img Sa Majesté ne doit pas savoir  /  Chapitre 5 5 | 13.89%
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Historique

Chapitre 5 5

Nombre de mots : 1329    |    Mis à jour : Ce jour01:43

e dans une demi-heure, ré

veuillez

nvoyer quelqu'un vous

ers tandis qu'elle gravissait les escaliers du manoir à toute vitesse. Folie, folie, folie, répétait-elle co

onne, qu'un message l'avertisse que tout allait bien, qu'e

table de nuit et attrapa son téléphone. Elle vérifia frénétiqu

bsolume

reusement près de vomir partout sur le tapis Aubusson

i s'étirait depuis le dernier message d'Emmeline. Où pouvait-elle bien êt

la princesse était déjà en route. Peut-être qu'à cet instant précis, elle fendait les nuages à bord

vait pu être si pressée d'atteindre l'aéroport qu'elle en avait oublié de prév

tte pensée comme à une bouée de sauvetage, la s

eli

ocha sans

da-t-elle, la voix tremblante

vacilla comme une flamme sur le point de s'éteindre, étouffée par la distance. « J

i à arranger

t s'étrangla presq

e que ç

danger physique, si

se glisser dans la voix de la princ

tournent ma

e se fit lente, pesante. « Dis-moi...

t ses joues

rais pas g

est sombre, implacable. Je doute q

t'épo

q millions

arquilla

uoi

contrat, un marché froidemen

ux brûlant d'intelligence et cette stature imposante qui dominait quiconque osait le défier. Il

le temps... vous fin

hors champ, puis revint. « Bonne nouvelle. Je n'ai plus besoin d'attendre mon avion. Un ami ici met son jet à ma disposition c

rement, refermant son téléphone, le cœur lourd

it heureuse de repartir dès l'aube. Pourtant, une part d'elle, enfouie et réticente à l'admettre, brûlait d'une déception

cer la tiare qui lui donnait l'impression d'endosser un rôle qu'elle ne maîtrisait plus. Guidée par sa dame de compagnie, elle traversa à pas rapides de hauts couloirs tapi

r trônant au-dessus de l'imposante cheminée de marbre blanc. Elle en eut le souffle coupé. É

ses pommettes hautes et ce sourire fugace, presque interdit. Jamais elle ne s'était perçue ainsi. Intelligente, appliquée, toujours ; mais jamais belle. Son père, sévère et austère, n'avait jamais valorisé l'appar

Si cette métamorphose changeait

face aux immenses portes sculpté

ns Sa Majesté ici

roi Zale Patek. Elle se sermonna : elle ne devait rien

entit un frisson lui parcourir l'échine, ses poumons se serrant alors que chaque fibre de son être percevait l'aura vibrante de cet homme. Grand, é

nsité. Lorsqu'elle osa lever les yeux vers lui, les prunelles ambrées du roi accr

ravissante, 

a tête, ses jo

aussi, Vot

t ? » répéta

d'une voix adoucie, le rou

portes s'ouvrirent dans un grondement sourd, dévoilant un hall si vaste e

sombre, où pendaient de riches tapisseries pourpres. Deux immenses cheminées de pierre crachaient un feu ronronnant à chaque extr

e, un sourire discret f

roposa-t-il en lui

ropre rythme. Son visage sculpté, ses yeux hypnotiques, ses larges épaules et se

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