eds. C' était une chaleur hostile, une chaleur qui semblait se réjouir de mon malheur. Je me tenais au milieu du domaine, ce m
ait en
saboté les vignes de notre voisin. C'était un mensonge. Un m
chemin de terre, soulevant un nuage de p
elacroix e
e le plus puissant de la région, notre voisin, notre concurrent. Et notre bourreau. Il s'
ardez-vous. Vous êtes seule, d
une fausse sympathie qu
n'avais plus la force de
e. « Marc était... impulsif. Un jeune homme talentueux, mais incapable
errées en poings le
a rien
murmure rauque, p
a eu un
rlé, Élise. Il est en prison, et il y rester
s'enfoncer en moi. Puis, il a pris un air
Je ne veux pas vous voir so
regardé,
us que ce qu'il ne vaudra dans quelques mois. Vous pourrez par
tout. Il voulait notre terre, notre maison,
de sa victoire. Il me voyait comme une femme brisée, prête à céder. Pendant des semaines, il m'avait vue pleurer, m'isoler, subir les regards accusat
e chose en
moi. C'était un vieux cep, noueux, tordu, mais une petite pousse verte et vigoureuse s'en éch
tier. J'ai doucement touché la petite pousse verte avec le bout de mes doigts. C'était
imple a to
refus silencieux, mon attention portée à cette vigne plutôt qu
il sifflé, sa voix perdan
à caresser la jeune pousse, com
le, Élise ! R
n ordre. Un ordre que
une fureu
r le piquet en bois juste à côté de ma tête. Le choc a fait tr
ropre corps. Je me suis recroquevillée sur elle, prête à tout encaisser pour la sauver. C'était tout ce qui c
s, pas moi, mais la violence de son geste avait rempli l'air. Il venait de me
velle force naître en moi. Une détermination froide et
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