img Si jamais j'oublie  /  Chapitre 2 No.2 | 4.55%
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Historique

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1763    |    Mis à jour : 18/05/2022

a

i

tout simplement ceci : je ne sais pas encore ce qu’est Alzheimer. Comment le saurais-je d’ailleu

journées avant les vacances. Comme un bonbon sucré qu’on garde sous la langue un moment. Dont le parfum reste encor

nt qu’être prof n’est qu’un métier, et que ça ne les définit pas en soi. Je pourrais m’asseoir sur le bureau de Mme Mauduit, ma prof de français, et discuter avec elle de tout et de rien. Comme de sa phobie imaginaire des aspirateurs afin q

x assommants et de travaux pratiques rébarbatifs on fond notre cerveau au moule conforme à la pratique de notre futur gagne-pain. Mais comment apprend-on l’humour ? Quelle terre labourer pour cultiver la joie de vivre ? ou encore la sen

semblant toujours contenir trop de poils et autres déchets innommables pour un si petit espace. La consigne du jour : réaliser une maison avec les mobiles à disposition, et un humain à l’é

l’insulta joye

ute épreuve quand le prof se retourna et le félicita chaleureusement de cette trouvaille qui donnerait une certaine dimension à son projet artistique… « Un

du prof punir le moins…), on se retrouverait évidemment au self, avant de traîner dans l

effet plus sucrée qu’

onnent. Souvent, celles-ci ne peuvent se décrire ou se photographier. Notre encéphale choisit donc d’imprimer les détails sensoriels et contextuels, les mots, les visages, les gestes, les odeurs et par un curieux che

semble trop petite, semble se dérober pour laisse

foule dense et excitée de rentrer laissa place au vide des couloirs et à la machine à lav

on est mort de honte… Mort de honte de devoir attendre dans le bureau des pions que sa mère se décide à arriver. Mort de honte de voir ces étranges personnes pas encore adultes mais pas tout à fait comme nous non plus,

ement, t

. J’avais promis de venir te chercher pour ton rendez-vous chez Céline. J’en suis tellem

eur profonde indifférence aux problèmes de leurs parents alors qu’eux

’as lâché… c’est bon

ous mes collègues en ont après moi en ce moment. Je ne sais

le manucure, observais-je en jetant un coup d’

rattraperai, j

es, tu devrais commencer par tenir celles que

de faire des reproches aux adultes. Quel intérêt de tacler nos camarades, en quoi nous sentons-nous supérie

tomber. Comme ce délicieux crustacé, fragilisé entre deux changements de carapaces, l’adolescent, mue de l’enfance à la peau d’adulte, restant une période sans aucune protection. Si le homard, dans sa p

de perfidie et de coups bas. Planquée derrière mes rochers de contradictions et d’angois

j’avais un père ce

le

t, qu’est-ce que je devais lui faire mal. M’a-t-elle détesté à ces moments ? Malgré toute sa bienveillanc

uelles je n’aurais jamais dû avoir de réponses, si ma mère n’avait été ma mère… Je me souviens d’une matinée de novembre vers tes cinq ans

s mon visage dans

flet que tu vo

que je suis

rber l’instant, de le graver intensément, illusoirement peut-être. Il y a des jours qui n’en finissent pas, et des sec

ment fort, tu es tellement dans mon cœur

x voir ton visage a

ntivement tes pupilles que j

je le

que tu es dans

ilisée. Comment était-il possible, alors que ton cœur ne devait pas peser plus de cent

l est toujours

mmen

u même endroit, ou il

e temps avant

d’autres moments dans les talons ou cognant

urquoi bo

restait figé, nous ne serions que des machines, destinées à un usa

s être une m

le ser

-je écrire ton poing fort. Tu peux frapper à grands coups dans la méchanceté environnante, déblayer ton ch

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