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La brèche

La brèche

Auteur: Samain
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Chapitre 1 Prélude

Nombre de mots : 5219    |    Mis à jour : 08/10/2021

fin@gmail.com,Benedictdiop@yahoo.fr

gnes pour le

our

mmencer à jouer, je vous envoie la desc

int-Véran en Queyras. Ils vont tous à

is très pittoresques mais aussi quelques hôtels et logements sociaux, un temple protestant et une belle église roman

sez tôt et ils sont plutôt contents car les cours de ski vont pouvoir repr

noms, leurs âges (entre 7 et 11 ans), une description physique (non, les moustaches et les barbes ne sont pas

urs devoirs verront leurs per

ôt et je vous embrasse à

a

ncarrio

Mon per

: Si

l âge ?

n ou une fille

grichon et pas très grand. J’ai le

z timide qu’on entend assez peu. Je suis quel

ma mère et mes trois sœu

u musée, le chuintement élégant des chaussures frôlant le synthétique. Elle souriait derr

et elle avait vu ses permanences augmenter en conséquence. Comme à son habitude, elle n'avait rien dit

orte quoi comme s'endetter jusqu'au cou, alors pourquoi pas à essayer de soulever des plaques massives en bronze. Elle resta quelques instants à admirer l'ouvrage. Par ce texte, l'em

'est moi, Angèle. Je t'écoute. » La voix lointaine de son collègue lui apprit qu'il n'y avait rien à signaler. Elle pouvait finir sa tournée et ils lèveraient le camp. Elle approuva avec un

qui apprenait bien ses leçons, qui faisait le bonheur de ses parents mais qui était mort en bas âge.Même de l'autre coté du temps, elle ne pouvait que ressentir la d

ient pas tarder à pointer le bout de leur nez. Elle ne s'habituait pas vraiment à l'idée de devenir tante bea

faisait sentir. Elle devrait boire un café avant de reprendre la route. Elle constata avec plaisir que Marc lui avait laissé une cafetière

et Yann était un narrateur très efficace. Et puis, ce serait un plaisir de revoir tout le monde. Avec un peu de chance, Bénédict aurait eu le temps d'illustrer leurs aventures ? Elle savait pourtant que quelque chose n'allait pas. Il y avait bien sûr l'état de sant

ait volubile et loquace. Aujourd'hui, il ne lui parla presque pas, se contentant de lu

ins gris. Il pleuvrait certainement ce qui était dommage pour un jour de marché. De chez elle, elle verrait le ballet multicolo

r une voiture à sa taille. Pour le moment, elle souffrirait en silence avec l'aide de son ostéopathe. Machinalement, elle régla son rétroviseur en essayant de ne pas croiser son reflet qu'el

lampadaires. La ville avait déjà versé son tribut à la pluie.Elle s'engagea sans attendre sur l'autoroute puis enclencha son cd. La voix du chanteur de Queen résonna dans l'habitacle. Tout comme son pe

lier. Elle ralentit pour s'engager en douceur dans les rues étroites. Pas de lumière aux fenêtres. Elle ouvrit tout doucement la porte du garage. Cette fois, il ne lui fallut pas pl

ncarrio

mon pe

mon personnage. Oui, au cas où tu ne l’aurais pas

: Ul

:9

J’ai un physique passe partout. Il était une

sauvage et me confie assez peu en

truit une belle cabane dans les arbres dans laquelle j’adore rester. A la mai

. Donc vive

i

*

ère, elle détacha la surface polie et la porta à la lumière pour l'admirer. La lumière naissante passait à travers le bleu outremer, juste la teinte qu

nt aux autres verriers, elle n'utilisait pas le verre brut mais fabriquait elle-même la pâ

de la plus jeune maître verrier de tout l'Isère soit plus passionnante que le grand bordel du monde extérieur. Déjà, on s'agitait sérieusement en France. Une loi pour permettre à deux personnes du même sexe de se marier faisait scandale. Elle se demandait bien pourquoi. Qu'avait donc le gouvernement à brandir cette liberté qu'un bon nombre homosexuels européens avaient obtenue sans plus d'histoire que ça comme un chiffon rouge pour exciter les taureaux. Quelle

rait jamais pu travailler de nuit, même dans un musée. Surtout dans un musée : tout ces morceaux de passé restés tapis

Elle savoura la sensation délicieuse de l'herbe mouillée sous ses pieds nus. C'était la pluie qui l'avait tirée du

mment est-ce que vous venez ? » Elle soupira. Dès qu'elle répondrait, il voudrait savoir qui c

r à Lyon. Restait à voir qui allait prendre le volant pour emmener les au

ncarrio

:Per

ssion qu’elle ressemble à ma mage foldingue de la dernière fois c’es

Bella

:10

le teint blafard et des cheveux noirs bouclés très difficiles

re en parler au grand damne de mes camarades de classe. O

est une ancienne katcheuse à la retraite qui passe son temps libre devant le téléachat. J'ai un grand frère qui est fan de Tokyo Hotel. Moi, je me débrouille un peu tou

it un fruit ou un légume qu'elle ne connaissait pas – et cela arrivait encore à quarante-cinq ans passé – elle s'empressait de l'acquérir. Il y avait bien sûr eu plusieurs essais infructueux et des grimaces devant les assiettes mais la plupart du temps, elle avait été contente de ses trouvailles. Comme à son habitude,

coupe du monde aux pompiers – lui répondait indéniablement« quoi. » de son inimitable petite voix haut perchée. Elle avait tout tenté pour le faire parler. Elle avait même espéré,en emmenant sa guitare pour la première fois de l'année pouvoir le faire chanter avec les autres. Elle avait vite été détrompée en l'entendant hurler par dessus la muraille sonore et plus ou moins inaudible de ses camarades même si cette fois, ses « quoi » étaient en rythme. Elle

it à la longue, ce qui n'était pas toujours le cas.Ses amis lui répétaient qu'elle f

on temps avec, elle n'allait pas non plus en jouer un ! Mais les autres membres du groupe s'étaient montrés très enthousiastes et elle s'était pliée à la majorité. Dès la conception des personnages, le jeu s'était avéré plaisant. Déjà,plusieurs membres du groupe pour défier l

la voyant, on ne lui disait plus. Car, et c'était malheureusement le deuxième point commun avec son personnage, on la prenait souvent pour une délinquante, une forte tête tout du moins. Et, quand elle regardait en arrière, elle n'était pas si loin de la vérité. Mais, par dessus tout, elle partageait avec Bellatrix sa passion pour les films d'horreur. Dès petite, elle a

étrange fromage de chèvre couvert d'une napure rouge dont elle fit l'acquisition. Satisfaite,

ncarrio

Mon per

Philo

: 8

:une

oire, cheveux crépus, pas trè

un petit génie d’internet.

mon petit frère qui a cinq ans et qui est très pénible. Ça

est-ce que tu penses qu’on pourrait ne pas terminer

sa

édi

placer religieusement sur le rayonnage avec tous les autres. Bien sûr, elle aurait pu les avoir gratuitement chaque fois, mais elle insistait pour accomplir ce geste. Plus tard, elle

z âgée. Très souvent, il surprenait les gens quand il se déplaçait pour les salons. A la place de l'aïeule tranquille attendue, ils voyaient débarquer un grand bonhomme à la peau noir d'une trentaine d'années. Il s'en amusait énormément, jouant au maxi

mouche. Les gamins l'adoraient. Philomène s'exportait en Belgique et même en Angleterre. Mieux encore, il était en

son personnage. Cela faisait dix ans qu'il

e où ils devraient incarner des enfants, il avait saisi l'occasion. Il jouait la

allait plaire à tout le monde. Il aimait beaucoup ses compagnons de jeu. Depuis dix ans, ils se réunissaient tous les mois pour vivre les aventures

u présent. Naturellement, « petite sœur avait suivi ». Il s'en était inquiété : Malo n'était-il pas en train d'entraîner sa protégée dans une secte prédatrice et sans scrupule ? Il avait téléphoné pour se renseigner. Yann lui avait aimablement propos

qui n'avait pas son pareil pour inventer des mondes, captivant et emmenant son petit monde à sa suite. Malo lui avait donné la réplique. Il n'avait pas son pareil pour inventer des personnages totalement loufoques et les jouer. Il les avait fait rire jusqu'à en pleurer, courbés en deux sur leurs abdominaux endoloris. Peu à peu,sous le masque de gêne, il avait découvert le charme discret d'Angèle, l'espièglerie et la sensibilité de M

le pour la partie. Yann s'en servirait à coup sûr. Il allait se remettre à son dessin quand deux petits bras enserrèrent sa taille. Il sourit.A cinq ans, Soliman continuait de lui faire d

u viennes l'aider

maître sur toute la maison. Edwige était expert-comptable et faisait tourner son petit monde à la baguette,mélangeant sans mal douceur et fermeté. Il l'en remerciai

oût

tement relevé. Sans doute une sauce qui agrémenterait la viande e

ner le plat. Seulement voilà, elles ne

tait la cuisinière, il en était le marmi

ncarrio

mon per

o gr

pas trop vite cette fois. Au fait, on s’est un peu entraidés avec Azie p

:Gar

:7

: f

tâches de rousseur, j'ai des yeux marron

intelligente. D’ailleurs, on dit que je suis surdouée. Ma ma

frères jumeaux qui m’admirent

sa

ous qui

a

rogrammation. Dès que possible, il présenterait sa petite innovation à Azilis. Elle ne pourrait bien sûr pas entendre la musique mais verrait l'animation qu'il avait créée avec, et cela rien que pour elle : le pire méchant d

s et des bébés dans des cimetières,c'est ça ? » Il soupira. Les clichés sur les rôlistes avaient la vie dure. Il en avait vu d'autres. Il pianota à toute vitesse : « Oui, c'est exactement ça. Si on a pas assez de gens à sacrifier, je penserai à toi. Tu serais d'accord ? ». La réponse ne se fit pas attendre. « Lol, j'y penserai. Donc c'est ce soir q

s - avaient détourné un vaisseau spatial avant de le laisser s'écraser sur leur planète d'origine. Il avait d'abord constaté avec un certain amusement qu'une certaine River song avait des faux airs de Morgan, confirmant ainsi ce que leur disaient certains de leurs collègues. Il avait trouvé l'épisode totalement effrayant : les monstres restaient figés tant qu

ns un arbre il disait aux petits : « L'ogre mange un elfe avec une pomme, deux gobelins, trois framboises ... ». Visiblement,les élèves appréciaient et les parents n'avaient pas l'air de s'en plaindre. Peut-être pensaient-ils que ces étranges créatures étaient in

son portable accompagné d'une photo … De ses pieds ! Il fut prit d'un fou rire. Azilis et ses pieds, c'était une longue histoire. Depuis toujours, elle aimait se promener sans chaussures autant qu'elle le pouvait. Cette lubie lui venait de l'enfance. Il se souvint avec une certaine tendresse que la première fois qu'il l'avait vue – ils avaient tous les deux à peine cinq ans - elle ne port

signes. Pour elle que les autres membres du groupe l'avaient maîtrisé aussi. Grâce à elle

oi ? » Par ce biais, elle l'invitait à le rejoindre avant les autres. Il répondit à toute vitesse : « Bien sûr princess

ant grand temps de

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