SOUS SA POSSESSION : Une romance érotique avec un milliardaire / Chapitre 4 Je veux vraiment te ruiner | 5.48%e vue d
t une beauté qui me
d'hommes séduisants da
, épais et légèrement en bataille semblaient témoigner d'un geste r
yeux sous la lumière tamisée, mais ils paraissaient somb
ez légèrement tordu, une
ncentrais sur les
– comme s'il me connaissait. Et pourtant, je ne l'avais jamais
age contre le mur, tentan
te connais ? »
anquille aux lèvres, tandis qu'il se penchait
enco
sayé de garder une voix stable, mais un lé
la peine de connaître
quoi étais-je même ici ? Et pourquoi ne ressentais-je pas de dégoû
-je l'impression qu'Alaric a
de moi ? » Un frisson m'
À la place, il a plissé les yeux tan
sur ma poitrine et il a es
étons pointés ou aux mots inscrits sur m
ui n'en éta
noir. « Mes yeux sont ici,
a déclaré : « Je les ai déjà vus, Meadow. » Sa voix, grave et
connu ? Pourquoi ne m'étais-je pas enfuie al
st fermé. Plein de douleur. Je
ouverte, mais aucun
tage appuyée contre le mur. « J'ai entendu parl
s, je présume ?
serré, puis il
qué. « Et comment sais-tu
i, et j'ai poussé un s
veste de costume, et mes yeux o
nt déboutonnée, m'attirant comme un aimant alors que
sur mes employés », a-t-il dit sur un ton
attendait à ce que j'enfile s
lopper de son odeur, mais je n'al
que tu veu
sourcil. « Je veux que tu mettes c
eur », ai-je menti. « Qu'est-
inuer cette charmante conversation. » Sa voix
vant de me plier à sa demande, enfilan
ai-je craché,
piration. Un hoquet m'a échappé, mon dos heur
Ses yeux s'étaient assombris, son regard brut glissant vers ma bouche. «
rquoi suis-je ici avec toi ? Et pourquoi me re
ans les poches. « Si j'avais voulu te
me rassurer. Et
ots ont attisé une chal
ttées l'une c
s verres que le barman m'avait donnés ce
s l'une des tables et a attrapé une bouteille
comme mon sig
x a retenti. « Si tu franchis cette porte, tu auras gâch
-fiancé », ai-je répét
sœur ? », a-t-il lancé d'un ton lisse. « Est-
se tenait près de la table, son verre à la main qu
s'est brisée. « Comment tu
it, je sais tout
rdes comme si j'étais un trophée ? Tu envoies ton garde du corps flippant me chercher ? Tu m
eux-tu dire par se venger de Tyler ? Je n'ai p
dow », m'a-t-il coupée. « Et je d
me étai
, irrémédiab
'hôpital qui se moque de la charité. Venant du g
était... un mauvais timing. » Sa voix est res
oix était pâteuse. « Tu voulais que je voie ça. » J'ai brièv
it clairement l'al
avais-je l'impressi
fixais-je
s partir
mes genoux ont flanché, alors je me suis ag
cette surface dure, c'ét
ur son torse, et dès qu'elles l'o
s'est raidi s
é suspendu à mi-ch
uis sont remontés lentement jusqu'aux miens. Et ce que j'ai v
on souffle s'est coupé au point
j'ai reti
ession m'a donné envie de le tou
eposé contre son torse tandis qu'il
lé, sa voix était
tur
us profond
w », a-t-il dit. « Je ve

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