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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 2272    |    Mis à jour : 30/11/2022

en faisant de grands gestes, ce q

pas devant le flic là, vous êtes mon

sont totalement innocents. Ils agissent ainsi car ils se méfient des avocats et de leur proximité avec les juges, et surtout ils pensent

être commis un acte qui vous fait honte, il y a des souvenirs atroces que l’on décide inc

fumé des pétards et je me suis écroulé en arr

nt, la puissance de l’inconscient, cela lui paraît autrement plus noble comme

nir votre position c

yez pas ! Vous êtes là pour m’aide

ruction, eux vont vous croire. Pour ne pas paraître de mauvaise foi, je vous conseille de ne pas répéter sans arrêt qu

chez elle, quand on s’est séparés il y

n aviez

aschich, d’ailleurs j’avais dit à Véro de ne pas pre

, elles sont sacrées. Et puis vous n’êtes pas le mieux placé pour administrer des leçons de santé publique. Après la

z Maître, au po

importante, vous aviez

pas les femmes, juste les ho

ertain, tout

irais à mon avocate ? L’in

ont écoulées, Maître,

e reviendra le lendemain pour le renouvellement des 24 heures de garde à

sommes intoxiqués à la nicotine. Ce sont des l

ntérieur, il reste trois cigarettes, et hoche la tête

f pardon demain vous pour

ai d’y pens

toire dit de grande identité, état civil, cercle de fami

t suite à une erreur de dosage. José pleura d’abord, avant l’enterrement, moins pendant, puis plus du tout. La survie fit place au chagrin. Il n’avait pas fait d’études, quitté l’école à 15 ans, appris à se débrouiller seul. Depuis ses 16 ans, il enchaîne les petits boulots précaires et mal payés, les trafics minables. Il n’a ni frère ni sœur, sa seule famille se

e de retracer l’historique de ses r

séparation, la décision de se revoir une dernière fois, son départ mercredi de Lyon, la bouteille de tequila bue dans le train,

M. Serror, c’étai

’un ami, je ne savais pas t

outer les conseils

x, M. Serror, on peut connaî

l ait des ennuis répon

nir de ce qui s’est passé après que vous vous soyez

ien c’est

pouvez exclure que ce soit vous

vais fait, je m’en so

tion, après vous être affalé dans c

n, grommelle José

qu’une femme se fait battre au 4eétage de la rue Boyer Barret, et que l’équipage du commissariat du 14earrondiss

op bu et fum

vait rentrer chez Mlle Beauséjour, il fallait connaître le

as, je ne me s

écoltés par la police scientifique et les résultats de l’enquête de voisinage. Mais je vous aurai prévenu, si vous continuez comm

st la véri

et après je te remets dans ton box, il paraît que la nuit p

réciser la marque, le buraliste connaît ses habitudes. Puis, elle allume sa blonde light et monte dans sa vieille R5 bleue. Sa voiture à la propreté douteuse sent la ménagerie enfumée. Sur la route en re

parents de Jean-Luc, à Vaucresson. De toute façon, elle n’aime pas trop aller là-bas, la mère de Jean-Luc interdit que l’on fume chez elle et a fait semblant d’accepter Malika, pour ne pas se fâcher avec son fils unique chéri, tout en regrettant qu’il se soit entiché de cette Magrébine, certes jolie, mais dotée d’un caractère épouvantable et qui sort directement de sa cité. En levant les yeux au ciel, d’un air pincé, qui ne la quitte que rarement, la mère de Jean-Luc confesse à ses amies

et poitrines pulpées en avant, plaident avec leur pochette Louis Vuitton en bandoulière. Jean-Luc veut à tout prix se démarquer de son père. Un homme a trois options, faire comme papa, l’inverse de papa ou mieux que papa. Jean-Luc qui a de grandes ambitions est décidé, à faire les trois à la fois, lui aussi sera Bâtonnier, mais un Bâtonnier de gauche qui va faire bouger les lignes, comme il

ée, elle compose le code, le hall de l’immeuble, fait de verre et de marbre,

obois avec fauteuils assortis. Jean-Luc n’est pas que le fils de son papa qui lui a offert le vingt-quatre rue de Vaugirard, maman

nt quitté son uniforme de travail, chemise blanche et pantalon de costume chic. Sa veste Hugo Boss est posée sur un fauteuil et ses Westons, impe

l’affaire dont tout le monde parle, le type qui a tué la fille de l’ancien Secréta

je suis redescendu acheter un truc chez Lenôtre, je bosse comme un malade, on a à peine le temps de se croiser. De toute façon ma

. Mais tu sais j’aurais préféré être au hammam avec les copines, j’ai bossé toute la

te de poulet, tu ve

ur assister un type qui a tué sa femme et mon chéri, le soir,

’estime dans son droit, c’est-à-dire tout le temps, ne recule jamais, il fi

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