e d' Hugo Larson, moi, Juliette, la viol
s qu' un souvenir lointain, balayé par l
er tandis qu' il menaçait de débrancher le respira
on de sa nouvelle muse, Ella,
j'ai perdu notre enfant dans la neige, puis ma dignité,
la part d'Ella qui m'a poussée dans les escaliers, Hugo, le m
t mon corps n'étaient rien com
les yeux d'Hugo qui m'avait interdit d
? Comment l'homme que j'aimais s'
ai effacé mon identité, pris les cendres de Léo et mon violon brisé, pour m'en