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avions vécu mais elle était calcinée. Cette

s poches. Car cela était dans mon esprit d’une importance capitale, et je savais qu’étant détenteur enfin de cette clef, je saurais le mystère de ma vie brisée

ans des maisons en ruine, où une obscurité tapageuse nous recouvrait sans cesse. Même si je faisais cela comme si ma vie en dépendait, elle se laissai

conversation entre patients et soignants avait lieu. Il y avait là le médecin, un bonhomme grassouillet aux che

, Nicolas. Toi seul pourra

uais,

xposa le

sens, mais en rêve, c’était bien sûr tout aut

et ne pouvait en effet appartenir qu’aux mondes du rêve. Car elle servait en même temps de

us les êtres chers que j’avais perdus, et

re les

ien », fit le médecin d’un a

clef qui expliquerait ma vie maudite et ses mystères, comme cet amour défunt qui était resté comme en sus

satané endroit, ne serait-ce que quelques heures. Mais nous avions quelque réticence à demander une permission à ce médecin quelque peu obtus et imprévisible. Cependant il devait être dans un bon jour, car sans difficulté aucune il nous l’accorda. Avant cela, nous nous mîmes d’accord pour les jours où je serais amené à travai

sans m’attendre, et, de ce fait, je me hâtai d’aller cher

ance, une trompette sur le lit défait, et la lumière abondante des jours heureux bondit joyeuseme

t changement, car cela semblait faire partie d’un

ats de voix, parmi lesquels je reconnus celles de mes grands-parents. Tous les mercr

doute joyeusement, d’après les bruits, dans toute la maison avec mon frère qui hurlait et ma sœur toute petite encore. Je sentais que si je mettais ne serait-ce qu’un pied dans ce décor, tout cela serait

s les mornes infirmiers et la douleur des patients. L’hôpital était re

le médecin et l’étrange infirmière qui

m’abstins de lui expliquer que j’étais retourné, comme par magie, dans la chambre de mon enfance, car on

in réapparut. Il semblait tout à coup très vieux et très las. Ils se mirent à deux contre moi, me menaçant d’enfermeme

uelque chose d’interdit ic

fait quelque chose d’interdit non seulement par la

sais qu’un jour la mort, comme un rêve, viendra, et que seulement dans celle-ci connaîtro

vembr