img DAVINA  /  Chapitre 4 III | 80.00%
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Historique

Chapitre 4 III

Nombre de mots : 3184    |    Mis à jour : 15/11/2021

ive presque pas à la tenir droite. Quand j'arrive à ouvrir mes yeux et que je reprends enfin mes esprits, je me rends compte que je suis attachée dans une pièce, assez petite, sans

e est presque plongée dans le noir. Seule une petite

ient. Je dois me promettre d'être forte, pour papa, maman et Ava. Je cris, dans l'espoir que quelqu'un vienne m'aider, avec un peu de chance on m'entendra. Malheureusement ce n'est pas la bonne perso

l est imposant, grand et très musclé, je ne ferais jamais le poid

e sport pour rien, tu crois que quelqu'un viendra t'

rt il fait allusion, par contre je n

narquois prend place sur ses fines lèvres. Sans me quitter des yeux, il s'approche davantage de moi,

plus en entendre plus, je lui donne un coup de tête, il s'éloigne instantanément et lâche quelques jurons en espagnols que je ne co

tée de lui cracher dessus mais malheureusement je

Il m'attrape mes cheveux d'une main et tire ma tête en arrière. Son autre main vient trouver place sur ma mâchoire qu'il serre avec une telle force qu'elle pourrait se bri

dans le sien. Je ne baisserais pas les yeux, je me lève à mon tour sans manquer de tomber à

e me connaissais pas capable. Il ne faiblit pas, ne baisse pas les yeux, ne laisse pas pa

o

Je n'ai pas mal, je ne vois rien, je me se

déjà entendue, où ? Je ne sais pas. J'ouvre les yeux ne sachant pas ce qu'

m'a enlevée, pourquoi ne veut-il pas que le fameux Juan mette fin

ait me fait comprendre qu'il pourrait très bien mettre ses menaces à exécution. Quand l'hom

fines lèvres. Il ne parle pas, il rigole. Il rigole ? Il se fout clairement de ma gueule ? Mon regard s'ancre au sien et je fronce les sourcils quand je remarque que son fou

t tressaillir. Je ne réponds pas, que faut-il répondre ? Je ne suis même pas sûre que ce soit vraiment une question

Tu veux peut-être que je te fasse une démonstration ? Sans attendre une quelconque réponse de ma part, il tire. La balle se loge derrière moi, elle a frôlé mon oreille, et même si effective

sseoir et m'attache finalement, encore une fois, à la chaise. La panique s'emparede moi, je me débats, je ne supporte pas d'être attachée, encore moins avec desmenottes, il s'est pris pour un policier ? En me débattant, mon coude atterris sur sa mâchoire. Il se stoppe net et me gifle. Il

Davina. Tu v

a derni

uer à un jeu tous le

uleur. Je me débats davantage sur la chaise mais rien n'y fait, il tourne autour de moi en jouant avec son couteau de malheur. Je sens ma joue s'ouvrir un peu plus à chaque fois que je cris. Je mords ma lèvre inférieure et un go

on joli petit corps, donc essaye de me donner les

is plus depuis que je

tion, qu'as-tu

Ri

ponse. Il entaille

, qu'as-tu vu

je reste sur mes positions. Je ne dirais ri

une queue de cheval haute. Il me c

ntuer ma douleur il tire ma tête en arrière, ce qui me fait appuyer sur l'entail

sser à une autre qu

rende compte. Mon regard cherche le siens et le trouve, adossé contre le mur en face de moi, les sourc

. Davina

t. Autre question, que

ce que les journaux disent. Je n'en sais pas plus.

oi en riant, tandis que moi, je panique. Et cette fois ci, je pleure.

al, je suis fatiguée. Je ne sais pas combien de temps encore je vais réussir à supporter cet

cule et range le couteau dans une mallette posée sur la tab

s encore et encore, dans l'attente que quelqu'un vienne me détacher. Maispersonne ne vient. Mes larmes ne coulent plus, ma tête tourne et mes yeux seferment. Je revois l'ancienne Davina et mes larmes reprennent de plus be

*

leur de mes plaies. Je rencontre ses prunelles malicieuses qui observe mon visage en attente d'

r, comme tu as craqué hier. On va continuer notre petit jeu, je ne suis pas to

soif, et ma vessie ne tiendra pas longtemps. Je ne jouerais pas à son jeu débile

erais aller,vi

avec un sac. Il pense sérieusement que je vais

montrant de sa main

mment réagir. Malheureusement, ma vessie n

ins entre elles et caresse du bout des doigts les traces des menottes sur mes poignets. Je m'app

r, j'expire bruyamment et me rhabille. Je me retourne et me rassoit sur la chaise, sans lui dire que j'ai fini. Quelques minutes après il se retourne et ses yeux rencontrent les miens. Il part chercher le sac et le met à côté de la porte. Il se replace devant moi et ses prunelles azur rencontre

ce, je

ce, je

ux plus reculer, mo

mains devant moi pour l

te. Son souffle s'abat contre mon oreille, et sans que je le se

e, mais reste toujours très proche de moi

protège

ier et saccadé. Sa main tenait les miennes et je n'arrivais pas à m'en défaire. Il continuait d'appuyer sur mon ventre avec son flingue tout en souriant sadiquement. Mes yeux s'embuent à nouveau, un sanglot échappe de mes l

sus, pire idéed

nd ma bave atterrit entre eux. Il se r

te pas. Ma crise d'angoisse pointe le bout de son nez, et malgré mes tentatives pour la faire partir, elle est bien présente. Lui, revient en vitesse vers moi, je n'ai plus aucune for

iens, je serais beaucoup moins hésitant que Juan, s'il le faut, je te mettrais

sur la joue, s'ouvre à nouveau et je sens le sang couler. Je pleure, encore. Je ne me suis jamais sentie aussi faible qu'aujourd'hui. J'ai peur de ce

en souhaitant qu'il me lâche enfin. Sa prise se fait plus dur et il continue de marcher. Il attrape un sac et puis nous passons la porte et une forte lumière vient éclairer mon visage. Mes yeux se ferment presque immédiatement sous la lumière. Il marche vite, trop vite.

svocales se fatiguent et je n'ai bientôt plus aucune voix. Il ne dit pas un mot pendenttout le trajet. Nous nous enfonçons dans le boi

panique s'empare de moi. Il va me pendre ? Me fouetter ? Je contin

. Il me

bats. Il

me laisser mourir là, attachée à un arbre. Je l'appelle, le suppliant de me détacher, de me laisser partir. Je lui promets que je ne

uiv

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