la première fois, au Japon. Le Japon ne se trouve
sur moi, certains bains chauds peuvent se trouver en extérieur et l’expression de « félicité sup
enirs incarnés sur ma peau comme des tatouages hermétiques et transparents,
e et l’aisance intrinsèque aux Onsens du Japon que beauco
ze euros, baignade à « Yunomori » to
essinaient, ils peignaient et vivaient comme des citoyens d
aliens, manger Japonais ? Ils vous confectionnaient des plats typiques du
eux marcher de jour le « Chatuchak Market » un marché labyrinthique hybride ou se trouvait sur plusieurs kilomètres toute sorte de bibelots, de
animaux du chiot Chow-chow, aux lézards et autres insectes inform
ombée de la nuit, le jour était considéré trop touristique à mon
ngrus venant du Japon. J’accumulais, sans s
du genre guindé séducteur. Il possédait un petit café
asse de café de mon choix, je choisissais la plupart du
vu une voyante au préalable. Je n’avais jamais
des Parisiens non plus et leur
ivre cette vie et la prendre comme elle venait. Agrippée à son fil comme une petite araign
cherché à le savoir. Tout ce que je sais est factuel, j’avais grandi en France dans une campagne désertifiée
ivais, ressentais, mon apparence semblait absorber les visages des pays qui m’accueillaient. Mon visage de pâte à modeler se modifiait suivant les températures
is toujours dans des situations abracadabrantesques à cause de c
our moi-même, un mys
refus de ne pas être celle
as Mexicaine, je viens de F
teuse, tu as ho
s quoi dire, ma
de France. No soy M
ne électrique vint v
as honte de ta Race, es
isée, je ne savais plus quoi répondre et accept
e j’étais Brésilienne d’Amazonie ? Après tout ! Mon père était peut-être d’Acapulco ou de Véra Cruz, un Huaxtèque qui sait ? Et ma mère ? Mixteque ? Cham
is-toi, me disa
et hindouistes nomment certai
me. Le destin pouvait aller se gratter, je n’étais pas non plus sa victime, même si l’absurde fra
ou plutôt elle était l’ombre de mon ombre que
s ma vie comme bon lui semblait à chaque coin de rue, au moment même où je m’y attendais le moins, pour m’embarrasser et perturber m
rande maison au milieu du visage… La langue est une structure faite de mosaïques et de miroir brisé ou se voir, c’est aussi s’ente
au ralenti comme un fumeur d’herbe funambule en ballade solitaire à Kingston e