img Sa Majesté ne doit pas savoir  /  Chapitre 4 4 | 11.11%
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Historique

Chapitre 4 4

Nombre de mots : 1109    |    Mis à jour : Ce jour01:41

tait e

ère ses beaux sourires : était-elle réellement prête à tenir ses serments envers lui, leurs nations et leurs familles ? Ou n'étai

oix grave, où perçait un mélange de soulagement et de méfiance.

i semblait jaillir du plus profond de ses yeux. Ce simple geste fit naître en

joyaux provoque en lui un tel émoi. Ses doigts ornés d'anneaux de diamants et de saphirs scintillaient, tandis que la tiare sertie de pierres, pos

lle. « Et ce monde est à m

nuance d'elle. « Je regrette de ne pas avoir pu vous accueillir hier soir. La

compr

accord, ce mariage arrangé, même si son cœur battait encore pour

ement ? Le dîner ne sera servi

peux pat

ez rien avalé aujourd'hui... ni

sourcils parfaitement dessinés se h

permis de trahi

Ils craignaient que leurs mets n'a

festin pour les yeux, mais je savais qu'à dix-sept heures je devrais me glisser dans cette robe... » Elle

que vous vous im

silhouette. « Ai-je vra

poitrine, la finesse de sa taille avant de s'épanouir sur ses hanches gracieuses. Les teintes profondes du tissu faisaient ressortir l'éclat laiteux de

er en lui, une envie viscérale de la frôler, de goûter à sa bouche entrouverte, d'ef

emme, par respect pour son engagement envers Emmeline. Mais cette année de retenue avait été interminable, et désormai

sans ciller. Ses yeux d'un bleu tranchant semblaient le transpercer,

use : il l'aurait. Qu'elle devienne r

sa tomber son regard, brisant cet étra

de braises d'ambre et de reflets changeants, semblaient l'engloutir, l'arracher à toute logique. Chaque seconde qu'elle croisait ce regard la c

e telle brûlure, une faim qui rongeait jusqu'à la douleur

qui dévorait ses joues et ses lèvres. Mais chaque battement de son sang trahissait son trouble. Zale réveillait en e

is seulement lorsqu'il se partageait avec quelqu'un de véritablement unique. Or, depuis son diplôme de l'Université Texas A&M, quatre longues années auparavant, il n'y avait eu... personne. Elle avait alors vingt et un ans, fière,

elque chose s'était rallumé. Une brais

e sa peau nue, ses cuisses effleurant cette zone sensible qui la faisait presque trembler. Cette lingerie... celle d'Emmeline, songea-t-ell

e, oublier qui elle était ? Oublier ce qu'elle faisait là et pourquoi ? Tu

a, ajustant nerveusement sa jupe d'un gest

je souhaiterais regagner ma chambre

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