img L'étoile tombée d'un arbre  /  Chapitre 4 No.4 | 8.00%
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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1649    |    Mis à jour : 20/07/2022

pit

ses épicées préféré. Elle s’était assise dans son lit et regardait fixement devant elle sa grande armoire avec ses deux portes blanches. Elle était trop somnolente pour le penser à cet instant, mais elle l’avait toujours détestée. Le meuble faisait l’effet d’une armoire à pharmacie. Des volets mi-clos de la fenêtre pénétraient de légers rayons de soleil, qui, troublant l’obscurité du reste de la chambre, finirent de la réveiller totalement. Une fois les dernières traces

r. T’es

r le silence ni la concentration de son frère. Voya

que t’as sur

oir, daigna esquisser un geste. Il lui désigna une bouteille soigneusement fermée sur la table de la cuisi

t le truc pour les oreilles du c

a dans le coulo

épondre. L’éther s’

pelait ses départs fracassants de la maison après des réflexions bien moins blessantes que celle-ci. Mais aujourd’hui il ne dit rien, comme si

rquoi il se le met sur la bouche ? Moi à de

s petites filles sages, ça fait du bien a

u fais pas ç

r le père, mais elle n’avait jamais eu à le constater directement. Le père avait souvent un comportement théâtral et grandiloquent. Elle pensait que tout cela

l’héroïne. C’est pas très bon, mais c’est moins dangereux… Tu

voir. Arrête de me tr

t d’un chiffon imprégné de solvant. Jusqu’ici il avait été son héros. Il s’opposait avec tant de panache au père, sans montrer la moindre crainte. Plus que les mots, il maniait avec brio l’art de la persuasion par la disparition. Plus la dispute était violente, plus son absence était longue et remarquée. Mais il lui arrivait aussi de fuir sans que personne n’eût pu expliquer pourquoi. C’était là que c’était le plus dur pour ses frères et sa sœur. Comment savoir s’il allait revenir quand

comme à l’accoutumée. Après avoir frappé, son frère, libéré de son étoffe malodorante,

-ce que

e sais que je t’ai fait p

u tout. Je voulais j

etit-déjeuner ? C

ée à la crème confiseur au cacao, qu’il tendit à

m’acheter a

blème, je va

’en as trouvé, y’a jamais

dans ma réser

is, po

, pou

tandis que son frère la prit tendr

it de si intéressant, e

sés. Là, j’étais en train

st samedi et tu écr

ais faire d’autre ? On n

sortir jouer a

, elles sont tr

rentes

s pa

st-à-

es. Je préfère jouer seule plutôt que

reinte et regarda sa sœ

and on ne rentre pas

uand on se sent

onde. Moi je suis pas comme lui. Plutôt crever que de finir comme lui ! Je préfère vivre ma vie à fond et mourir à quarante ans. Je dev

Olivier… T’as

te, c’est une manière de parler. Allez, ne pleure pas

té affublée plus à cause de sa timidité que de son respect réel des bienséances. Olivier se leva pour aller chercher le cahi

agrammes de la famille en

e te noter. Mais tu sais quelle es

pas vraiment mon tr

ez, d

pas… Perfecti

ôle, tu joues

s, tu

J’ai pa

t une moue

cord. C’es

t la liberté, le voyage, comme les ave

ent quand

a sœur et l’embrassa sur la joue

st plus fâché

est plu

le mobilier de l’appartement tiendra bien longtemps. Il

ny, en même temps qu’un coussin d

la porte de sa chambre

tte

Qu

, ne meurs pas

rom

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