ains, une poudre douce et blanche qui la réconfortait. Sa pâtisserie, un petit commerce niché dans une ru
gramme. Sa vie était une quête obsessionnelle de la perfection physique, une discipline de
l. Ses cheveux étaient attachés à la hâte, et son visage, souvent fatigué pa
eux parfaitement placée, chaque sourire calibré pour l'objectif de son télépho
e, celle qui "se laissait aller". On admirait son talent, bi
iscipline, sa beauté. Elle était l'exemple de la réussite, une f
s la vie de Jeanne, une comparaison silencieuse qu'elle ignorait la plup
pensait qu'il l'aimait pour ce qu'elle était, pour son âme de créatrice, pour la
se tr
Il avait un verre de champagne à la main. Jeanne
s son regard glissa vers Sophie, qui
dit Marc d'une voix forte. "J
lacial tomba
mes côtés qui me représente, qui m'élève. Pas
lors complètem
ue signifie l'excellence. C'e
ses yeux s'écarquillèrent dans un
visage blême. La mère de Jeanne se leva, t
phie. Elle ne pleura pas. Elle ne cria pas. Elle se con
" dit-elle
à des supplications, à un scandale. Il n'obtint qu'une acceptation calme, presque
iendrait la main, la regardant avec une adoration que Marc n'avait jamais pu feindre. Et de loin, Marc et Sophie, déchus et ruinés, l