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à regagner vos sièges et à attacher votre ceinture. Assurer vous que vos bagag

d'aéroport avec une correspondance sur un vol Air France, veuillez vous prés

artenaires HERTZ, les hôtels ACCOR et le

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la boîte métallique, les hôtesses circulent dans les allées vérifiant si les ceintures de sécurité sont bien ajustées, les sièges redressés et les tablettes rangées.

lection des films à diffuser au cours du voyage ne me convenait pas. J'ai été contraint à regarder des films de cowb

. C'est donc décidé à me changer les idées et à irradier ces ondes négatives de mon corps que j'extirpe mon téléphone du sac à dos à mes pieds et y plante l'embout de mes écouteurs. Moins de quelques secondes plus tard, les notes

musique classique m'aide à positiver. Je la comparerai à la vague qui a engloutit l'Atlantide. Un énorme déferlement, qui fit disparaître toute une civilisation et qui n

du boeing 777 (avion long-courrier) ainsi qu'à étudier le personnel. Une habitude qui résulte du décès de Ruth Martin, ma meilleure amie au primaire, décédée de suite d'un crash aérien. Une expérience qui me marqua au f

tte rivière qui veut quitter son lit à chaque fois que son nom tambourine dans ma tête, mon cœur qui se fissure lorsque son visage s'agglutin

'une salopette rose, car elle adorait se vêtir de la sorte. J'imagine sa tête d'enterrement quand elle a dû pén

le soit ; et je crois qu'en Nathan je retrouve un petit fragment de ma meilleure amie. Ce doit être là raison pour laquelle à son arrivée j'avais tant bataillé pour soutirer so

e toujours serrés, et des sourcils qui semblaient continuellement froncés ; cachaient un sourire occasionnel et une joie extraordinai

on œil droit marron et son œil gauche bleu ciel ; qui brillaient à chaque fois

es récréations, tandis que moi, chaque matin, je lui apportais des biscuits chinois. Je les ouvrais pendant la nuit et m'assurais que ceux que j'allais lui offrir renferment un message de bonne augure ; puis je les recollais tous avec de la pâte d'amandes.

orter des biscuits tous les matins. Un monde où je peux la serrer dans mes bras et plonger ma tête dans son cou, afin d'être submergé par le parfum longue tenue à la pastèque qui prove

cette mélodie était des chaînes auxquelles je suis enchaîné. Pourtant même avec ce douloureux silence qui plombe mes oreilles, j'ai toujours l'illusion que je suffoque. Est-c

un revers de main toutes les émotions qui peuplaient mon être. Sauf

es de l'engin, j'avais observé celles-ci minutieusement. Je les avais étudié, arpenté, épié pendant presque toute

ns mon sac à dos puis rejette ma tête sur le dossier de mon siège. Mon regard divaguant sur le visage endormie de ma partenaire, couchée sur mon épaule. Sean a préféré que nous ne partions qu'à de

ent 14 heures passées de 36 minutes. Le temps à Paris est pluvieux et la température au sol est d

que son postérieur a touché son siège, ce qui est plutôt impressionnant. Même les discours de sécurité, les différentes annonces, le décollage et l'atterrissage

ns cinq bonnes minutes. Je reste gentiment assis sur mon siège à attendre que les couloirs se vident légèrement. J'observe passiveme

rtures de l'avion dans leurs sac, d'autres sont toujours si paisiblement endormis. Je réveille rapidement Daisy quand je remarque que la file avance enfin. Sont pré

, Daisy incarnera ma petite amie. Je n'y ai pas encore réfléchi mais le chandelier m'a demandé d'inventer quelque chose de crédible pour notre rencontre. Je n'aurai qu'à dire que nous nous somme

onnoir sur les relations que Daisy sera amenée à faire. Elle n'aura pas la possibilité de s'ouvrir au sexe opposé autant qu'elle l'aura

illes lui tombent littéralement dans les bras ; et ayant connaissance de son niveau de maladresse élevé, il serait susceptible de dévoiler des infor

tels et de traffics illégaux dans le monde. Je n'étais âgé que de sept petits printemps, c'était le tout premier meurtre auquel je participais. Nous pensions tous que l'a

r et faire de la boxe ; Cannelle est désormais âgée de dix-sept ans et habite dans la capitale française. Notre besogne est centrée sur sa personne. Sean nous a demandé de nous édifier sur ce qu'elle savait de nous, de se rapprocher d'elle

s peu expérimentés, des bleus nous aurions pu être appelés. Dix années sont passés, les temps ont changé. No

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u peux me prêter ton m

s et ses jointures sont devenus légèrement bleutées. Des petits flocons nous tombent sur le corps, le vent d'hiver hurle sa présence aux passants, ce qui ne nous permet pas de faire augmenter notre température

a nuit, répondis-je

pression qu'elle a envie de s'énerver mais qu'elle n'en a même pas l'énergie, et je jette mon regard à l'horizon, blanchie par la saison. Je

jean, tandis que moi, ayant regardé la météo au préalable

é par Sean est venu nous chercher et nous a déposé devant l'immeuble où nous allons vivre usant de son GPS pour se repérer, dans des quartiers de Paris dont je n'ai pas connaissance. Le problème, c'est qu'il s'est trompé d'arrondissement. Au lieu de

u'un mais nos deux portables sont à plat à cause du voyage, et impossible de partir à la recherche d'une cabine téléphonique. Alors nous attendons, patiemment. Avec l'espoir d'apercevoir un pas

je suis rancunier mais la veille elle m'a fait prendre une douche froide en coupant le chauffe eau ; parce que je lui ai dessinée une moustache pendant son sommeil. C'est de bonne guerre entre nous. Et pourtant

s mon manteau. Le bruit de ses dents qui s'entrechoquent s'estompe peu à peu, et dans un fin murmure elle me chu

m'a-t-e

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e vous aimez

nous fait face s'élève alors qu'elle esquisse

pécialité, p

us loger le temps d'une nuit. C'est une femme de taille moyenne, semblable à la quinzième lettre de l'alphabet français ; et à en juger son fort accent elle po

de leur bonheur. Elle nous a même offert la possibilité de prendre une douche ainsi que des vêtements propres ; et la voilà qui désormais se met en quête de faire taire le cri incessant de no

e quantité importante de sa préparation dans mon plat pui

le, tandis que j'observe l'amas de pommes de terre gisant dans mon ass

ous ne s

e pinçant discrètement la cuisse sous la

ans le cadre de la mission. Je retiens le juron qui voulait s'échapper de me

rd

tête, et ça me libère au point de

ant des dents et en lançant un r

n plus grand désarroi, je retire prestement ma main de la sienne et m'empare de ma fourchette. Je ne désire même pas m'édifier sur l'expression de son visage

is-je en prenant une bou