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Elle était prête à tout pour trouver l'amour de sa vie. Mais la vie a fait qu'elle n'a jamais pu vivre la vie qu'elle rêvait. Il était prêt à tout pour trouver son âme sœur. Mais que faire quand cette dernière se retrouve face à lui ?
Elle était prête à tout pour trouver l'amour de sa vie. Mais la vie a fait qu'elle n'a jamais pu vivre la vie qu'elle rêvait. Il était prêt à tout pour trouver son âme sœur. Mais que faire quand cette dernière se retrouve face à lui ?
Chapitre 1: Rehyma NTSAME MINKO
Il est à peine dix-huit heures et demie et je sors de mon école avec le sourire jusqu'aux oreilles. Pourquoi ce sourire? J'ai validé tous mes examens et je suis donc titulaire de mon Bachelor en Sciences de Gestion. J'ai eu une excellente moyenne et suis de surcroît la major de ma promotion. Je suis juste heureuse et dis juste: "Merci Seigneur". Oui "Merci Seigneur" car sans lui je n'y serai jamais arrivée. Je discute avec des gens de ma classe encore un peu avant qu'on ne se décide à se séparer. Ils veulent aller fêter ça ce soir en boîte mais moi je n'aime pas trop ce genre d'environnement là. Je leur souhaite une bonne soirée avant d'héler un taxi et de m'y engouffrer. J'habite à Nzeng-Ayong et vu l'heure à laquelle je rentre, je sais que je vais encore dormir dans les embouteillages. Libreville et ses routes c'est vraiment une histoire d'amour (façon de parler bien sûr). Monica, la fille de ma tante chez qui je vis, m'envoie un texto pour me demander de lui acheter du crédit. La petite là me prend trop pour sa banque hein, elle oublie souvent que je pris le sein avant elle. Tchip les enfants d'aujourd'hui là... non !
Keita, le gardien, m'ouvre le portail et j'entre dans la concession. C'est bizarre on dirait qu'il n'y a personne car la maison est plongée dans le noir. Il faut que je songe d'abord à prendre une douche car je suis fatiguée vraiment. Je mets ma clé dans la serrure de la porte principale et ouvre la porte. Je m'avance à l'intérieur et actionne l'interrupteur du grand hall d'entrée. Je longe le couloir et me rend à la sale de séjour. J'actionne l'interrupteur de cette pièce et là je suis en choc. Tous ceux qui comptent pour moi sont là. Je suis émue. Je ne m'attendais pas à ça. Tante Grâce se rapproche de moi et me serre dans ses bras.
Tata Grâce: "Félicitations mon bébé. Je suis très fière de toi et tu mérites cette victoire"
Moi: "Merci tata"
Tata Grâce: "Allez va déposer toutes tes affaires et redescends. Mais tu salues tous ceux qui ont fait le déplacement rien que pour toi"
Moi: "Bien sûr. Mais tu n'avais pas besoin de faire tout ça tata. C'est trop"
Tata Grâce: "Tu le mérites ma chérie. Le champagne n'attend plus que toi"
Je suis montée dans ma chambre déposer mon sac et me rafraîchir un peu avant de rejoindre les autres et de célébrer ma victoire. Je remercie tous ceux qui ont fait le déplacement rien que pour moi. Ca m'a fait vraiment plaisir.
Ce soir là, je suis montée me coucher assez tôt. J'avais besoin de me retrouver un peu seule en fait et de réfléchir. Je me suis allongée sur le lit et c'est à ce moment que je me suis demandée s'il pensait un peu à moi. Je me suis demandée s'il était déjà au courant. Si oui, qu'avait il ressenti? Et si non, fallait-il lui envoyer un sms ou carrément l'appeler ? Puis la complexité de nos relations m'a fait réalisé qu'il était inutile d'accorder autant d'importance à une personne qui a toujours fait partie des abonnés absents dans ma vie.
Je me suis encore demandée si je méritais ce qui était entrain de m'arriver. Je me suis demandée ce qu'ai j'ai bien pu faire pour que ma vie soit ainsi. Je me suis demandée pourquoi je me sentais si seule dans ce monde. Je me suis ensuite souvenue qu'on ne peut pas tout avoir et MA vie me le témoignait si bien.
Ceux qui m'entourent n'ont pas conscience du mal être qui anime mon âme. quand j'écris " Ceux" je parle des êtres les plus proches de ma vie : Tante Grâce et sa fille Monica. Je dis vraiment "Merci au Seigneur" d'avoir mis sur ma route cette femme de grâce qui a toujours pris soin de moi comme si j'étais son enfant, et qui n'a jamais fait de différences entre sa fille et moi. Cependant mon trouble identitaire est toujours là et il est causé par celui qui était censé être engagé dans ma vie comme personne : Mon père !
Nous vivons dans la même ville et Il m'arrive souvent de le croiser dans sa luxueuse voiture tandis que je suis dans celle de ma tante. En fait, il est mon père sans vraiment l'être. Pourquoi? Parce qu'il a sciemment décidé de ne pas assumer ce rôle. En effet la dernière fois que nous nous sommes parlés remonte à plus de 10 ans il me semble. L'histoire entre lui et moi est plus que compliquée et houleuse. En résumé, il me considère comme "la plus grande erreur de sa vie". Cette phrase, je l'ai entendu le dire à ma tante le jour de mon anniversaire, il y a quelques années de cela.
J'avais huit ans à l'époque, Mais je me souviens de tout comme si c'était hier. En effet, à cette époque, je n'arrêtais pas de réclamer mon papa comme tous les autres enfants de mon école et de mon âge. A chaque fois que la sonnerie retentissait pour marquer la fin des cours, je pleurais. Pourquoi ? Bien que ma tante venait me chercher à l'école, elle n'était tout simplement pas ma mère ni mon père. Tous les autres étaient récupérés par leurs vrais parents mais moi je n'avais que ma tante. Je ne comprenais pas pourquoi je ne voyais jamais mon père que j'idéalisais presque alors qu'il était dans la même ville que moi, à peine à quelques mètres.
J'en ai énormément souffert. Je me souviens que je pleurais toujours en cachette, à l'insu de tout le monde. Une nuit, ma tante m'a surprise et m'a exhortée à me confier à elle. Mon anniversaire approchait et elle m'a demandé ce qui me ferait plaisir. Je n'ai pas répondu une poupée ou un jeu comme les autres enfants de mon âge l'auraient fait, j'ai juste demandé à voir mon père et à passer du temps avec lui.
Mère Teresa a dit un jour : " Le sentiment de ne pas être aimé est la plus grande des pauvretés ". Je dirai juste que ne pas se sentir aimé(e) par son père est la plus grande des pauvretés. Il faudrait vraiment être sans coeur pour dire à son enfant qu'il a gâché notre existence ainsi que celle de sa femme. Il faut vraiment être cruel pour dire à son enfant qu'il (elle) est une erreur de la nature.
J'avais huit ans bordel de merde!!!!!
Il ne s'est pas gêné pour me le dire cash le jour de mon anniversaire. J'en ai tellement pleuré ce jour-là et après aussi que j'ai pris la résolution de vivre comme si j'étais orpheline. C'est seulement parce que Tante Grâce me couvait vraiment que je me sentais aimée et importante dans ce monde.
Quant à Ma mère. Ma maman. Mon héroïne. Celle qui a tout fait pour moi. A chaque fois que je pense à elle, j'ai des larmes qui me remplissent les yeux. Je n'ai pas beaucoup de souvenirs d'elle vu que je n'étais encore qu'une enfant d'à peine trois ans quand elle a quitté ce monde. Mais je crois que le plus dur pour l'enfant que j'étais, fut de perdre ma mère ET mon père car après la disparition de sa femme, il n'avait pas hésité à m'abandonner tout simplement. Malheureusement je ne savais pas que son comportement cachait un lourd secret. Pour le connaître, il faut remonter aux origines, donc quelques années avant ma naissance.
Un proverbe malien dit: "On n'est pas orphelin d'avoir perdu père et mère, mais d'avoir perdu espoir". Cette citation a tout son sens. Il est vrai que je suis orpheline de mère parce qu'elle est vraiment partie, de père parce que mon père est juste un parfait inconnu à mes yeux mais je ne me suis pas pour autant laisser abattre. L'espoir ne m'a jamais quitté. L'espoir de réussir ma vie. L'espoir de me sentir aimée. L'espoir d'être une enfant comme les autres. La preuve : MON BACHELOR !!!!
Aujourd'hui, je suis une guerrière, une battante et ne laisserai personne me dire que je suis une erreur de la nature comme le pense si bien mon géniteur. Oui mon géniteur car au fond c'est tout ce qu'il est et la seule place que je peux lui accorder. Au fait, je suis Alliah Réhyma NTSAME MINKO, fruit de l'amour de Jeanne et Georges MINKO.
Kaynaliah fera face au bonheur à un moment le plus innatendu de sa vie, se retrouvera à battre pour ne pas perdre ce bonheur et tout pour être heureuse.
Que feriez vous quand les médecins vous annonce que vous souffrez d'une maladie incurable et qu'il ne vous reste qu'une courte de vie sur terre. Fraîchement mariée, l'annonceriez vous a votre conjointe ?
Brina et Mathis, deux frères jumeaux qui ont été éloignés de leurs pays pour échapper à la méchanceté de leur famille sont de retour pour récupérer une partie de leur héritage volée par leur famille paternelle. La justice, l'amour, le pardon et la vengeance rythmeront cette histoire.
Elle est arrogante, Il est arrogant. Elle est femme PDG Il est chef d'entreprise. Elle cache un lourd secret, Il veut découvrir ce secret, Leur destin est lié,
aurora Dupont porte un enfant dont le père est un mystère . Alors qu'elle était enceinte, elle a épousé un homme avec qui elle était fiancée depuis l'enfance, pensant que ce mariage arrangé serait avantageux pour les deux parties. Cependant, elle ne s'attendait pas à ce que cette union les rapproche. Au moment de l'accouchement, Julien Beaumont lui propose un divorce, la ramenant brusquement à la réalité. Néanmoins, plusieurs années plus tard, il la retrouve et lui dit : "Chérie, reviens auprès de moi, ne me quitte pas, la femme que j'aime, c'est toujours toi."
Lucia Balstone pensait avoir choisi le bon homme avec qui passer le reste de sa vie, mais c'est lui qui a mis fin à ses jours. Leur mariage de dix ans a semblé être une blague lorsque son mari l'a poignardée avec un poignard. Heureusement, Dieu n'est jamais aveugle aux larmes des gens. Lucie a eu une seconde chance. Elle renaît à l'âge de 22 ans, avant que toutes les choses terribles ne se produisent. Cette fois, elle était déterminée à se venger et à laisser payer ceux qui lui faisaient du mal ! Elle a fait une liste détaillée de ses objectifs, et la première chose sur sa liste était d'épouser l'ennemi de son ex-mari, Alonso Callen !
À la vie, je devais épouser un homme mourant pour sauver l'honneur de ma famille ruinée et la santé fragile de ma mère. Pourtant, mon cœur battait secrètement pour Julien, mon chauffeur, un homme aussi froid que distant. Mais mon monde s'est effondré quand j'ai découvert son secret : Julien n'était pas un simple chauffeur, mais le duc de Rochefort, un homme de pouvoir, qui n'était là que pour ma demi-sœur, Charlotte, qu'il vénérait aveuglément, me considérant comme un vulgaire obstacle. Sous mes yeux, il lui a offert une dévotion sans bornes, allant jusqu'à m'humilier publiquement à l'Opéra, me laissant seule face à un lustre qui s'effondrait pour la protéger. Son regard de haine après que Charlotte se soit jetée sur la cravache que je lui avais tendue, son tatouage gravé d'un 'C', tout criait son obsession pour elle et mon insignifiance. Le coup de grâce ? Charlotte, ma demi-sœur "innocente", m'a murmuré qu'elle avait orchestré l'accident qui avait brisé la santé de ma mère. Comment l'homme que j'aimais avait-il pu être si aveugle ? Si cruel ? Pourquoi m'avait-il infligé tant de souffrance pour un monstre ? Qui était le véritable bourreau et qui la victime innocente dans ce jeu tordu ? Brisée, mais le cœur transformé en pierre, j'ai décidé de fuir ce passé toxique et de me reconstruire à Lyon, loin de Paris, loin de lui. Mais alors que j'étais sur le point de sceller mon nouveau destin avec un homme bon, l'ombre du "duc fou" a ressurgi, menaçant de tout détruire.
L' accord que Marc avait signé avec Chloé, son amour de jeunesse, était une torture pour Adèle. Si Marc la délaissait neuf fois, elle devrait lui céder sa place. La neuvième fois est arrivée sous une pluie battante, alors qu' elle souffrait horriblement et qu' il l' a abandonnée sur l' autoroute pour rejoindre Chloé. Le cœur brisé, elle a marché des heures, trempée, humiliée, pour trouver Chloé triomphante dans leur appartement, se moquant d' elle. Elle a compris que Marc ne l' avait jamais aimée, qu' elle n' était qu' un pis-aller, et que leur mariage avait été une machination orchestrée par sa prétendue amie. Accablée mais sereine, elle a signé les papiers du divorce, que Marc, aveuglé par Chloé, a signé sans même les lire. Les jours suivants, Marc a tenté de la racheter par des cadeaux impersonnels, ignorant son absence. Elle a découvert ses porte-bonheurs remplacés par des babioles de Chloé dans sa propre voiture, un mensonge de plus dans une litanie de trahisons. Lors d' une réunion d' anciens élèves, Chloé a révélé que son mariage n' était qu' un « arrangement de convenance », la qualifiant de « distraction » pour Marc, son « amour éternel ». Adèle s' est sentie piégée, un simple rôle dans une pièce écrite par Chloé. Puis le piège s' est refermé : pour la sauver des flammes d' un accident, Marc s' est jeté sur Chloé, la serrant dans ses bras, la laissant gisant dans son propre sang. L' indifférence de Marc à son chevet à l' hôpital, son empressement à rejoindre Chloé, et les photos qu' elle lui envoyait, étaient des poignards à répétition. Le jour de sa sortie, elle a clairement dit au médecin : « Ce n' est plus mon mari. Nous avons divorcé. » Marc est sorti avec des fleurs, l' air perdu, ne comprenant pas sa nouvelle froideur. Elle a vidé l' appartement de ses affaires, jetant rageusement tout ce qui lui rappelait cette union toxique. Son téléphone a sonné : Marc, accidenté, mais il s' agissait d' une course absurde contre l' ex de Chloé. Marc a délibérément percuté la voiture de son rival, pour prouver son « amour » à Chloé. De loin, elle a regardé cette farce grotesque, son dégoût grandissant pour ces deux pantins pathétiques. Marc est rentré d' un « voyage d' affaires » forcé par Chloé. Ce soir-là, enfin, Marc a ouvert la boîte cadeau qu' Adèle lui avait laissée, et a trouvé les papiers du divorce. Le visage vide, il a compris que c' était fini. Alors que Marc et Chloé juraient leur amour éternel, Paul Lambert, l' homme qui l' aimait secrètement, a surgi dans sa vie. Il l' a secourue des manipulations de Chloé, l' a soutenue face aux accusations, et a protégé son honneur. Marc, ruiné par sa chute, a supplié Adèle de revenir, mais elle l' a repoussé avec dégoût, « Tu es un homme pourri. » Libérée, Adèle a choisi Paul, son refuge, et son amour, prouvant que le destin réserve parfois des secondes chances. Un nouveau chapitre s' ouvrait, loin du passé toxique.
J'étais enceinte de quatre mois, une photographe enthousiaste quant à notre avenir, participant à un brunch de bébé sophistiqué. Puis je l'ai vu, mon mari Michael, avec une autre femme, et un nouveau-né présenté comme son fils. Mon monde s'est effondré tandis qu'un torrent de trahison me submergeait, magnifié par l'affirmation méprisante de Michael, qui prétendait que j'étais simplement trop émotive. Sa maîtresse, Serena, m'a narguée, révélant que Michael avait discuté de mes complications de grossesse avec elle, puis m'a giflée, provoquant une crampe terrifiante. Michael a pris son parti, me couvrant de honte publiquement, exigeant que je quitte leur fête, alors qu'un blog mondain les présentait déjà comme une famille de carte postale. Il s'attendait à ce que je revienne, que j'accepte sa double vie, disant à ses amis que j'étais dramatique mais que je finirais toujours par revenir. L'audace, la cruauté calculée de sa tromperie et la malveillance glaçante de Serena ont nourri en moi une rage froide et dure que je peinais à reconnaître. Comment avais-je pu être si aveugle, si confiante envers l'homme qui m'avait manipulée pendant des mois tout en construisant une seconde famille ? Mais sur la moquette moelleuse de ce cabinet d'avocat, alors qu'il me tournait le dos, une nouvelle résolution, inébranlable, s'est solidifiée. Ils pensaient que j'étais brisée, jetable, facilement manipulable – une épouse raisonnable qui accepterait une séparation de façade. Ils n'avaient aucune idée que mon acceptation calme n'était pas une reddition ; c'était une stratégie, une promesse silencieuse de démanteler tout ce qui lui était cher. Je ne me laisserais pas faire ; je ne comprendrais pas ; je mettrais fin à tout cela, et je m'assurerais que leur mascarade de famille parfaite s'effondre en poussière.
Douze ans. C' est le temps que j' ai passé à me sacrifier pour Julien, mon ami d' enfance et patron. J' ai renoncé à HEC Paris pour bâtir sa startup TechNova, travaillant nuit et jour, pour un salaire misérable, nourrie de vagues promesses d'avenir. Mon rêve était de l'épouser. Mais le jour de mes trente ans, le jour même où il disait m'épouser, j'ai vu Julien annoncer à la télévision nationale ses somptueuses noces… avec une autre femme. Chloé. La bague Cartier, l' appartement Place des Vosges, tout était pour elle. Puis j' ai surpris la conversation : il me traitait de « larbin gratuit », de « lèche-bottes », de « facile à manipuler ». Douze ans de dévouement réduits à cette violence verbale et à cette trahison publique. Mes amis me félicitaient, pensant que j' étais la future mariée, ce qui ajoutait à l' humiliation. Comment avais-je pu être si aveugle, si naïve devant tant de mépris ? La rage froide a balayé ma douleur. Plus de larmes. Plus jamais. Une décision claire s' est imposée : je n' étais plus sa victime. Elle allait partir. Elle allait épouser Alexandre, l' homme qui la voyait, le jour même du mariage de Julien. Elle allait enfin vivre pour elle.
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