onte de la fam

10 juille

contré voici un an, au début elle le trouvait un peu macho, un peu bourge, mais elle s’est persuadée qu’il pouvait évoluer, comme

comprendre qu’elle mènerait son existence comme elle l’entendait. La religion, les tabous, les traditions… tout cela ne fait pa

et surtout tendre. Après il a revêtu un tablier pour apporter un somptueux petit déjeuner et l’a fait rire en commentant les nouvelles du Parisien, qu’il est allé acheter, avec des petits pains bios délicieux. On parle de son affaire. Elle lui dit qu’elle va s’

le lui fait remarquer, d’abord, que, elle, contrairement à lui, ne confond pas les toilettes avec un salon de lecture, mais surtout, que seules, celles qui ont été contraintes de partager une unique salle de bain avec huit personnes, dans leur enfance, peuvent vraiment profiter du bonheur de se

ises ne sent pas comme d’habitu

oublié mais je t’ai rapporté de mon voyage à Dubaï, ton

e, je su

use donc jal

a te dirait un restau ou un ciné, no

mme au foyer, j’ai trop de chance

le quatorzième rue Ernest Cresson, qu’elle partage avec trois consœurs, lui vers un luxueux deu

s en lampe, sur les murs parmi les photos encadrées, l’une accroche le regard, c’est la Une de libération saluant l’abolition de la peine de mort. Sur une étagère, trônent, entre autres une rose des sables, une tasse en porcelaine chinoise, une poupée en terre cuite colombienne… cadeaux de clients reconnaissants. Malika travaille sur une jolie table acajou, offerte par Jean-Luc. Ses trois amies ne sont pas présentes ce matin.

re le quai des Orfèvres. Le ciel bleu lui renvoie en écho sa joie de vivre. Elle montre sa carte profession

ie sur la cause de la mort et l’heure du crime ? Soyez sympa, allez un petit coup de main à u

-il, ça le change des petites prétentieuses qui font

nullement, de lui faire une fleur en lui don

ors soyez sympa, pour le faire attendez d’être avec

eux cafés, en tend un à Malika. Ils son

as à un ou des coups reçus, mais à une mauvaise chute sur l’angle de la table

e nouvelle, il y a la mauvaise. L’heure du décès de la victime a été fixée par le labo entre vingt et

donc il prétend ne pas se souvenir. Mais plus vite il passera aux aveux mieux ce sera pour tout le monde, nous, on pourra

thique. Mais surtout, il y a le match de classement pour la troisième

ité. Le policier va chercher José, le sort de sa cage et les conduit dans la pièce réservée aux entretiens. José n’a pas fière allure, il n’a pas pu se laver, sa chemise ressemble à une serpillière et son jean tout tirebouchon

e une à José et lui allume. La pièce est toute

ro à l’inspecteur qui vous laissera fumer après l’i

s de rien après mo

çu qu’un coup, un seul, et c’est sa chute qui a entraîné sa mort c’est une sorte d’acci

s me consei

iolences faites aux femmes ce n’est pas très

me souviens de rien !

e affaire de violence envers une femme, une jeune avocate est souvent le meilleur choix. José la regarde, il a confiance et lui assure qu’il va la désigner devant le juge, entre eux le courant est passé. El

l’inspecteur qui le conduit dans

e déterminer que le décès de la victime s’est produit entre vingt et une heures

ous aurait pu com

s pas, bred

ous qui avait les cl

pas, la femme de

s l’a

bien sûr

riellement personne d’autre n’a pu s’i

n, je ne sais pas. Tout ce que je peux di

ssé vous aviez déjà f

amais.

tes certain

e jurer si

is te dire un truc tu as eu tort de me prendre pour un con et de jurer que jamais tu ne l’avais touché auparav