Bangkok à ma table

dans l’eau voit les p

rbes

ézar

d où un lézard, tout aussi ébahi que moi, prenait la pause. Il portait sur son dos des reflets bleut

mpathiques même si j’appris par la suite le dégoût qu’ils portaient pour certains Far

humvit Soï 28 ». Après 3 mois de voyage de rencontres et de fatigues aussi, je p

Cubiste, Mia, que j’appelais foune » car dès qu’elle me voyait, ne pouvait s’empêcher de me lancer de mielleux « you aaa beautifoune... » en traînant sur le « foune ». Ce qui me donnait

bureau à faire et refaire des comptes et donner des di

é des filles Thaïlandaises. Très vite, j’allais témoigner de

et blanc et cette année-là le roi Rama 9 mourut le treize octobre 2016. To

ait son Roi mort à q

ur deux ventilateurs qui faisaient des ronronnements léger

pas. En rythme, la cuisinière de mon petit hôtel battait ses cuillères contre les poêles, ce qui donna

eur les faisait vivre et parfois même, j’avais comme l’impression d’être dans une cité amovible. Ce que j’aimai

goûtais à toutes les cuisines. Je passais beaucoup de temps seule jamais très longtemps, il y avait toujours des gens, des voyageurs pour m’inviter à les rejoindre à leur table et de là

opre à elle mais réussissait à attirer les quelques Farangsqui traînaient par là. La crasse ne les repoussait pas et certains même en redemandaient, ils revenaient trè

ue de fond jouait

voulaient plus, pour la plupart d’entre eux « winner », des putes, des Katoeys, des Japonais de la pègre, des noirs, des blancs, le monde ent

s, des sentiments crus aux rencontres souvent abruptes, des fumets d’illusions et ce l

à son tour me transperça

un peu en un fantôme inquiétant ? Acc

vous, sans rien leur laisse

à jeter, il n’y a rien à lui prendre. Malgré sa joie excessive ou sa danse macabre à toujo

t jamais cet état d’esprit étriqué. Nou

ns faisaient le m

ux dents bien aiguisées, l’extension de mon appétit cannibal

ets extra exotique aux mille saveurs, pétillait, s’agitait sous

ur n’en faire qu’une bouchée de ce p

« Kuaytiaw

es nouilles fritt

onseillé pour les

à thé de s

s d’ails

ne de

pois

lic

ou spa

aponais. Il y avait très peu de clients en cette période de l’année. Comment en avais-je entendu parler ? Eh b

tes, de cuisines de rues orgasmiques et colorées, de boutiques de vêtements ri

ent mes préférées, particulièrement celles à qui il manquait un bras, des y

t bain chaud, des bains à remous ou des bains très froids. J’y restais des heures, parfois jusqu’à cinq ce qui n’était pas à recommandé.

va et laissa son r

ritake (14