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Historique

Chapitre 3 II

Nombre de mots : 1554    |    Mis à jour : 15/11/2021

n salon de plusieurs hommes, n'ont pas deman

ffer un cri. C'est caché derrière la p

un des hommes d'Alejandro, plus précisément

in de lui, n'oublie pas qu'il en s

pour les nombreux assassins qu'il organise. Il parait même qu'il aurait tué son père pour pouvoir diriger le cartel. Sa voix me fait sortir de mes pensées. Je n'arrive pas à disti

ait une vente coup ce cabrón ! I

uan j'essaye

le, je ne m'attarde pas sur lui, j'ai bien trop peur qu'il me remarque, je n'ai pas envie de savoir ce qu'il pourrait m'arriver si je tombe dans les m

emière porte en montant les escaliers. Mais je n'ai pas d'autres choix. Je me cache dans mon dressing et ferme la porte à clef. J'entends plusieurs coups de feu retenir. J'ai peur que mon père prend u

AIN

ntends des pas se rapprocher de plus en plus de ma porte. Je les entendais frapper contre ma porte, sûrement pour la faire tomber. J'essaye de me ca

a un des hommes d'Alejandro. J'ai trouvé une bague devant la

du compte, mais je l'ai fait tomber en courant dans ma chambre. J'ai peur, je suis coincé, ce n'est plus qu'une

ouve-moi cette pers

e coup de feu résonne. Cette fois, beaucoup plus près de moi. Je m'arrête pour essayer d'entendre ce qu'ils se disent mais je n'entends rien à part les coups de feu qui ne s'arrêtent plus. Mon angoisse ne cesse de s'accroitre quand je sens le tunnel bouger, je m'arrête direct. Et si quelqu'un avait découvert la trappe ? Je double ma vitesse. Je suis abattue de devoir laisser mon père ici, mais je n'ai aucun pouvoir, je ne peux rien faire pour le sauver. Je prie tellement pour qu'il ait réussi à s'en sortir. Malgré mes larmes qui menacent de couler j'avance, encore et encore, sans m'arrêter malgré mes mains qui commencent à rougir accroitre quand je sens le tunnel bouger, je m'arrête direct. Et si quelqu'un avait découvert la trapp

me rapproche de plus en plus de l'extérieur, mais je crains de croiser l'un des hommes d'Alejandro. Je n'ai pas le temps de réfléchir

Oui, je m'écrase, je me laisse carrément tomber, je suis fatigué. Mais mes esprits me reviennent très vite et je me relève et m'élance dans la rue noire que je connaiss

moi ou si je suis encore trop près. Mes jambes engourdis arrivent quand même à se lever et à m'emmener plus loin encore. Je m'arrête, je crois, devant une station essence, c'est le premier bâtiment que j'aperçois. Je rentre hât

.. je, il y avait des gens chez moi et puis, puis, d

calmez-vous, qu

ur son comptoir se leva pou

ébut, je vous écoute,

pousser un cri d'effroi. Il vient de mourir, devant moi et, à cause de moi. Ce pauvre homme qui voulai

allongé devant moi ne veut pas sortir de ma tête. Mes yeux écarquillés lâchent le

force presque inexistante,

seulement que ce foutu magasin et encer

me cache derrière un mur qui sépare l'entrée du local et le rangement à balais. Je l'entends marmonner et pester. Mon s

uiv

u-n

uiv

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