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Historique

Chapitre 3 Mauvais Rêves

Nombre de mots : 2637    |    Mis à jour : 25/09/2021

udit coq de tante Myriam. Cette maudite bestiole m’avait réveillé aux aurores et m’étant couchée extrêmement tardivement

agne !" pesta

llait à l’intérieur et j’entendais cette voix comme hier, la même, qui certes ne disait pas la même chose mais je la reconnaîtrais parmi mille tellement le soprano avait des allures d’un carillon musical. Cette voix m’intimait de venir à elle, qu’elle me protégerait… ça avait été un drôle de rêve mais je m’étais réveillé, la poignée à la main, la porte entrouver

re dans un grand resto américain avant d’arrêter pour se consacrer à mon petit cousin ! _ jetant de brefs coups d’œil inquiets à Pet

utrement dit dégueu comme le dirait ma meilleure amie, Carly _ devant moi. À peine assis à table, à mon grand dam ! tous trois se mirent à tergiverser sur de Franky. Comment pouvait on s’int

de sangloter ! » s

as entendu ! »

s ces changements

des choses pareilles ?! »

café. Ma tante le gronda de son insolence _ typique des parents ça ! _ et il rechigna _ typique des enfants _ puis se reconcentra sur la télévision HD de ma tante où il suivai

ncore chaud de café partout sur le sol, explosant en mille morceaux le bol. Je nettoyais le sol maculé, indifférente aux éclats de porcelaine qui venaient se figer dans ma main à force de ramasser par poignée et aux picotem

icule _ mais j’avais d’autres priorités que de me moquer d’elle, pour l’instant du moins. Et c’est un art que de mêler réprimandes et excuses

s outrés et chargés de menaces silencieuses qui me promettaient de s’abattre sur moi tôt ou tard. Je pris Franklin par la main _ qu’elle était chaude et si douce pour une main si petit

la mon oncle, troub

s de mon oncle, si ma mère avait pu être comme lui !! _ Je

e que tu as vu cette

ude lui paraissait étrange et qui en gros signifiait « super, la nièce est tarée ». Mais je m’en moquais éperdument ! Une fois encore, je les ignorai _ ce qui, aussi étonnant que cela puisse paraitre, me sembla facile _ et réitéra ma demande à Frank

a réveillé. J’ai cru qu’c’était m’man mais non. Mais y’avait

oisse. Je pense qu’à ce moment-là, je venais inconsciemment de comprendre que quelque chose d’au-delà de l’imaginable se tramait mais bien sûr, il m’était impossible de me l’admettre. Je lui serrai ses petits doigts chauds

grande comm

yais bien qu’il n’osait pas vraiment dire ce qu’il avait vu mais je d

? » ins

ressemble beaucou

e cela aurait eu le même effet. Je n’y croyai

son visage est tout blanc, comme

ne griffure sur le bras ? » continuais-

nt d’elle _ mon oncle du se redresser et t

ge pa

ait douloureux, mon cœur cognait ma cage thoracique avait vio

yeux en formes d’amandes brillant d

chaussures ! Alors tu l’a

ctement ! »

ois adultes _ mon oncle venait de

questionnés le petit qui semblait moins terrifié maintenan

ans ta chambre o

ardin quand elle m’a poussé ! Tu sais celle qui m’a fait

ves vraiment qu’elle me

rait pas dû me gêner. Pourtant quelque chose en moi s 'était éveillée, comme une alarme interne. Je préférais me focaliser sur mon cousin et laisser cela dans un coin de ma tête, j'aurais le temps d'y réfléchir plutard. Quelque chose s'était passé et une sorte de lien qui n'avait j

, enfin elle s’était parlé toute seule. Elle avait parlé de tr

dait sans me voir

urs là _ ce qui me vaudrait, à coup sûr, une belle punition en retour, mais bon. J’intimai à Franck de poursuivre, lui

e et ma tante se la bouclèrent, piquées par la curiosité, peut être aussi avide que moi de découvrir ce qui pouvait paraît

confia, la vo

e, de… PUNIR. (Il pleurait désormais, comment ma tante pouvait dou

ensité indescriptible qui me serait impossible de retranscrire qua

et le secoua avec force tout en lui interdisant de raconter ce qu’elle qualifiait d’ineptie et le menaça de le punir si jamais il recommençait avec ces âneries et mon oncle fut obliger d’intervenir pour arracher le gamin de la poigne énergétique

lourde en sentiments négatifs ce qui n’arrangeait pas mon état. Trois paires d’yeux me fixaient avec inquiétude

intérêt d’avoir une bonne raison d’avoir perturbé ton petit cousin et créer tant d’ennuis

relevai, encore blême et tremblante, prise de vertiges, mon regard croisa celui de mon petit cousin et l’on se mit d’accord, à travers cet échange silencieux de ce qu’il convenait de faire, à savoir minimiser les risques de représailles pour lui comme pour moi et donc de mentir car il était plus évident de croire les mensonges

parler la meilleure idée que nous avions eue ?! Que je suis désolée de ne pas avoir passé une super nuit ici ? Et bah oui alors, DESOLEE ! » rugis-je,

de colère et de rancune, après tout c’est à cause d’elle et de tante Myriam que nous étions resté ici cette nuit alors qu’’ell

m’empêche d’atteindre celle-ci, ce dont tout le monde s’abstint heureusement. J’avais besoin de solitude et surtout pas de maman sur le

r : je ne voulais pas être dérangée _ et je verrouillai la porte. Mie

s enfin

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