s avait dû être un joli parquet _ émit une drôle de plainte qui était loin d’être rassurant et je me fis la promesse de ne plus taquiner ce sol douteux, craignant de passer au travers et d’atterr

lle porte, taillé dans le bois que mon père, fils d’ébéniste utilisait couramment pour ses bricolages maison avant de succomber à un ulcère trop près du cœur, le

r : certain chêne pouvait atteindre les quarante-cinq mètres ! _ La tête qu’elle aurait fait cette vieille chouette de prof si elle savait que je m’e

y… » mur

que tout autre. Je l’imaginais, en vacances en Allemagne avec son beau rugbyman, Cédric, tandis que j’étais coincé ici ! Pff !! Traîtresse !! Et voilà que je jalousais

s, huit jours à peu près !! _ J’allais revoir Carly. Elle revenait en France et viendrait passer le reste de ses vacances chez moi _ donc quasiment la

les années s’étaient écoulées. Je distinguai, enseveli sous la poussière de vieilles photos qu’il était impossible d’identifier tant elles étaient poussiéreuses. Je soufflai dessus,

une petite famille classique de l'époque : un père moustachu aux cheveux sombres qui souriait à l’objectif, le bras musclé et puissant posé sur l’épaule de son épouse, une petite femme maigrichonne et souriante, tenant sur ses genoux un bébé de quelques m

noire, l’écriture étant droite et

’elle n’aimait pas beaucoup sa

e et renfermée, ne montrant qu’un visage grave et de plus en plus blafard et dont le regard évoluait au fil des images vers la peur, le désarroi la haine et la terreur. De nos jours, elle se serait surement tournée vers le mouvement gothique, ces êtres qui souffrent mais je suppose qu’à l’époque ce n’était pas un choix qui s’offrait à une jeune fille. Quoiqu'il en fût, l'adolescente me fit

ualifier de récent un truc plus vieux que ma grand-mère. La photo en question était celle qui était le plus près de la grande bibliothèque. Quand je l’examinai de plus près, je compris ce qui avait éveillé mon intérêt. J’écarqui

ne parvenait pas à sourire de façon convaincante et avait mis de l’espace entre elle et sa petite sœur. Mais ce n’était p

niversaire, juin 1835 ». Elle avait huit ans en 1835 et pourtant son vi

re compte. Moi qui avais voulu m’empêcher de pen

» me répondit

t je vis quelqu’un que je ne voulais pas voir mais

à, face à moi, me toisant du haut de ses huit ans qu’elle ne devrait plus avoir. Je reconnu en ell

pourtant, elle se tenait là, face à moi. Elle braqua son regard impérial dans la même direction puis me dév

n’en suis pl

t si sure d’elle qu’elle m’exaspérait. Bien sûr, c’était évident qu’elle n’avait pas besoin de porte ! Nan, mais quel

sant malgré mes peurs qui fourmillaient e

s’exclama la fillette en parodiant, mais alors très mal,

.Al

La voix était plus présente qu

, Alice… sau

role ! » la voix de la fillette était mielle

en

surgissait ici dieu seul savait comment ?! La seule chose que je ne remettais pas en cause c’était que cette gamine était folle et que je le devenais aussi, ayant cru reconnaître en elle la fillette de

Jenny mais, ce… ce n’est pas moi ! Je suis,

es mains que je tortillais l’une avec l’autre tremblaient également. Elle éclata de rire _ un rire mauvais, cruel, démentiel qui me mit mal à l’ai

era toujours, il est tant d’achever ce que je n’ai pas terminé, je doi

ice…Alii

si fort que je dû prendre ma tête dan

li

hurlait à m'en déchirer les t

qu’il en es

petit cousin « elle a dit que le temps était enfin venu de punir et que la fille allait mourir ». J’avais vu juste, la fille c’était moi. Et j’allais mourir !! Mais pourquoi ?!

oi aussi, va-t’

oulait ma mort. J’étais paralyser de terreur et la voix dans ma tête aussi l’était m’intimant de crier au secours. La main de la fillette était à quelques millimètres de mon visage

e focaliser sur miss Psychopathe, mais, en l’espace d’un quart de seconde, elle s’était év

ule à nouveau. Mais loin d’être rassuré. Je tremblais comme une feuille sans parvenir à me calmer.

auraient rejoint la vieille bâtisse que la grand-tante Myriam, gentille mais aux idées farfelues venait d’acq

pour que sa mauvaise impression soit infondée. Elle reposa son téléphone portable en se mordillant la lèvre

de les composer jour et nuit et s’agaça quand elle tomba une fois encore sur le répondeur ridicule de sa meilleure amie qui avait voulu un r

e réseau mais je voulais te prévenir que Ced et moi

rait bien. Il n’était pas sans ignorer la tempête qui se déroulait dans la tête de sa bien-aimée comme si elle s’insinuait en lui, filtrant à travers les pores

enait cette impression mais Carly sentait quand les choses allaient mal, étant habituer aux situations difficiles, et elle était si proc

taient moites et mon cœur battait à m’en faire mal, voulant sortir de ma poitrine avec pe

_ mieux valait une issue pour m’enfuir des fois que… Je sortis mon téléphone de ma poche, pure re

ette des photos de 1835 que ma mère et ses reproches ne me firent ni chaud ni froid. Bizarrement cela me réconfortait, c’était dire que j’étais perturbée. Mais une chose était sure, elle n’avait toujours pas digéré ce qui me paraissait déjà loin ! Ma grand-tante, elle, se contenta de m’ignorer ro

ge sèche me fit du bien et je me sentis un peu mieux comme ragaillardi. Mon cœur s’apaisait doucement. Je repassai devant ma mère sans lui accorder le moindre signe témoignant que j’avais remarqué

que mon oncle soit égal à lui-même _ à savoir, un chieur de

t rien entendre, pas même un seul petit message ! C

ais d’avoir eu une relation plus qu’amical et q

de ma famille sans qui je ne pouvais envisager de sortir ! Il connais

nt mon portable dans la poche de mon jean

is dépité et amusé. « C’est pour cela que l’allemande n’a

la faute de Carly si elle était en illimité jour et nuit ?! Personnellement ses messages ne m’avaient pas inquiété tellement j’étais épuisée mais je dois dire que maintenant que Rémy abordait le sujet, l

ensions. Cependant, contrairement à mes habitudes, je ne refermai pas la porte à clef, pas du tout même ! Je me jetai sur le lit, les vieux ressorts grincèrent à m’e

glotais-je la tê

d'elle à mes côtés en ce