vait que mère ne jouât pas, se sentant fatigué sans doute et était alors r

’à l’heure du coucher ; mon enfance passa ainsi, entre la musique et de vagues études.

ous, pauvre ou non), de faire venir à notre table, le jour du sabbat, un pauvre invité. Je prenais gamin, un grand plaisir, qua

le arriva dans ma vie de garçon choyé, quand

e n’avais rien demandé d’a

u second plan, je pouvais faire toutes mes fantaisies. Je ne puis pourtant en raconter plus, car ces

ent (…) de l’envoyer aux USA avec un oncle et s

les derniers arrivés, tout…

randes ; même à Vienne, où ils étaient pourtant nombreux et certains

ur et (surtout) le pire ! Je quittai la capitale que j’adorais pour le petit village de Judenburg afin

e histoire : on mentionne le nom de la ville pour la première fois sur un document datant de 1125. L’origine du n

Le château fort fut construit durant les années… 1440-1450 sous sa forme actuelle. Le mausolée princier où repose Frédérik 2e est un édifice du plus pur baroque autrichien. On y trouve également une cathédrale construite à la demande de Frédérik I

, etc.… Je fus rapidement conquis par son ambiance faite d’humanisme, de savoir-vivre et de soleil ! Là j’étais, croyait mon père, loin des dangers jour

t de leur mariage et n’avait pas d’enfant. Sa maison était grande, entourée d’un jardin qu’arrosait un Ru et vivait avec sa domestique bien plus â

llait se jeter le Ru du jardin. Beaucoup de juifs y habitaient ;

yant comment survêtement une ample cape noire et au pied des sabots de bois garnis de paille, je devais me lever tous les matins à cinq heures, me lavais… rapideme

ige était haute, que ce n’était plus possible. Avec l’accord de mon père, on me mit en pension chez des connaissances qui cédèren

is rentrer plutôt le vendredi et retrouverais à Gr

hambre, retournons un moment en arrière. Au début et aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai vécu dans une chambre, située au sommet d’une

s promotions et l’appui du baron, permission lui fut octroyée (permission rare) de sortir du quadrilatère, encore fermé par une chaîne et où il fallait payer octr

ouche (cadeau utile…), jusqu’au jour de mon départ pour Judenburg. Cette pièce servait en même temps de chambre, de salle d’étude et de salle à manger pour nous trois. Elle contenait un très vieux lit à colonnes enti

jà l’histoire des minéraux dans un très vieux cahier que j’avais reçu d’un ami plus âgé. Je vivais là, la plupart du temps en comp

ait une matrone joufflue, mais assez jolie et l’autre un homme moustachu, de belles presta

rement, me suivait partout. Il avait en outre une énorme armoire

là-haut, j’étais bien seul, tout comme auj

pprendre dès son jeune âge, non seulement les études, mais aussi, et surtout les bonnes manières. Je devais donc attendre, bien avant l’heure du repas, sagement assis dans un coin du salon, sans bouger ni parler. Il faisait ses ablutions :