Aujourd’hui où j’écris cette histoire absolument véridique, il me semble que j’aurais pu, ou plutôt j’aurais dû lui donner tout le bonheur auquel elle avait droit, le droit absolu, mais comment ? J’étais en ce temps-là d’une instabilité continuelle. Mon caractère était ainsi fait ; je ne cherche aucune excuse ni échappatoire : je suis seul fautif.