re la lumière du lustre à franges, typique des années mille neuf cent quatre-vingt-dix, dont le blanc originel était devenu beige. Elle s’allongea dans son lit et ne tarda p

personnes présentes, inconnues et, elles aussi, attachées. Rapidement le fou voulut administrer à chacun un poison. Il lévitait dans la pièce tout en tenant une seringu

rqua de manière évidente dans leurs éclats. La curiosité autant que la peur la firent bondir de son lit et se précipiter dans le couloir. À droite, la porte grande ouverte de la chambre de son frère ne laissa aucun doute sur la nature de ce qui s’y passait. Jenny courut jusqu’au seuil et eut le souffle coupé par la violence de la scène qu’elle découvrit. Martin était pétrifié dans un coin, tandis que Guillaume était penché sur le corps d’Olivier, agité de soubresau

là-bas J

e invisible qui le manipulait à sa guise. Personne n’avait plus le moindre contrôle sur ses réactions : ni Olivier qui n’était plus conscient de rien ni Guillaume qui n’arrivait pas à calmer cette crise. Dans un geste désespéré, il s’allongea sur son frère. Fut-ce ce geste ou le t

ille, il se

jeté en l’air comme une simple poupée de chiffon. Les quatre enfants re

à ? Je croyais que ça devait plus arriver ? Et

regardes comme si j’avais

corps qui était de travers ! Rigole

, contrastant avec la moue grimaçante de Guillaume, l’air pétrifié que conservait Martin et les

me mettez une petite cuillère dans la bouche, vous allez regarder un

si c’était la violence de la scène ou la légèreté de son frère qui la choquait le plus. Elle n’eut pas le temps d’en déci

s tu es déjà assez jolie. Alors, sèche tes larmes :

fois qu’elle voyait son frère. Il lui fit un petit clin d’œil en se dirigeant vers l’entrée de l’appartement, peu ému par les tourments qui avaient secoué son corps, et qu