mi Ta
leutés (Som tam) et très parfumés des mangroves, peu bavard il me dit cependant qu’il fut marié à une Thaïlandaise lorsqu’il était plus jeune mais un souci de grande envergure allait le séparer d’elle, il humecta sa bou
uniquions la plupart du temps de sourire que
trée de l’hôtel pour boire des bières, r
ent par là nous vendre leurs bricoles. Monsieur Irezumi ressemblait à une peinture des shogunate
ut, c’était de porter des chemises hawaiiennes à fleurs rouge piment ou vert fluo
mi était très
par
ère fois à Bangkok à ses quarante ans. Il était connu po
un adversaire aussi bon et présent dans cet endroit aussi inattendu que silencieux, il ôta so
paraissaient être en mouvement sur ce dos statique
nt le signe d’appartenance des Yakuzas, il le savait… lorsqu’il retourna au commissariat local, le bougre m
au Japon. Il séjourna en prison dix ans pour meurtre, puis revint
nt, probablement pour service rendu aux Yakuzas Tokyoides de la Ya
le dire clairement, je ne posais jamais de questions, j’attendais que les histoires viennent à moi.