir élevé la voix ici ? C'est toi qui paye ce studio ? L'électricité ? l'eau ? Ou encore les produits ménagers ? Han ?

Yorick : ...

Moi (furieuse): c'est aujourd'hui ? C'est aujourd'hui tu sais que maïsha est sauvage ? bipolaire ? orgeuilleuse ? Fière ? Suffisante ? Jalouse ? Nerveuse ? Colérique ? Violente et tout le reste ? C'est aujourd'hui tu sais ça ? En deux ans de relation tu veux me dire que tu ne savais pas tout ça de moi ?

Yorick : ...

Moi (lui lançant ma deuxième babouche): répond moi yorick ! Lorsqu'il fallait me secouer dans tous les sens comme un cocotier dans ta maison je n'étais pas sauvage n'est-ce pas? Me prendre dans toutes les positions, dans toutes les pièces et sur tous les meubles de ta maison chaque jour moi je n'étais pas sauvage n'est-ce pas ? Ou Lorsqu'il s'agissait de crié comme un gros chien entre mes cuisses là EBONG n'était pas sauvage !

Yorick (le regard noir): tu me compares à ton chien ?

Moi (hors de moi): oui c'est toi yorick ! aujourd'hui c'est à base de " je me prends pour qui ?" mais je me prends pour NZOGHE EBONG maïsha Camille mon frère !

Tu me traites de tous les noms aujourd'hui tout simplement parce-que je ne cour pas derrière toi ? Je vais d'abord commencer par courir derrière toi pour chercher quoi ? [Tapant dans mes mains]

Yorick (les mains aux hanches): ...

Moi (hurlant): il faut me répondre OGOULA ! Tu veux partir mais dégage ! Qui t'a retenu depuis tout ce temps ? Qui t'a demandé de rester à mes côtés ? Je vais te supplier parce que j'ai tué qui ? À cause de ton pipi ? [attrapant violemment son sexe ] à cause de ça seleument ? [Le poussant la tête ]

Yorick (rouge): maïsha ne refait plus jamais ça !

J'ai refais la même chose en le regardant droit dans les yeux.

Yorick me saisi directement par le cou et me plaque au mur en me cognant la tête.

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Mis à jour : Chapitre 16 16   08-29 14:20
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1 Chapitre 1 00
27/08/2023
2 Chapitre 2 01
27/08/2023
3 Chapitre 3 03
27/08/2023
4 Chapitre 4 04
27/08/2023
5 Chapitre 5 05
27/08/2023
6 Chapitre 6 06
27/08/2023
7 Chapitre 7 07
27/08/2023
8 Chapitre 8 08
27/08/2023
9 Chapitre 9 09
27/08/2023
10 Chapitre 10 10
27/08/2023
11 Chapitre 11 11
27/08/2023
12 Chapitre 12 12
27/08/2023
13 Chapitre 13 13
27/08/2023
14 Chapitre 14 14
27/08/2023
15 Chapitre 15 15
27/08/2023
16 Chapitre 16 16
27/08/2023
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