DY

bre de choses qui peut

rait désirer dormir. Un autre pourrait tenter de mettre fin à ses jours

l'heure du coucher. Tandis que certains, rongés par la jalousie ; usent de ses secondes afin de maudire les plus hauts placés dans la société, ceux-ci ne les voient même plus défiler. Mais la vérité, la seul

op stérilisé ; un tube épais obstruant ma trachée, une douleur vive dans le bas du dos ; je suis

Succombant ainsi à mes blessures, en essayant tant bien que mal de rester immobile. Il me faut de nombreuses minutes pour enfin, parvenir à ouvrir les yeux ; ce qui fait surgir d

anal mal de tête. Je ne serai même pas en mesure d'énoncer la cause de ces agissements ; peut-être est-ce l'habitude de devoir garder la tête sur les épaules en permanen

e mal atteint le stade de la frontière du supportable ; et sans m'en rendre compte je me mets à grincer des dents pour enfouir ce tourment au plus profond de mes entrailles. Mes mains finissent par faire des vas et vi

té ne semble plus à vérifier. Mes doigts s'avancent avec assurance vers l'objet, prêts à le saisir ; et pourtant, au

nfâme corvée, de ressentir une douleur si forte que le simple fait de bouger représenterait le plus fatal des poisons. Sentir cette difficulté à inhaler de l'air dans absolument

du déchirement que j'éprouve dans le bas du dos durant n'importe quel mouvement, de mon orga

aisse place à un homme d'une trentaine d'années environs. Stéthoscope autour du cou, blouse bleue recouvrant son corps et le regard fixant nerveusement une planche qu'il tient entre ses mains, sur laquelle doit

, et de glisser mes mains sous le fin drap blanc qui me recouvre, et tente un

s la foulée, un sourire gigantesque. Il s'apprête à parler, mai

e Dr. Khern

Je m'écris instantanément une note mentale pour ne jamais essayer de pro

onguement attardée sur sa poitrine, car lui mêm

'appelle Dr. Kher

ore sonné par ma migraine qui rend chacun de

vraisemblablement touché aucun de vos organes vitaux ; ni même votre colonne vertébrale. Je vous prescris juste quelques se

vous Mr. Miller ? Enchaîne-t-

réponds du

mble si abasourdie par la réponse que je viens de lui donner qu'il en perd même légèrement le s

lente migraine ainsi que des pics aléatoires de vives do

e que ce soit lui le patient, ou bien qu'il s'eût auparavant déjà retrouvé dans ma condition. D

rd partout autour de moi, sauf sur l'

des pas mûres dans cet hôpital. Donc inutile de tenter de faire le d

, il débute et je me fais violence

es façons, la douleur qui sévit au sein de ma personne rend inaudible certains de ses mots ; et mon énergie est si faibl

soudain, pour je ne sais

s. Il gribouille machinalement une série de lettres sur une feuille qu'il tient entre ses mains ; sa joie de vivre semb

quement devant la porte, comme s'il s'était momentaném

os cousins germains et la dernière clame être votre petite-amie. J'avoue que j'aurai facilement pu me laisser convaincre par

e nervosité, toujours i

is, ça ne collerait pas

s il dit enfin une chose avec laq

r. Il se stoppe dans ses propos avant de lentement faire roter sa tête d

r ont désormais viré au noir. Des spasmes parcourent mon être jusque dans mon échine, à cette vision. C'es

lez bien le

ce, il

manque

oir le tuer. Être en mesure de coopérer avec une entité aussi froide que la sienne rendrait mon métier encore plus palpitant qu'il ne lest déjà. Ou qu'un des siens me

aigné échangé le moindre mot ; a eu le temps de me prodiguer une bonne dose d'antalgiques qui m'ont i

çant avec vivacité l'arrête du nez pour accentuer son dégoût.

esdames, je vous prie de bien vouloir notez l'ironie dans mes propos.) Je me dem

Alexis en me lançant un sourire auquel, comme

Daisy avec un rictus si grand que je suis en mesure de

ée de me savoir tiré d'affaires - tirades, et discours, auxquelles je ne prête bien sûr pas la moindre attention - Nathan semble obnubilé par quelque chose dehors, car depuis qu'il a mis pieds ici, son regard n'a

e est