epas étaient pesés au gramme près : des légumes vapeur, des protéines maigres, pas une goutte d'huile, pas un grain de sucre. Elle passait des heures à prendre soin de sa peau, de ses cheveux, de
s une cage doré
sa simplicité et sa joie de vivre, semblait fade à côté. Les gens comparaient, jugeaient. "Sophie est si élégante", disaient-ils. "Jeanne devrait faire un effo
t leur fille, si passionnée et si peu soucieuse des codes de ce monde impitoyable, et ils craignaient pour son avenir. Ils pensaient que le mariage la protégerait, lui donnerait une sécur
e salon, se leva. Elle s'approcha de Mar
e. "C'est de ma faute. Je n'aurais jamais dû... te laisser voir ce qui me manqu
e se donnait le beau rôle, celui de la femme noble et génér
s'adoucissant. Il était c
fermement. "Tu es la victime ici. Tu es tr
dur. "Tu vois ? Voilà une vraie femm
e voyait clair dans leur jeu, dans la manipulation de l'un et la bêtise de l'autre. Elle
ion et sa voix résonna, claire
ccep
monde
uler le mariage,
e n'était pas du tout la réaction qu'ils atte